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UNIVERSITE DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE

-MOHAMED BOUDIAF-
Département D’Architecture

LA MONOGRAPHIE DE LA BASSE CASBAH


LE BASTION 23

Présenté par :
- SAAD BOUCHRA NADIA
-BELLAL Lylia
- Benamar selsabile
-ABDELOUAHAB AMIRA OUM EL KHIR
Plan De Travail
 Introduction

 Rétrospective architecturale historique :


 l’axe historique
 Aperçu de la casbah

 Le périmètre d’étude : la basse casbah


 analyse typo-morphologique
 la composition de tissu urbain
 la structuration de tissu urbain
 L’édifice : Bastion 23


 Conclusion

 Bibliographie
Etude historique et
architecturale
Les Nominations

La casbah : qui Ikosim : nom qui


domine a remplacé sera latinisé sous la
une casbah plus Alger la blanche : djazair banu El Djazair : forme Icosium (
ancienne , la mazghana: iles qui bologline ibn l’ile aux mouettes)
forteresse berbère cité mauresque
faisaient face au Ziri phénicien . Le nom
►►Le palais du d’El djazair port d’Alger ► ottomane►dy d’Ikosim prent sa
dey. « la maison de na forme romanisée.
roi ‘ » . stie Ziride IKOSIUM .
La Différence Entre Les Termes
Suivants

La Casbah : nom désigne


une ure, a été transformée
Mechta : en caserne, traversée par
petit village la route d’el-Biar
L’origine de cette mot
désignait la citadelle ou
habitait un souverain en A N

Medina : Ksar :
Vielle ville d’african ensemble des construction
de nord par autour d’un mosquée en
opposition aux presence des sources
quartiers recentes de naturelles tell que
type europènnes l’oued et les palmiers
1-1)-Situation

- La Casbah est situé au coté


OUEST de la baie d’Alger et
orientée EST

La casbah est limitée Par :

-la citadelle au sommet au


point culminant du triangle.
-les boulevards Ourida
Meddad et Hahad
Abdelkader sur les cotés.
-Le front de mer à la base.
2/-Orientation
-La Casbah jouie de ses atouts naturels grâce a son relief et son
orientation Est, et la proximité de la mer, pour être une médina vivante et
cohérente formant une entité originale avec une identité propre a elle-
même.
-Les vents ont une direction nord est-ouest, mais se décomposant
selon les orientations et selon des heures précises, la moyenne
mensuelle et annuelle de la force des Vents est faible à modérer
La Répartitions Des Quartiers
les quartiers (homa) ont été délimités naturellement par des lignes de
crêtes et des talwegs.ils presentaie un niveau d’autonomie social,
administratif ,formel et fonctionnel.

En effet. l’une des


caractéristiques de cette ville
de résidence, était la
ségrégation des communautés
et de leur organisation en une
cinquantaine de quartiers
topographiquement distincts et
administrativement autonome,
constituant ainsi une véritable
mosaïque ethnique qui vivait
en harmonie parfaite.
Accessibilité Et Éléments De Repères

Par Bab El Oued


Par Bab Djedid

Par Bab Azzoun


²

Par l’Amirauté .
La Topographie

La Médina est située sur un des contreforts du massif de Bouzareah


orientée vers l’est, le site est globalement incliné avec une pente de
moyenne de 15% en se référant à la configuration triangulaire.
Intégration A La Topographie

résidence

Magazins et
boutiques

haute

basse
La Structuration De La Casbah

1 - Les Fortification

2- Les Portes

3- Les parcours

4-Les activitées
économique

5- Les rues
commerçantes
( 1 ) Les Fortification
Alger est une ville solidement fortifiée

Une longue les fossés de sa


muraille Flanquée de fortification : le ravin de nombreux
d’enceinte. bastions et de cent aire au sud nombre forts
Qui vient des hérissé par des et autre au nord et casernes et
contours du batteries de jalonné par la rue de la citadelle
site canons rempart et la rue des
maghrébin
Fossées:Les
deux ravins

nombre de
forts, casernes
et la citadelle

Mur
d’enceinte

Bastions et
h
é
r
i
s
s
é
( 2 ) Les Portes
il existé 5 portes

-Bâb El Oued, au Nord, mettait en


communication la cité avec l’extérieur et
le cimetière.
-Bâb Azzoun, au Sud était plus fréquentée
que la première puisqu’elle donnait sur El
Hamma et la Mitidja et assurait les
échanges d’Alger avec les autres
provinces.
-Bâb El Bahr ou porte de la
pêcherie ou
l’on construisait et réparait les
navires.
-Bâb El Dzira ou porte de la marine,
donnait sur le port et jouée un rôle
stratégique puisque c’est par elle que
transité les marchandises maritimes.
-Bâb Djida ou porte neuve s’ouvrait
non
loin de la Casbah.
( 3 ) Les Parcours

