Étude de Stabilité du Modèle SIR
Étude de Stabilité du Modèle SIR
SCIENTIFIQUE
UNIVERSITÉ ABDELHAMID IBN BADIS DE MOSTAGANEM
FACULTÉ DES SCIENCES EXACTES ET DE L’INFORMATIQUE
DÉPARTEMENT DE MATHÉMATIQUES ET INFORMATIQUE
FILIÈRE : MATHÉMATIQUES
Dédicaces
Je dédie ce travail :
Remerciements
Résumé
L’objectif de ce mémoire est d’étudier la stabilité globale d’un modèle SIR, en utilisant
la méthode de la matrice de la prochaine génération et le théorème de Lyapunov et le
principe d’invariance de LaSalle.
Table des matières
Dédicaces 2
Remerciments 3
Résumé 4
Introduction 6
1 Préliminaire 9
1.1 Généralités sur les systèmes dynamiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
1.2 Systèmes autonomes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
1.3 Notions de stabilité et point d’équilibre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
1.4 Méthode de calcul de <0 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
1.5 Méthode de Lyapunov . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
1.6 Le principe d’invariance de LaSalle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
Conclusion 29
Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30
Introduction
L’objectif de ce mémoire est de comprendre le comportement d’un modèle SIR.
La stabilité d’un modèle classique SIR en épidémiologie est considérée dans ce cadre.
L’épidémiologie est l’étude des épidémies. Comprendre et analyser le développement d’une
épidémie est une tache difficile, mais indispensable pour prédire ce développement, et agir
pour le freiner voir l’empêcher. Ces études permettent aussi de prévoir les conséquences
pour la population d’actions que la vaccination, la mise en quarantaine ou la distribution
de tests de dépistage. Les mathématiques sont au cœur de ces études épidémiologiques.
Le modèle SIR a été présenté pour la première fois par KERMACK et MCKENDRICK
[1] à Londres et Cambridge en 1927 pour expliquer a posteriori l’évolution de l’épidémie
de peste à Bombay en 1905-1906 . A.G Mckendrick était un médecin écossais militaire
de l’armée britannique, qui s’est spécialisé ensuite en épidémiologie et W.O. Kermarck
écossais lui aussi,était mathématicien de formation et a beaucoup travaillé dans le domaine
de la chimie. Pour étudier une situation réelle, on commence par extraire de la situation
ses caractéristiques principales. Les hypothèses et simplifications faites permettent alors
de décrire la situation mathématiquement : on crée alors un modèle. On substitue ainsi
au monde réel le monde idéal et simplificateur des mathématiques . Ensuite on utilise
des techniques mathématiques connues pour analyser, étudier le modèle . Les conclusions
obtenues sont ensuite retraduites dans le langage du monde réel. Par définition un modèle
est faux , puisqu’incomplet et imparfait. Par confrontation à l’expérience et au réel les
modèles peuvent être affinés.
La population de modèle SIR est divisée en trois catégories (qu’on appelle ”comparti-
ments” dans le langage de l’épidémiologie) :
- Les individus ”Susceptibles” ou ”Sains” (S) : ceux qui n’ont jamais eu la maladie,
et peuvent la contacter ;
- Les individus ”infectés” (I) : les malades, ce sont aussi les contagieux (c’est une
hypothèse de modèle) ;
- Les individus ”Rétablis” (R, comme ”Recovered” en anglais) : ceux qui ont déjà eu
la maladie et sont désormais immunisés contre ce maladie (c’est une hypothèse de
ce modèle). On inclut dans ce groupe les personnes décédés (puisqu’elle ne peuvent
plus contacter la maladie, et parce que c’est pratique).
Il parait plus naturel de travailler avec le nombre de personnes dans chaque catégorie,
mais certains calculs seront plus simples si on utilise plutôt la proportion de personnes
dans chaque catégorie, ce qui nous permet de connaitre tout aussi bien la progression de
6
l’épidémie.
On note donc :
S(t), I(t) et R(t) la proportion d’individus de chacune des catégories( les sains, les in-
fectés, les rétablis) à l’instant t.
notre objectif est de connaitre l’évolution de S(t), I(t) et R(t) au cours de temps.
pour cela on cherche dans un premier temps à déterminer les règles qui régissent les
variations de ces variable.
7
A noter β et λ caractéristiques non seulement de la maladie, mais aussi de la popu-
lation considérée pour une même maladie, ces valeurs peuvent varier en fonction de
la population touchée.
