Français
ROBE Gaston
10/05/2025
Commentaire de Texte
Le 19ème siècle, un siècle qui n’est pas de tout repos avec la révolution
Française qui marque le début du siècle, puis des guerres européenne. Avant la
révolution industriel, qui apportera beaucoup de choses notament la photographie.
La photographie qui apportera beaucoup au autres mouvement artistique elle
apportera le réalisme dans la peinture et la littérature. Le réalisme qui inspira
notament Émile Zola pour les romans Germinal et Thérèse raquin. Mais il n’y’a pas
que le réalisme il y’a aussi le fantastique avec les vampire et d’autre créature. Cette
époque est aussi marqué par de grand auteur Victor Hugo, Emile Zola. Cependant
aujourd’hui nous allons parlé de Théophile Gautier et plus particulièrement d’un
extrait de sont romans La Morte Ammoureuse. La morte Ammoureuse est un roman,
publié en 1836 cette ouvrage parle d’un homme et de sont amante Clarimonde;
malgrès qu’on les prévenue sur le fait que Clarimonde soit un vampire il décida de
continué ça relations avec elle mais il est décidé de la surveillée. L’amour est il réel
entre les deux amants ? Premièrement nous verront Une scène de ruse et de
révélation double puis nous verrons Un Amour tragique
Cette scène montre la méfiance qu’a le narrateur (le mari) envers
Clarimonde on peut tou d’abord voir cette méfiance : « je vis dans ma glace, dont
elle n’avait pas calculé la perfide position » (l. 1) on peut tout d’abord remarqué que
l’auteur utilise un language soutenue avec le mot perfide, ce mot qui lui sert à décrire
la position de la glace si la glace a une position perfide et qu’elle ne la pas vue c’est
pour l’espionner car il n’a pas confiance et on peut voir sur la ligne d’après :
« Clarimonde qui versait une pourpre dans la coupe » (l. 2) que le narrateur qui a un
point de vue interne on sait ce que pense le mari et ce que voit le mari; donc on ne
sait pas ce qu’est la poudre le lecteur et le narrateur peuvent donc s’imaginer que
cette poudre verser dans la coupe est du poison. Ce qui donna suite a cette situation
: « je feignis d’y porter mes lèvres » (l. 3) le narrateur utilise toujours un language
soutenue pour montrer que ce roman s’addresse au classe plus cultivé de la société,
mais ce qui est important dans cette phrases c’est qu’en faisant semblant de trempé
c’est lèvre dans le vins il ruse pour ne pas ingérer la poudre qui est dans le vins on
peut voir qu’il ce méfit des moindre fait et gestes de sont amante. Ça dernière ruse
fut d’aller ce coucher mais de ne pas dormir « bien déterminé à ne pas dormir et a
voir ce que tout cela deviendrait. » le mot bien ici nous fait dire que qu’il est plus que
déterminé aussi il veut voir ce que ça femme fera pendant qu’il dort ne pas dormir
est une ruse pour voir ce que ça femme fait pendant qu’il « dort ». Sont amante dans
cette extrait fera deux révélation la première c’est qu’elle veut boir sont sang ce qui
explique les méfiance du mari : « Une goutte rien qu’une petite goutte rouge, un
rubis au bout de mon aiguille » (l. 11) c’est le début de sont monologue qui est un
discours direct. Elle répète le mot goutte deux fois pour montrer que c’est sont
précieux qu’elles en a besoins ou peut ensuite remarqué qu’elle utilise fait un
euphémisme en disant que : « rien qu’une petite goute » elle aténue le fait de lui
prendre une goutte de sang comme pour libérer ça conscience comme si elle était
addict au sang ce qui est le cas car c’est une vampire et qu’elle en a besoins pour
survivre; elle fait aussi une métaphore en remplaçant le sang par un rubis si le sang
est un rubis alors il est précieux le sang du narrateur est présent pour sont
ammante. Aussi pour soulager ça conscience de lui prendre du sang elle le
culpabilise : « Puisques tu m’aimes encore, il ne faut pas que je meure … » elle le
culpabilise en utilisant les sentiment car si tu m’aime tu ne peux pas tu ne dois pas
me laisser mourir mais vue que c’est un monologue et que le narrateur ne parle pas
elle fait ça pour soulager ça conscience. Les deux dernière phrases que je vient de
citer sont la première révélation elle va prendre sont sang. La deuxième révélation
est qu’elle aime énormément : « je pourrais me résoudre à avoir d’autres amants
dont je tarirais les veines; mais depuis que je te connais j’ai tout le mond en
horreur » dans cette citation Clarimonde montre que depuis qu’elle la rencontré elle
ne peut aimer personne d’autres que lui et ne peux voir personne d’autres que lui
même si elle pourrais boire entièrement le sang de c’est amant elle ne pourrais pas
trompé le narrateur et ne peut ce résoudre a le tuer c’est une sorte de déclarations
d’amour qu’elle fait dans son monologue en disant ceci.