La plus parts de
ces voies sont des Deux transversaux montent vers la parti
ruelles étroites haute de la casbah :
la rue de la Casbah qui aboutit à la citadelle et
la rue Porte
Neuve qui mènent à Bâb El Djedid .
il existe quatre
axes ou
parcours de Les deux autres parcours structurent la partie
pénétration qui basse de la ville :du Souk El Kbir par un
structurent la premier axe appelé Trik El Djezira à peine
ville : large de 3m ,il relie le point centre de la ville
au port ,un deuxième, plus large relie les deux
portes BabEl Oued et BabAzzoun
Tous ces parcours définissaient les qualités des parties qu’il
engendraient

Haute casbah:quartiers à
vocation résidentielle

Moyenne et basse
casbah:grands
équipements étatique
,expression du pouvoir
politico administratif et
militair
( 4) Les Activitées Économique:
Les anciens dénominations des rues et des quartiers étaient le
plus souvent simples et fonctionnelles.

Les activités bruyantes Les activités moins


étaient rejetée à nuisibles se rapprochait
l’extrémité de la ville de la demeure du Dey
- Ces activités s’organisaient en Souks : suite de boutiques ou d’ateliers
regroupés par spécialisation .elles se présentaient comme des alvéoles
aménagées au RDC des maisons ou autres édifices ,mais sans communication
avec eux .

Souk

Boutique
( 5 ) Les Rues Commerçantes:La rue de la marine
quant à elle recevait
tout le flux maritime,
c’est à dire toutes les
Le long des deux rues Bâb El Djedid et de la Casbah denrées qui
, s’alignent des boutiques d’alimentation en tout transitaient par le port
genre tel que Souk Smen . cette rue était
bordées par des
activités
particulières : des
café (Kahwat El
La rue du grand Souk de la porte Bâb Kabira).le Badestan
Azzoun ,qui s’appelait Souk Essamarin (ou le marché aux
(forgeron),. esclave), des
regroupait ,elle aussi, de nombreux fondouks
activités, organisées de la même
manière, mais sa particularité vient du
fait qu’à son aboutissement vers Bâbel
Oued, s’élevaient deux manufactures
importantes dont faisait partie Dar En
Nhas…
Bâb Azzoun
Bâb El Oued
Le Port

La ville disposait également


d’un pôle important :le port
;celui ci crée dans la moitié du
XVI siècle sous la régence de
Kheir Eddine Barberousse
Amélioration
Le port abritait les grands ateliers de la
étatiques : arsenal, corderie et défense et la
voilerie. capacité
d’accueil.
Les Différents Équipements De La
Ville:

Les équipements spirituelles et culturelles

Les équipements Commerciales

Les équipements Administratives


Les Equipements Spirituelles Et Culturelles:

-Les édifices cultuels


sont nombreux dans la de dimension
ville. relativement réduite
dans les hauts
quartiers.

-Harmonieusement il existait au moins


répartis à travers tout une mosquée
le tissu pour chaque
quartier
Simple petite salle
de prière ou on peut
se faire khoutbate
-L’association aussi le vendredi
des écoles coraniques
et les zaouïas
Djamaa El Kabîr

Zaouïa Sidi
Abderrahmane

Emplacement des équipements cultuels


Mosquée Ketchaoua
Les Équipements Commercials:

Le point de convergence
de ces deux points
entraine une nette
concentration des
activités

Par Bâb Azzoun


entrent la matière
première fournies par
l’intérieur du pays
Par Bâb djezira
rentrent tout les
produit importés
Bâb Azzoun

Bâb El Oued

L’emplacements des équipements commerciales


Les Équipements Administratifs:

Il existe des palais à


l’intérieur de la ville ,et
autre palais d’été au
periferie

Il existait plusieurs
branches telles que: les
prisons,bargne,casernes.

L’emplacements des équipements administratives


Autres équipements:

Dans les zones les plus


résidentielles nous ne
trouvons plus que les
équipements de quartier:
les moulins, fours,
fontaines et hammams

Le moins homogenèses
répartis est les
hammam
Les anciens
dénominations
Une certaine
des rues et des
préservation des
quartiers étaient le
zones
plus souvent Cela a crée une hiérarchie des voies:
résidentielles
simples et
fonctionnelles
Publique Privée
Commerce Maison
Elles reprenaient
les noms des
Une répartition
activités ou
intelligente
professions qui
des
s’exerçaient à
équipements
leur niveau.
Evolution De La Casbah A Travers Le Temps

Précoloniale Coloniale
1-période phénicienne 1830-1846
2-période romaine 1846-1880
3période arabo- 1880-1930
berbère 1930-1962
4 période turque
Période phénicienne: Période précoloniale(avant 1830)
LA MER LE PORT
Période romaine: développé à
l’intèrieur
la ville s’est développée a l’intérieur d’une
enceinte,l’intersection des deux axes
donna naissance a un forum(a
l’emplacement de
l’actuelle place des martyres), ou se
déroulait
la vie économique, politique et religieuse.

: Théâtre
: Eglise
: Nécropoles
: Limite
probable de la ville
antique muraille .

