Analyse Financière TSFC
Analyse Financière TSFC
Le diagnostic financier
SOMMAIRE
Les facteurs de production sont achetés sur des marchés "amont" contre des liquidités.
Les biens et services produits sont vendus sur les marchés "Aval" également contre des
liquidités. Ainsi, un entrepreneur disposant de liquidités et désireux de créer une entreprise,
devra se procurer par exemple un local, du matériel et acheter des matières premières pour
réaliser ses objectifs. Il va donc échanger ses liquidités ou "stock de Monnaie" contre des actifs,
certains étant destinés à être utilisés rapidement dans l’entreprise (matières premières), d'autres
étant appelés à rester dans l'entreprise une durée plus longue (local, matériel) ; le but de
l'entrepreneur n'étant pas de maintenir ses actifs figés, mais de produire des biens et les vendre
à d'autres agents économiques.
Il verra ainsi une partie de ses actifs se transformer en monnaie. Le cycle financier
désigne ce processus qui intègre toutes les opérations intervenant entre le moment où une
entreprise transforme un stock de monnaie initial en un certain bien ou actif, et le moment où
le même bien se transforme en monnaie.
1- Le cycle d'exploitation :
On entend par cycle d'exploitation l'ensemble des opérations réalisées par l'entreprise
pour atteindre son objectif : produire des biens et des services en vue de les échanger.
• L'acquisition des biens et des services entrant dans le processus de production : c'est
la phase d'approvisionnement ;
• La transformation des biens et des services pour aboutir à un produit fini : c'est la
phase de production ;
• La vente des produits finis : c'est la phase de commercialisation.
Ce processus doit fonctionner de manière continue pour assurer un emploi optimal des
moyens mis en œuvre : travail et capital. Or, les flux physiques d'entrée (les achats) et le flux
physique de sortie (les ventes) interviennent de manière discontinue.
Stocks Produits
Ventes
finis
2- Le cycle d'investissement :
Le cycle d'investissement est par définition un cycle long, dont la durée dépendra de
l'activité de l'entreprise, du rythme de l'évolution technologique et de la stratégie poursuivie.
Monnaie Moyens de
Production
Encaissements
On désigne sous le nom de "flux" les transferts de biens ou de monnaie effectués au cours
d'une période donnée entre deux agents économiques, alors qu'on entend par "stock" la quantité
de biens ou de monnaie mesurée à un moment donné. Les notions de flux et de stocks constituent
donc la base des états financiers de l'entreprise, et permettent d'en décrire la structure financière.
On distingue généralement trois types de flux ; les flux de résultats, les flux de trésorerie
et les flux de fonds.
Ces flux concernent les produits et les charges au sens de la comptabilité générale. Parmi
ces flux, certains donnent lieu à des encaissements ou des décaissements, tel est le cas des
ventes, des achats, impôts,… D'autres flux n'ont aucune incidence sur la trésorerie, exemple les
dotations aux amortissements. Les flux de résultats concernent toutes les opérations
économiques ayant une incidence sur l'enrichissement de l'entreprise.
2- Les stocks :
Les stocks désignent les quantités de biens ou de monnaie mesurées à un moment donné.
Ils correspondent donc aux stocks d'emplois et de ressources consignés dans le bilan ; ce dernier
est un document qui permet de déterminer ponctuellement la situation financière de l'entreprise.
Séquence 3 : Les objectifs du diagnostic financier
L'objet du diagnostic financier est de faire le point sur la situation financière de
l'entreprise, en mettant en évidence ses forces et ses faiblesses, en vue de l'exploitation des
premières et de la correction des secondes.
Ayant répondu à ces quatre questions, le chef d'entreprise peut faire une synthèse en
détectant les points forts et les points faibles de son entreprise. De ce fait ces éléments peuvent
être résumés dans les étapes suivantes :
Informations comptables :
Bilan comptable retraité ou bilan fonctionnel, soit au bilan financier.