Elle montre d’abord sont amours : « dors , mon dieu, mon enfant; je ne te
Ferai pas de mal » (l. 13-14) l’auteur utilise une première métaphore en utilisant le
mot dieu pour désigner le narrateur le mot dieu signifie a quel point le narrateur est
importante pour Clarimonde cette métaphore montre que le narrateur est respecter
aimer et presque diviniser par sont amante, mais ensuite il utilise une antithèse pour
contraster avec la métaphore de dieu en utilisant la métaphore de l’enfant pour
désigner le narateur cette métaphore montre toujours l’importance qu’a le mari pour
sont amante mais comparé a dieu qui est tou puissant l’enfant est impuissant ça
montre aussi a quelle point le narrateur est vulnérable au près de ça femme, elle
peut le tuer sans efforts. Elle montre aussi qu’elle l’aime en montrant ça fidélité : «
Si je ne t’aimais pas tant, je pourrais me résoudre à avoir d’autres amants » (l.
15-16) pour montrer qu’elle aime elle continue de dire que si elle ne l’aimais pas elle
aurais pue voir d’autres amants pour boir leurs sang mais ce serais le tromper et elle
est fidèle elle donne une place très importante de ça vie au narrateur car elle donne
sont cœur. Mais cette amour est aussi tragique : « Dors mon seul bien » (l. 13)
l’auteur utilise encore une métaphore avec le mot bien qui désigne encore une fois le
marie mais cette fois sous un tout autres thermes celui de bien matériels et non pas
seulement materiel mais c’est aussi un bien qui appartient Clarimonde car elle utilise
les thermes « mon seul » qui fait signe d’appartenance sont seul bien pour ce nourrir
peut être comme si sont amant était en vérité ça nourriture. Cette amour est tragique
car Clarimonde dois ce servir de sont amant : « je ne prendrai de ta vie que ce qu’il
faudra pour ne pas laisser éteindre la mienne » (l. 14-15) au lieux de parler de sang
qu’elle prend elle dit qu’elle lui prend uen partie de ça vie elle avoue donc lui voler
une partie de ça vie pour qu’elle ne meurt pas ce qui montre la tragédie de leurs
amour elle qui d’ailleurs n’est pas heureuse de faire ça : « Et, tout en disant cela, elle
pleurait » pendant qu’elle faisait sont monologue au discours directe car elle utilisait
le présent elle s’éfondrais en larme les larmes soulignant le tragique de cette
histoire.
Pour conclure cette extrait du roman La morte amoureuse qui montre que
les deux amants s’aime vraiment malgrès la méfiance du narrateur qui ne bouge pas
pendant tout le monologue qui la laisse faire, malgrès le fais que Clarimonde utilise
sont sang on peut voir qu’elle aime elle pleure de ce qu’elle est obligé de faire c’est
bien pour ça que ce roman a un registre tragique. Il y’a aussi d’autres romance
tragique comme Roméo et Juliett, Thérèse Raquin qui sont dans des styles différent
mais qui évoque une romance tragique.