Les éléments structurant de la ville:


Forum . Le théâtre . Église
Deux axes

la 1ère (forum) aussi les limites exactes de la


villes
Période arabo-berbère: prolongement de la ville vers la colline démographie militaire se fixe sur
l’emplacement des romains « citadelle ».

Les principes de la ville musulmane

Les éléments
structurant:
L’enceinte et les
portes

Le souk qui se
trouve à la rue
commercial
linéaire

la citadelle au
bout de
documanus

la mosquée au
niveau du Le site et les
documanus tracés romains
G : Grande mosquée K : Casbah EL kadima M :Madrassa Bu Ammarelon
P’: Bab Azzoun P : Bâb El Oued S : Le souk

Les principes
de la ville
musulmane
Période1846-1880:
La ville européenne s’édifie rapidement
et étouffé « la ville Arabe ». Peut a peut
la Casbah deviendra un quartier parmi
D’autre.
Période1880-1930:
modification
:La vocation ancienne casbah
d’Alger, jusqu’alors en dégradation
militaire, va
connaître une
nouvelle tournure,
celle du commerce
et du tourisme

L’implantation de
nouveaux édifices va
accentuer le
déplacement du
centre d’Alger (Place
du Gouvernement
vers le boulevard la
Ferrièr
Période1930-1962:
la ville moderne

la dominance de
la ville
européenne et la
disparition des
rempares
1953

A- quartier de la marine presque entièrement détruit.


B- zone ou dominent les maisons européennes.
C- zone mixte (maison mauresques et maison européennes.
D- zone où se trouvent tous les caractères de la ville indigène.
La Trame
Urbaine:

Trame
arborisant
Tracé Original De La Ville:

Bab el djedid
Bab el oud

Mur
d’enceinte

Bab el djazira

Bab azzoun
la Hiérarchie Des Voies:

Voie
Principale

Voie de
pénétrati
on
Voie de
Communi
cation

Impasse
Infrastructure

L’organisation La topographie et
L’histoire de la ville
sociale les activités

Création d’une hiérarchie


des voies

La vois principale
Commerciale
2principales rues : La rue
 Bâb el oued-Bâb Le ruelle Impasse
Résidentiel
azzoun Résidentielle résidentielle
le(famille)
 Bâb djzira Les plus proche de la
famille
• Deux tribune différente(lalahoum) et(kheir
Eddine) séparées par la rue commerciale Bâb
el oued – Bâb azzoun(axe de rupture)

Une famille

Une famille
Les plus
proche

Une trame en
arborisant
la Trame Parcellaire:

Forme
irréguliere
La Superstruc

• Tissu dense, parcelles


contigües, formes
irrégulières

Relations entre les


Habitants
L’Espace Cour:

Ensemble
des maisons

Espace de
regroupement et de
mitation
Analyse urbain : Quartier de la
marine
Délimitation du cadre
d’étude
La rue ARRBADJI A. Lycée l’Emir AEK

Le théâtre national
DGSN

Limite naturelle: la mer


Le square Port Saïd
Les tissus urbains

Tissu traditionnel
Tissu Mixte
Tissu 19ème siècle
Tissu moderne et contemporain
Un tissu mixte Un système en damier :
 l’apparition de ce tissu coïncide avec le projet
résultat des bouleversements coloniaux
mais qui a gardé la structure du tissu traditionnelle. d’embellisement et de soudure entre la veille ville et le
 Les ilots sont composés de maison traditionnelle, avec des
quartier d'Isly on le distingue le long du boulevard front de
façades coloniales, ce qui donne un parcellaire plus ou moins
régulier. mer (boulevard Che Guevara, Almicar Cabral, Amara
 Système viaire du type linéaire sans choix
Rachid).
directionnel, avec ramification hiérarchisées, en
orientant la circulation.  le bâti est d’une architecture néo –classique qui définie des
 les immeubles sont d’un gabarit de R+2 et R+3
immeubles a arcades avec un gabarit régulier :(Axialité,
 les cellules d’habitation sont desservés par une circulation
verticale symétrie, rythmique, ordonnancement)
 Le bâtiments est extraverti , l’introversion existe parfois, elle
 les parcelles se présentent sous forme rectangulaires (des
assume plutôt un rôle fonctionnel (aération, éclairage).
 Les façades sont marquées par des éléments architectoniques îlots subdivisés en parcelles traversés par des voies
très riches, et une symétrie renforcée par des éléments
secondaires perpendiculaires a la rue Bâb Azzoun).
saillants.
Un Tissu moderne
 Exprimée au niveau du quartier par les barres Soccard qui obéissent aux principes du
mouvement moderne (grandes ouvertures , élimination des cours intérieurs ,,,)
• C’est une architecture extravertie avec dominance de l’horizontalité et la répétition
d’un seul module le long de la façade.
• Le système viaire est de type linéaire mais non hiérarchisé à cause des divers vides
urbains.
• Rythmique au niveau de la façade principale aves un gabarit de R+7 a R+9.
• Cette partie est représenté aussi par l’institut national de la musique, le parking et la
DGSN.
• l’institut de la musique se distingue par une
composition symétrique avec de grandes surfaces vitrées arquées.
• Quand au parking il se distingue des autres édifices par sa structure métallique
démontable et ses éléments préfabriqués