Compte de produits et charges d'où on va dégager l'état des soldes de gestion ;
Sur la base de ces documents on établira les ratios relatifs à chacun d'eux.
3ème étape :
Sélection des outils d'analyse financière les mieux adaptés aux objectifs poursuivis :
Equilibre financier
Solvabilité
Risque économique et financier
Rentabilité
Croissance
Autonomie financière
Flexibilité financière.
4ème étape :
Diagnostic financier (atouts et handicaps)
Atouts Handicaps
Flexibilité Baisse des résultats
Rentabilité élevée Baisse de chiffre d'affaires
Bonne liquidité Insuffisance de ressources stables
Forte croissance Insuffisance d'investissement
Dégradation de la trésorerie
Surendettement, etc…
5ème étape :
Pronostic et recommandations : Perspectives d'évolution et Recommandations.
Partie II- Les outils d'analyse financière
Séquence 1 : Analyse de l'activité et de la rentabilité : l'état des
soldes de gestion
I- GENERALITES
L'état des soldes de gestion (E.S.G) constitue le troisième état de synthèse qui n'est
obligatoire que pour les entreprises réalisant un chiffre d'affaires supérieur à 7,5 millions de
dirhams et donc soumises au régime normal.
3- L’intérêt de la CAF
En effet, crédit-bail et personnel extérieur sont comptabilisés dans les autres charges
externes (comptes 6132 et 6135), donc dans les consommations de l'exercice qui viennent réduire
la VA alors qu'ils se substituent non à des consommations mais à des emplois de la VA :
Cette transformation est à opérer non en comptabilité, mais dans le calcul extracomptable
de gestion chaque fois que redevance de crédit-bail et services de personnel extérieur sont d'une
importance significative (de nature à fausser les soldes de gestion).
Le bilan fonctionnel représente à un moment donné les emplois et les ressources, quelle qu'en
soit la qualification juridique, liés aux principaux cycles de fonctionnement de l'entreprise. Le
découpage fonctionnel du bilan peut être représenté dans le bilan suivant.
Ce découpage permet de calculer aisément des agrégats très significatifs sur le plan de la
gestion et qui permet de caractériser l'équilibre financier de l'entreprise, à savoir : le fonds de
roulement fonctionnel, le besoin de financement global et la trésorerie nette.
C'est la part des ressources stables disponibles après le financement des actifs immobilisés et actifs
sans valeurs pour contribuer à couvrir les besoins de financement liés à l'exploitation.
Il est en effet souhaitable que les besoins de financements structurels d'une entreprise
(investissements) soient couverts par des réserves ayant le même caractère de stabilité, on
minimise ainsi le risque d'atteinte à la survie de l'entreprise par remise en cause de ses
financements à court terme.
Cependant dans certains secteurs d'activités tel que la grande distribution ou certains services,
on peut admettre un FRF négatif, ceci dans la mesure où :
Les stocks sont nuls ou tournent vite ;
Le volume des achats est important par rapport au chiffre d'affaires et les fournisseurs
accordent des délais de paiement relativement longs.
C'est la part des besoins en financement non couverte par les ressources provenant de cette même
exploitation.
BFG = Actifs circulants H.T – Passifs circulant H.T
Actifs
Circulants
HT Passif circulant HT
Les besoins en financement sont essentiellement constitués par les stocks et les créances
clients, les ressources provenant de l'exploitation par les dettes fournisseurs. L'importance de ces
postes dépendent à la fois des contraintes propres au secteur de l'entreprise (durée du cycle de
production, image de la profession en matière de crédit…), et de politique industrielle et
commercial.
• L'interprétation du BFG :
BFG>0 : il s’agit d’un besoin de financement. Les besoins du passif circulant (classe 4)
n’ont pas pu financer les emplois de l’actif circulant (classe 3).
BFG<0 : il s’agit d’une ressources. Le passif circulant (classe 4) peut financer les emplois
de l’actif circulant (classe 3).