Synthèse de l’analyse-morphologique :
 La situation géographique du périmètre de sauvegarde est un atout non négligeable par rapport aux grands
quartiers et axes animés de la capitale. Mais il apparaît que le niveau des équipements reste encore moyen.
 Bien que la basse Casbah soit le résulta ordonnancement et une hiérarchie dans la structure parcellaire et
viaire, elle suit un linéaire animé par des commerces en galerie, une activité qui est en régression au cours de
la dernières
Tissu Mixte Le système parcellaireTissu traditionnel

Tissu
moderne
Tissu 19ème siècle
et
contemporain
Tissu
• traditionnel
Aspect topologique
Un parcellaire non hiérarchisé avec des
formes irrégulière et crénelé car la

Tissu traditionnelle
parcelle est sujette de rajout et de
décrochements ( l’adaptation à la
morphologie de site).
• Aspect géométrique
Les parcelles se présentent sous forme
irrégulière ce qui a engendré un tissu
organique .
• Aspect dimensionnel
L’adjonction des parcelles de différent
formes, forment des ilots de dimension et
de forme divers.
Tissu mixte
• Aspect géométrique
Les parcelles sont de forme irrégulière - à
l’exception des parcelles qui donnent sur
les voies aux formes plus ou moins
régulières ( parcellaire en lanière).

• Aspect dimensionnels
Les parcelles sont de dimensions
variables et ont une forme assez trapue.
Les plus grandes parcelles sont destinées
aux immeubles coloniaux.
Tissu 19eme siècle
• Aspect géométrique :
Les parcelles se présentent sous forme
rectangulaire. C’est le résultat d’un
découpage régulier. L’édifice se
superpose à la parcelle sans retrait. (Des
ilots subdivisés en parcelles traversés
par des voies secondaire
perpendiculaires a la rue Bâb Azzoun).

• Aspect dimensionnelle:
Les parcelles sont hiérarchisée . on
distingue plusieurs parcelles dans un
ilot et des ilots parcelles.
Tissu moderne et contemporain
La notion de « parcelle » et « d’îlot » a
disparue : c’est le passage de l’îlot à la
barre.

Des îlots allongés délimitent la voie sans


aucune division parcellaire.
Axe Bab El Oued- Bab Azzoun
 Il se situe sur la ligne de changement du terrain et
reprend le tracé du cardo romain.
 Il articule entre trois moments importants qui sont a
l’échelle de la ville : Le square port Saïd, la place des
Martyrs et la place OUANOURI
commentaire
L’existence de problème de circulation généré par la Blvd Che Guevara
commerce informel et les conflits entre mécanique et
piéton.

Boulevard Che Guevara


 Conçu durant la période colonial .Il articule entre la
partie sud et la partie nord de la ville. L’une de ses deux
parois est de gabarit de R+3 . L’autre constitue un balcon
panoramique sur la mer
commentaire
Il est à forte valeur architectonique constituant un
patrimoine.
 Existence de conflit de circulation au niveau de la place
des Martyrs.
 Un manque d’articulation morphologique par rapport à la
partie portuaire .
Tissu traditionnel

• Typologie topologique
Le Tissu traditionnel est présenté par un système viaire arborescent, avec une hiérarchie contrôlée où chaque branche dépend du tronc
principal (dont les dimensions et orientations leur confèrent un rôle et un statut spécifiques par rapport a l’ensemble)

• Variantes géométrique:
Pour les systèmes arborescents, on retrouve une géométrie à base triangulaire (en Y)

• Variantes dimensionnelles un système viaire arborescent


Dans un réseau arborescent, la hiérarchisation dimensionnelle est décroissante :
Rue, ruelle, impasse. Elles se distinguent par leurs dimensions décroissantes.
Les voiries sont sinueuses pour briser la continuité visuelle et
pour garder l’intimité. Ces voiries sont inaccessibles aux
véhicules.
Tissu Mixte

• Typologie topologique
Système viaire de type fausse résille (résultant de la
superposition de trames viaires plus simples)
Les rues appartenant à des trames différentes jouent un rôle
différent dans l’ensemble du système de même que les faces
correspondantes des ilots.

• Variantes géométriques et dimensionnelles


Le viaire est hiérarchisé par la dimension et le traitement de façade, les
rues principale sont : la rue Bâb Azzoun et Bab El Oued
Elles sont flanquée d’arcades au RDC.
La distribution est hiérarchisée en allant du public au privé.
Tissu 19 siecle

• Typologie topologique
Le découpage en trame orthogonale s’inscrit dans le système en résille
ou le réseau en échelle dont le maillage est hiérarchise.
Les principes d’organisation de cette typologie sont les : hiérarchie ,enclos ,centralité et l’incorporation .
La distribution au niveau locale est hiérarchisée en allant du public au privé
• Variantes géométriques et dimensionnelles
On retrouve une géométrie orthogonale. C’est un plan en damier que l’on retrouve dans
différentes villes (et surtout dans les créations volontaires.)

Boulevard AMILCAR CABRAL


Située au dessous de boulevard CHEGVARA à grande vitesse
d’une largeur de 18 m. Les voutes constitue l’une de ces paroi.
Bâtie linéaire( l’ilot colonial)
Le système du bâti

Bâtie planaire

Bâtie ponctuel
Bâtie linéaire( l’ilot colonial)
Les bâtiments sont juxtaposées les unes aux autre de
manière a former une ligne continue

• Gabarits varient de R+3 a R+4, des Immeubles éclectiqu


extravertis,
• une continuité du bâti dans une seul direction de l’espace
• juxtaposition de manière a former une ligne continue ,
• les bâtis lu comme un ensemble
Bâtie planaire

Les bâtiments sont accolés les une aux autres se tous les cotés
de manière de former une masse continue uniquement
interrompu par les rues

Les caractéristiques

• Bâtiments accolés
• Bâti non homogène: Forme
irrégulier.
• Continuité dans plusieurs
directions
• absence d’une homogénéité
dimensionnelle( des dimensions divers
selon le statue de la famille
Bâtie ponctuel
Les bâtiments sont séparés les une aux autres par une
distance plus au moins grande (le bâtis est discontinue)

• Les dimensions sont variées dues à l’irrégularité des formes limitant espace
central qui converge vers le patio .
• Cohérence Architecturale ,
• bâti est discontinu , séparé l’un par rapport au autre par une grande distance
Mosquée
Les éléments singuliers
Accolement Ketchaoua
Dar El-Hamra
Isolement

Djamaa Ali Bitchine


Djamaa El-Djdid
2

Djamaa El-Kbir Bastion 23

1 Le théâtre régional Dar Aziza


Les espaces libres

Square Port Saïd

Place des Rais

Espace libre public (a


l’interieur des parcelle
Espace libre privatif
( s’inscrit dans le viaiare

La place des martyres


La variét
Activités culturelles Activités économique Activités portuaires

Activités cultuelles Activités administratives Activités sécuritaires


Etude architecturale:
bastion 23
Bastion 23

Le Palais des Raïs,  Bastion 23 fait partie des plus importants


monuments historiques de la ville d’Alger. Il représente, par
ailleurs, l’un des derniers témoins qui attestent physiquement
du prolongement de la Médina d’El Djazair (Casbah) vers la
mer, à l'époque Ottomane jusqu'au XIXe siècle.
Description
Le Palais des Raïs (Bastion 23), partie intégrante de la Médina d’El Djazaïr (Casbah),
est détaché, voire même, isolé de son environnement traditionnel suite aux
différents bouleversements et restructurations qu’a subis la Casbah à l’époque
française.

Ce n’est qu’en 1909 que le Bastion 23


est classé Monument Historique sous
l'appellation "Groupe de maisons
mauresques" pour l’intérêt architectural
qu’il représentait d’une part, et comme
dernier quartier (houma) de la basse
Casbah d’autre part.

 
En 1991, c’est au tour du (Casbah) classée patrimoine national et universel par
l’UNESCO en décembre 1992.
• Ce double classement dénote de la reconnaissance et de l’importance octroyée
par les instances nationales et internationales à ce joyau architectural et urbain
délimité par un périmètre de protection et de sauvegarde qui intègre en son sein
le Palais des Raïs (Bastion 23).
• le Palais des Raïs reste la première expérience de récupération d'un ensemble
historique restitué au public, en Algérie depuis l’indépendance.
• Le choix d’installer le Centre des Arts
et de la Culture du Palais des Raïs au
sein même du Bastion 23, n’est pas
fortuit. Il démontre l’intérêt accordé
par les pouvoirs publics au patrimoine
culturel et de la volonté de mettre
en avant, l’importance des valeurs
architecturales, historiques et
culturelles de l’ensemble monumental
du Bastion 23.

• A ce titre, le Palais des Raïs est appelé à s’ériger en modèle de gestion pour tous
les monuments algériens souffrant de la problématique de leur usage futur.
• Une vision qui s’inscrit en droite ligne dans la politique initiée par le Ministère de
Culture et qui allie besoin d’exploitation et développement économique avec
exigences de conservation du patrimoine
Les détails
histoire:

L'histoire du palais commence par la construction de Bordj-Ez-zoubia en 1576 par le Dey Ramdhan
Pacha, et ceci afin de renforcer les moyens de défense de la basse médina. On le désigne
successivement par les noms Quaâ-Essour (bas du rempart), Sebâa tbaren (les sept tavernes) et
Topanet Arnaout à cause des pièces d’artillerie érigées par le raïs Mami Arnaout. 