3- La Trésorerie Nette
C'est l'excédent des liquidités (placées ou non) sur les financements bancaires courants
TN = FRF – BFG
TN = Trésorerie Actif – Trésorerie Passif
Le BGF est financé pour partie par des ressources stables (FRF) et pour solde par des ressources
plus volatiles (T.P)
Plusieurs situations :
Insuffisance du FRF et BFG positif : Ces deux besoins en financement sont couverts par des
ressources volatiles (T.P)
Situations confortables : FRF positif et BGF négatif. Ces deux types de ressources alimentent la
trésorerie
Le bilan financier a pour but de mettre à la disposition de l'analyste des informations significatives
pour se rapprocher d'une vision plus économique et financière de l'entreprise. En effet les
éléments du bilan sont classés, selon leur degré de liquidité ou d'exigibilité croissante d'une part,
d'autre part, les actifs sont pris pour leur valeur vénale. Ainsi le bilan comptable fait l'objet de
plusieurs retraitements.
Le stock outil : Correspond au stock minimum nécessaire que l'entreprise constitue pour
faire face à ses besoins d'exploitation, et éviter ainsi le risque de rupture de stock. Le stock
étant destiné à rester en permanence dans l'entreprise, ainsi il y a lieu de retrancher son
montant de l'actif circulant et le rajouter à l'actif immobilisé.
Les actifs à plus ou moins un an : Il s'agit de reclasser les éléments de l'actif en fonction
de leur échéance, ainsi la partie des prêts à recouvrer dans moins un an devrait être
transférée à l'actif circulant. De même on procédera de la même façon pour les créances
commerciales dont l'échéance peut être supérieure à 1 an ; qui se verra virée à l'actif
immobiliser ;
Les titres et valeurs de placement et les effets escomptables : Si ces titres sont aisément
négociables, il convient de les assimiler à la trésorerie actif ; au même titre que les effets
bancables ou escomptables.
- Les immobilisations en non valeur : Il s'agit d'un actif fictif, il convient d'éliminer le
montant correspondant de l'actif et des capitaux propres.
- Les charges constatées d'avance : ils peuvent être éliminées de l'actif du bilan ainsi
que des capitaux propres pour garder l'équilibre.
- Ecarts de conversion actif : certains auteurs préconisent leur annulation en augmentant
les créances ou en diminuant les dettes correspondantes.
Les plus-values et les moins valus latentes : Les biens de l'entreprise sont pris dans le
bilan financier pour leur valeur réelle et non comptable ; ainsi les plus-values ou les moins-
values constatées devraient être respectivement ajoutées ou retranchées des capitaux
propres.
La répartition du résultat : Les dividendes à payer doivent être éliminés des capitaux
propres pour être intégrés parmi le passif circulant hors trésorerie.
Dettes de financement : La partie des dettes de financement devenue à court terme doit être
transférée au passif circulant.
Dettes fiscales différés ou latente : tel est le cas des provisions pour risques et charges non
justifiées. La dette fiscale doit être calculée au taux d'imposition de l'entreprise et elle sera
assimiler, suivant son échéance à plus ou moins d'un an, dette de financement, soit au passif
circulant
Les obligations cautionnées : Elles peuvent être intégrées à la trésorerie passif.
Les comptes courants d'associés : ils peuvent être généralement considérés comme des
financements stables.
Elle consiste à évaluer dans une perspective de liquidation forcée, l'aptitude d'une
entreprise à rembourser toutes ses dettes en réalisant l'ensemble de son actif. Cette évaluation
intéressant principalement les prêteurs, se fait en déterminant l'actif net.
NB : L'actif net doit être positif et le rapport Actif net/Actif total > 20 %
Elle consiste, dans une perspective de continuité d'exploitation à évaluer l'aptitude d'une
entreprise à honorer ses engagements à court terme par la réalisation de ses actifs liquidables à
moins d'un an.
Ils ont pour objet de mesurer la part relative de chaque poste du bilan pour connaître la composition
des emplois et des ressources de l'entreprise.