Le nom de Bastion 23 lui fut donné à la suite de la construction des remparts de la ville française.
Par contre, les numéros désignant les palais (palais 16, palais 17, etc.) et les maisons des
’’pêcheurs’’ sont des attributions cadastrales datant de la même période. La seule référence
historique disponible, concerne le palais 18, qui fut construit aux environs de 1750 par le raïs
Arnaout Mami.

Après 1830, le palais 18 prendra la fonction de résidence du commandant du génie civil, puis de
pensionnat pour jeunes filles, puis fait office de consulat des États-Unis, puis de résidence du Duc
d’Aumale et enfin de bibliothèque municipale.
• L'enjeu de ce rapport est double:
• - D'une part, il dresse le premier constat d'un objet n'ayant jamais été analysée
depuis de très longues années
• . En même temps, il reprend quelques propositions relatives à la programmation des
espaces et au traitement des abords.
• - Par ailleurs, le rapport insiste sur l'importance et la nature de l'instrument technique
et humain qu'il convient de mettre en place si l'on veut espérer matérialiser les
intentions de l'opération en une réalisation qui soit cohérente avec les objectifs
généraux de conservation, restauration et exploitation du patrimoine historique.
• Trois considérations s'imposent à ce sujet:
• (ï) L'opération de sauvegarde du Bastion est
• urgente, vu l'état physique des immeubles.
• (2) Il y a une somme considérable d'études
à fournir, si l'on veut exploiter tout le potentiel
culturel lié à l'opération.
• (3) Ces études, bien que portant sur un objet précis, auront par ailleurs une utilité
immédiate pour les recherches concernant la restauration d'autres édifices (en
particulier le complexe de la Citadelle).
• En conséquence de ces trois considérations, il semble particulièrement opportun que
la Direction des Monuments historiques assure dès à présent, en cas d'impossibilité
d'intervention au sein de l'atelier Casbah, le suivi d'une structure de travail
permanente, dotée des effectifs nécessaires, et travaillant selon une méthode de
travail bien établie.
• a ce sujet d'ailleurs, le rapport présente par l'équipe des Monuments historiques de la restauration de la
Citadelle à Alger, pour l'analyse et la consignation des espaces rencontrés et des éléments constructifs qui les
constituent.
• L'outil de ce travail est constitué par trois types de fichiers, Ce sont:
• - Le fichier typologique pour l'analyse des espaces, de leurs caractéristiques, de leur r81e-dans le "bâtiment et
la civilisation, de leur évolution, •• •
• - Le fichier morphologique, pour la description détaillée et précise de tous les éléments constructifs qui
interviennent dans la composition des espaces»
• - Le fichier architectonique, pour le relevé des dispositions et des caractéristiques relatives à chaque "bâtiment
étudié.

• L'ensemble de ces fichiers vise à constituer, dans une forme ouverte à tous les types d'utilisation (exploitation
pour cahier des charges, publication, etc.) un véritable conservateur des caractéristiques architecturales de
l'époque "El DjazaUr". Pour la réussite de cette entreprise fort vaste, il est indispensable que la méthode de
travail, qui commence à faire ses preuves au niveau du projet de restauration de la Citadelle, voit son
application s'étendre à tout travail d'analyse, s'appliquant à l'architecture de l'époque turque sur le site "El
DjazaUr".
• Que l'étude sur le "Bastion 23" suive les principes de cette méthode et la consignation des
connaissances sur la Casbah s'en trouvera enrichie, et plus solide sera la référence
scientifique sur laquelle reposeront les choix futurs de restitution historique, restauration ou
autres modes de traitement liés aux monuments classés du Site.
• Ont participé à l'élaboration de ce rapport - André Ravereau, architecte DPLG, expert-
consultant Unesco - Sheherazede Nafa, architecte de l'atelier Casbah - Karl Rupprecht,
ingénieur à l'atelier Casbah - Bernard Declève, ingénieur architecte} expert associé
Unesco. ALCr/77/034 - Opération de sauvegarde et de restauration du Bastion 23, Alger
• Etat de3. bâtiments
• Ecroulement
• Trois maisons, les numéros 10, 21, Z, ont eu au cours de l'automne 1979 la majeure partie de leurs
constructions effondrée
Monsieur Karl Rupprecht, ingénieur à l'atelier Casbah, il ressort que l'état des immeubles numéros 21 et Z,
en tout cas, est tel qu'il convient de procéder à leur démolition complète (1).
Le numéro 10 par contre peut être étayé pour analyse en vue d'une éventuelle conservation.
Pratiquement aucune maison du "Bastion" n'est intacte et toutes sont vouées et exposées à des
effondrements partiels ou totaux.
Une opération de sauvegarde doit être entreprise. Cause des ruines Les causes des écroulements à déplorer
et les risques de nouveaux désordres sont tous principalement liés aux effets de l'eau. ' Désordres
observés lors des visites - En terrasses:
- Altération (déjà ancienne) des revêtements de terrasses;
- - Rebouchage au ciment des fissures, méthode qui ne
- s'oppose jamais à de continuelles infiltrations de la pluie;
- - Exécution de constructions en sur-élévation
- - sans précautions relatives à l'étanchéité
- - absence de solins
- - surchage déformant les structures -.
- des planchers;
- - Affaissement des planchers (provoqués ou spontanés) entraînant la stagnation de l'eau dans des
flaques à partir desquelles les infiltrations • ruinent les structures des planchers et des maçonneries;
- - Descentes d'eaux pluviales (anciennes ou modernes) obstruées
- - infiltrations diverses.
• - Au_sol
• - Lea écoulements de3 eaux de toutes natures (pluviales ou usées) sont tous détériorés et ne fonctionnent plus;
• - les eaux de pluies ayant pénétré dans les Westeddars, et les eaux de lavages quotidiens ne s'évacuent plus que par le
canal des portes d'entrées, les grilles des égoûts étant obstruées;
• - Les "chebeks" ont très souvent, à l'époque coloniale, été recouverts par des verrières. A l'abri de cette précaution l'on
a cru pouvoir se permettre de transformer le sol de la cour et celui des galeries en supprimant les impluviums et leur
système d'évacuation pour réaliser un seul sol horizontal.

• - En sous-sol:
• - Les fondations , les voûtes des caves sont non seulement soumises aux infiltrations évoquées plus haut, mais encore
reçoivent d'autres courants d'infiltrations, pénétrations des eaux de ruissellement des surfaces des espaces
environnants ainsi que d'autres eaux souterraines.
• Cet effet de chose peut être un des facteurs des récents effondrements, lesquels ont commencé par des
infrastructures. C'est pourquoi, il y a nécessité absolue d'un examen de reconnaissance des sols par un laboratoire
spécialisé.
• Autres facteurs de désordre dfls à l'eau
• - Les lavages intempestifs des sols, au jet ou au seau Ces eaux abondantes s'infiltrent immédiatement et en continuité
dans les structures de planchers, pourrissant le bois des solives et du voligeage et compromettant, avec celle des
planchers, la stabilité même des murs.
• - Les fuites dans les canalisations d'amenée_et/ou_d^évacuation Toutes les canalisations sont à la fois vétustés et non
contrôlées ni réparées
• . En résumé, l'eau sous toutes 3es formes désagrège les constructions. Cette condition est néfaste pour les bâtiments
au titre de la conservation, elle rend les habitations insalubres pour les habitants et compromet même leur sécurité.
• Secteur A: maisons numéros 18, 23, 21 et Z (Planches 3 et 4) No
• « 18 : Cette maison située à 1'extrémité Nord-Ouest du Bastion est une des demeures les plus prestigieuses d'El-
Ljazaïr,
• Elle ne présente pas d'altérations"profondes,
• mais souffre d'une occupation ne disposant pas
• de conditions assurant la sauvegarde de l'édifice
• - exemple canalisation d'eau et d'eaux usées et
• détériorées, eaux stagnantes s'infiltrant
• - enfin toutes causes de ruines exposées aux
• généralités exposées en A.11
• « Le premier traitement qui s'impose consiste
• dans l'évacuation de ses actuels occupants.

• No, 23 : Cette maison, comme le No, 17 et No, 18, est une demeure d'importance et prestigieuse. Son état est
actuellement le meilleur qui soit dans l'ensemble du Bastion, on n'y relève pas les désordres dûs aux actions de l'eau
comme dans les autres constructions.
• No, 21 et Z: Ces deux maisons, avec celle du No, 10 de la partie Est du Bastion (Planche 4) font partie des trois
maisons dans lesquelles se sont produits les récents effondrements,
• No, 21 : Cette maison n'était en fait que le tronçon restant d'une importante demeure dont les deux tiers ont été
démolis à l'occasion de l'établissement de l'actuel boulevard.
• . No, Z : Cette construction de condition modeste est actuellement trop ruinée pour qu'on puisse distinguer les
qualités qu'elle contenait et juger objectivement des valeurs, (Comme précédemment, voir traitement).
• Secteur C : maicons numéros 8, 10, 12, X, 15, 17, 19 (Planches 7, 8, 9) No« 8 :
Cette maison a été considérablement remaniée, notamment dans sa
morphologie» Pour ce qui est des dispositions, son aile Ouest vers le square
actuel a été supprimée au ras du Westeddar, et vraisemblablement avec elle,
l,accès originel et sa "squiffa"« L'entrée actuelle a été percée (à l'époque
coloniale) dans l'axe du Westeddar au travers d'un appartement lui aussi
'disparu.
Par la suite, cette situation a entraîné la construction d'un mur, bouchant le fond des
arcades du Westeddar« D'autre part sur le développement de deux arcs, un plancher au
premier étage a été lancé sur le vide du Westeddar« Je n'ai pu visiter que des parties
reportées sur les plans« lio« 10: Cette maison fait partie de celles dans lesquelles se sont
produits les effondrements« Et c'est d'autant plus regrettable, qu'elle est l'une de celles qui
contenaient les éléments etles dispositions les
plus authentiques et les détails de
plus grande valeur« Comme pour
les numéros 7» 9t 11 e"t 13, la
façade est authentique sans
notables altérations. L'accès se
fait au niveau des voûtes qu'un
escalier longe pour atteindre le
niveau inférieur du Westeddar
• . Le Westeddar sur plan carré a deux niveaux de galeries - chaque pan n'est fait que d'un
seul arc. Sauf travaux de confortations difficiles à estimer à ce stade d'observation, il ne
semble pas que cette maison puisse ítre sauvée« No, 12: Même valeur de façade qu'au No«
10,
• Westeddar sur plan rectangulaire au rez-de-chaussée, niveau de l'entrée« Morphologie
pauvre ou appauvrie« îbrte altération par l'humidité.