L'intérêt des ratios de structure apparaît au niveau de la comparaison soit par rapport à
ceux d'un concurrent, soit à ceux antérieurs.
Ces ratios ont pour but d'évaluer l'équilibre financier à court terme de l'entreprise, donc de
faire face dans le court terme à ses engagements. Il existe trois ratios de liquidité :
Les ratios de vitesse de rotation des stocks comparent chaque type de stock au flux annuel
correspondant. Ils mesurent ainsi la durée moyenne théorique de stationnement d'un bien dans
les stocks correspondant aux différentes étapes de processus de transformation et de
commercialisation propre à l'entreprise étudiée.
Durée de stationnement des marchandises dans l'entreprise entre leur achat et leur revente (durée de
commercialisation).
Durée de stationnement des matières premières dans l'entreprise entre leur achat et leur transformation.
Durée de stationnement des produits finis dans l'entreprise entre leur achèvement en production
et leur commercialisation effective. (Durée du cycle de commercialisation).
N.B :
- Toute diminution de ces durées de stationnement dans l'entreprise constitue un allégement du
besoin en financement, allégement toujours bienvenu.
- A l'inverse, toute augmentation constitue un alourdissement du besoin en financement
d'exploitation qui pèse sur la trésorerie.
a- Crédits clients :
Créances clients et comptes rattachés * 360
Chiffre d'affaires (TTC)
b- Crédits fournisseurs :
Dettes fournisseurs * 360
Consommation externes (TTC)
Les seuls fournisseurs pris en compte dans le calcul de ce ratio sont les fournisseurs de
consommables (biens stockés : marchandises, matières premières, autres
approvisionnements et biens non stockés tels que l'énergie et les services).
Les fournisseurs d'immobilisation sont exclus.
Remarque :
L'allongement du crédit fournisseurs et/ou le raccourcissement du crédit clients se
traduisent par un allégement du BFG.
A l'inverse, le raccourcissement du crédit fournisseurs et/ou l'allongement du crédit clients
induisent un alourdissement du BFG qui ne peut manquer de peser sur la trésorerie nette.
Un allongement du crédit fournisseurs, peut bien être dû aux talents de négociateur du
responsable des achats de l'entreprise qu'à des difficultés à faire face à des échéances.
Un raccourcissement du crédit fournisseurs peut provenir tant d'un pouvoir de négociation
faible ou d'une crise de confiance de la part des fournisseurs que de la négociation l'escompte
de règlements.
Un allongement du crédit client peut aussi bien être un élément de politique commerciale
que le résultat des mauvais payeurs (d'où la nécessité de vérifier le niveau des provisions sur
créances).
V- Ratios de rendement
I- Le tableau de financement :
1- Généralités :
Le tableau de financement fait partie des cinq états de synthèse. Il est obligatoire pour les
entreprises ayant un chiffre d'affaires supérieur à 7,5 Millions de dirhams.
Il explique les variations du patrimoine et de la situation financière de l'entreprise au cours
de la période de référence.
C'est un document qui pallie les inconvénients du caractère statique du bilan
Il décrit entre autres l'ensemble des ressources dont a disposé l'entreprise et l'utilisation
qu'elle en a faite.
Le tableau de financement comporte deux tableaux : La synthèse des masses du bilan et
Le tableau des emplois et ressources
Cette synthèse est directement établie à partir des montants nets des bilans de début et fin d'exercice
Synthèse des masses du bilan
Exercice Exercice Variation (1) – (2)
Masses précèdent Emplois Ressources
(1) (2) (3) (4)
+ Financement permanent (1) X X X Ou X
- Actif immobilisé (2) X X X Ou X
= Fonds de roulement fonctionnel (3) = (1) – (2) X X (-) X Ou (+) X
+ Actif circulant hors trésorerie (4) X X X Ou X
- Passif circulant (5) X X X Ou X
= Besoin de financement global (6) = (4) –
X X (+) X Ou (-) X
(5)
+ Trésorerie actif (7) X X X Ou X
- Trésorerie passif (8) X X X Ou X
= Trésorerie nette (9) = (7) –
(8) = X X (+) X Ou (-) X
(3) - (6)
La synthèse des masses du bilan met en évidence par simple différence les notions financières
suivantes :
Le fonds de roulement fonctionnel (FRF) : égale à la différence entre les financements
permanents et l'actif immobilisé.
En principe, le fond de roulement fonctionnel (FRF) doit être positif : pour une entreprise
industrielle ayant un cycle de production et de commercialisation d'une durée moyenne et
des contraintes de stockage elles aussi moyennes, le FRF devrait atteindre au moins 10 %
du chiffre d'affaires annuel et 20 % de l'actif circulant hors trésorerie.
Le besoin de financement global (BFG) : égale à la différence entre l'actif circulant hors trésorerie et
le passif circulant hors trésorerie.
C'est donc la part des besoins de financement relative à l'actif circulant H.T non couverte
par les ressources provenant de cette même exploitation (Passif circulant H.T)
En principe, le BFG est positif pour la plupart des entreprises. En effet les besoins en
financement sont essentiellement constitués par les stocks et les créances clients, les
ressources provenant de l'exploitation par les dettes fournisseurs.
La trésorerie nette (TN) : égale à la différence entre la trésorerie actif (T.A) et la trésorerie passif
(T.P). Cependant, un contrôle vertical permet de vérifier que cette T.N est également obtenue par
la différence entre le FRF et le BFG.
En effet :
T.N = T.A – T.P = FRF – BFG
Biens Financements
• Dans certains secteurs d'activité tels que la grande distribution ou les services, on peut admettre
un FRF négatif dans la mesure où :
Les stocks sont nuls ou tournent vite
Le volume des achats est important par rapport au chiffre d'affaires et les
fournisseurs accordent des délais de paiement relativement long.
• L'importance des postes composant le BFG, dépend à la fois des contraintes propres au secteur
de l'entreprise (durée du cycle de production, image de la profession en matière de crédit…) et
de sa politique industrielle et commerciale.
Remarque :
• Le montant du FRF est indépendant de la constatation d'écarts de conversion sur créances
immobilisées des dettes de financement quel que soit le sens de l'écart (favorable ou défavorable)
• Le montant du BFG est également indépendant de la constatation d'écarts de conversion
favorables sur créances et dettes circulantes.
• Dans le cas d'écarts défavorable sur créances et dettes circulantes, le FRF et le BFG sont réduits
du même montant (Celui de l'écart). La trésorerie restera ainsi inchangée.
ACQUISITIONS ET AUGMENTATIONS
D'IMMOBILISATIONS (E)
Acquisitions d'immobilisations incorporelles
X X
Acquisitions d'immobilisation corporelles
Acquisitions d'immobilisation financières
Augmentation des créances immobilisées
RMBOURSEMENT DES CAPITAUX PROPRES (F) X X
• Pour le flux de ressources et d'emplois stables, ils peuvent être obtenus de la manière suivante :
• Pour les deux autres masses (Variation de BFG et variation de la TN) ils peuvent être calculés à
partir des variations des montants nets du bilan :
La variation du BFG de la synthèse des masses constitue la somme algébrique des variations
des différents postes qui composent l'actif circulant hors trésorerie et le passif circulant hors
trésorerie
La variation de la TN de la synthèse des masse constitue également la somme algébrique des
variations de la trésorerie actif et de la trésorerie passif;
Remarque :
• Dans le cas où le poste écart de conversion correspondant à des dettes et créances en monnaies
étrangères existe, il convient de l'annuler des créances immobilisées et des dettes de financement
pour revenir aux montants historiques.
• Il convient également de neutraliser tous les mouvements ne constituant pas des flux comme les
virements de compte à compte par exemple.
• Le total général des emplois et celui des ressources, figurant à la fin du tableau, sont égaux.
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