• Mur mitoyen avec le No« 10


effondré« Restauration
souhaitable ne serait-ce qu'en
vertu de la façade« No« X
:Numéro non retrouvé Maison
non visitée, car personnes absentes.
• No, 15: Correspond à l'encombrement du passage couvert de l'Est, ne présente
pas un aspect classique des dispositions« - comme le No« 9f il n'y a pas de
Westeddar –
• la cage d'escalier est de' conception européenne –
cependant, l'une des pièces
de l'étage, vers la mer, conserve
un "kbou"«Stage des terrasses:
(accessible par les escaliers et
la partie du No« 19)« Encombré
de nombreuses constructions en
surélévation, son état est des plus
défectueux, affaissement,
évacuations obstruées, etc»
L'évacuation de ses habitants est
des plus urgentes C'est par cette
maison que devrait commencer
l'opération d'évacuation de l'ensemble du Bastion.
Synthès
e
Points forts
• Le quartier est caractérisé par une perméabilité propre à chaque type de tissu.
• Le quartier connaît une variété d’activités qui induit une variété d’usagers et donc
une mixité sociale.Poluvalence
• Un ensemble de caractéristiques architecturales qui lui confèrent sa singularité.
• Les places sont caractérisées par des formes irrégulières formant des nœuds.
• Le quartier est caractérisé par une singularité paysagère.
• Le quartier est très animé.
• On retrouve un parcours ponctué par des édifices présentant une importance
historique et culturelle.
• Certains espaces urbains peuvent s’adapter à différents types d’activités.
• Les usagers se sont appropriés l’espace urbain en le personnalisant ce qui à ... Le
paysage urbain.
Penon isolé et jetée condamnée
Points faibles
par l’armée
Places non exploitées
Rupture avec la mer transformées en nœuds.

Voûtes non exploitées

Potentialités touristiques non


Circulation piétonne et automobile Problèmes de stationnement Vétusté du bâti exploitées
anarchique.
Proposition de réaménagement urbain
1 Proposition de Redon, 1884
• Création d’ une liaison entre la place du gouvernement
et le bastion 23
• Destruction de tout le quartier
• Plan en damier respectant la continuité des voies
preexistants

Ce plan, effaçant completement les traces historiques du


quartier (en l’occurrence les deux mosquée s) ne sera pas
réalisé pour cause d’atteinte à la memoire du site.

Le projet prevoyait une serie de mouvements, la bourse,


tribunale , la chambre de commerce afin de maintenir le
quartier comme centre d’affaires.
2 Organisation du quartier de la marine, 1938 1942
Le Corbusier developpa son projet avec un plan en
Y axé sur la jetée, geste marchand qui exalte le site
et reprend le triangle de la marine à travers les trois
tours, qui vont se distingués par leur gabarits et
symbolisent les portes.

L'architecte expérimente les variantes typologiques et


architecturales.
La tour rassemble toutes les fonctions, elle tient son nom de
sa forme en Y.
3 Proposition de M. CROCI, 1932

•Il propose de prolonger le boulevard front de mer par un


bâtiment long de 37000 mètres
•La plate forme du boulevard serait établie sur des piliers ,
dont la toiture permettrait la circulation des voitures ,
l’intérieur serait aménager en gars, entrepôts, ateliers …
•La démolition du quartier est inévitable
•Il préconise un tracé viaire en damier avec une succession
de place , carrefours, rues larges

M.Croci, plan d’aménagement 1932


Alger politique urbaine 1846.1858
La bibliographie
 Sources documentaires :
 Livres :
• Les usages de patrimoine, monuments ,musées et politique coloniale en Algérie
1830-1930. NABILA OULEBSIR
• Alger a l’poque ottomane ; la médina et la maison traditionnelle . SAKINA
MISSOUM
• La casbah d'Alger ; Le site créa la ville ANDRE RAVEREAU.

 Thèses :
• Requalifications des vides urbains de la basse casbah BOUDALIA NADIA
• Réinterprétation de l’héritage vernaculaire dans l’architecture durable ATEK AMINA.
• Réappropriation du cœur d’ilot, Casbah d’Alger MESLI IMED
 Sources graphiques :
 PDAU ; PPSMV ; INTERNET
 Sources iconographique :
 www.google .com

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