Ce mémoire est organisé de la façon suivante : Dans le premier chapitre, nous ex-
posons quelques définitions et outils mathématiques pour étudier la stabilité d’un
modèle SIR. Dans le deuxième chapitre on étudie la stabilité globale du modèle SIR
en utilisant la méthode de Lyapunov.
8
Chapitre 1
Préliminaire
9
1.2. SYSTÈMES AUTONOMES
2. L’application Φ0 définie sur Ω tout entier est l’application identité sur idΩ ;
.
x = X(x) (1.1)
10
CHAPITRE 1. PRÉLIMINAIRE
lim Xt (x) = x0
t→+∞
lim Xt (x) = x0 .
t→−∞
.
x = f (x, t), t ∈ Rn (1.2)
11
1.3. NOTIONS DE STABILITÉ ET POINT D’ÉQUILIBRE
.
x = Ax (1.3)
Théorème 1. Supposons que toutes les valeurs propres de Df (x̄)ont parties réelles négatives
alors le point d’équilibre x̄ du système (1.1)est localement asymptotiquement stable, et in-
stable si au moins une des valeurs propres a une partie réelle positive.
Théorème 2. :(Lions-Magenes)[3]
Soit V un espace de Banach,A une forme bilinéaire, continue et coercitive sur V et L une
forme linéaire continue surV .
Alors, il existe un unique élément ū de V solution du problème variationnel suivant :
12
CHAPITRE 1. PRÉLIMINAIRE
lim Xt (x) = x0
t→+∞
Définition 1.3.3. x0 est un point asymptotiquement stable pour le système (1.1) s’il est
stable et attractif.
13
1.4. MÉTHODE DE CALCUL DE <0
xi , i ∈ {1, ..., n} est le nombre d’individus dans les compartiments qui sont ordonnés
de tel sorte que les m premiers compartiments sont correspondants à des états infectés
(latents, infectieux,...) et les derniers sont correspondant à des individus libres d’infection
(susceptible,...).[4]
Définition 1.4.1. Soit Ω = {x ≥ 0tellequexi = 0, i ∈ {1, ..., m}} l’ensemble de tous les
états sans maladie.
Remarque 1.4.1. Les fonction Fi (x) désignent le taux d’apparition des nouveaux infectés
dans le compartiment i.
Les fonctions V+
i (x) désignent le taux de transfert (entrant) des individus dans le com-
partiment i par tout autre cause.
Les fonctions V−
i (x) désignent le taux de transfert (sortant) des individus hors compar-
timent i. Pour des raisons biologiques les fonctions Fi (x), V+
i (x), Vi (x) sont supposées
−
A2 : Si xi = 0, alors V−
i (x) = 0 en particulier si x ∈ Ω alors Vi (x) = 0 pour tout
−
14
CHAPITRE 1. PRÉLIMINAIRE
Définition 1.4.2. :
Un état du système x0 est sans maladie, si les compartiments des infectés sont vides .
C’est l’équilibre de mortalité : Disease Free Equilibrium (DFE).
Lemme 1.4.1. :[3] Soit x̄ est un DFE c’est à dire point d’équilibre sans maladie du
système (1.2) et les fonctions fi (x) vérifiant A1 , ..., A5 , alors les matrices
" # " #
F 0 V 0
DF(x̄) = , DV(x̄) =
0 0 J1 J1
se décomposant en blocs.
Où F ≥ 0 est une matrice définie positive et V c’est une matrice inversible
σF (x̄) σVi (x̄)
F = , ,V = , aveci, j = 1, ..., n
σxi σxi
<0 = ρ(−F V −1 )
15
1.5. MÉTHODE DE LYAPUNOV
Théorème 3. :
Soit le modèle de transmission de la maladie (1.2) avec fi (x) satisfaisant A1 ...A5 si x̄ est
un DFE du modèle (1.2) alors x̄ est globalement asymptotiquement stable si <0 < 1 et
instable si <0 > 1 .
16
CHAPITRE 1. PRÉLIMINAIRE
Si la fonction V est définie positive et V̇ définie négative sur Ω, alors x0 est un point
d’équilibre asymptotiquement stable pour le système (1.1)
Ce théorème affirme que pour montre qu’un point d’équilibre x0 est stable, il suffit de
trouver une fonction de Lyapunov en ce point. Part ailleurs, pou utiliser le théorème
original de Lyapunov pour montrer la stabilité asymptotique d’un système donné, nous
devons déterminer une fonction V définie positive dont la dérivée V̇ est définie négative.
Dans le cas général, ceci n’est pas évident. La condition sur la dérivée V̇ peut être allégée
en utilisant la principe de la salle qui sera énoncé dans la section suivante[2]
17
1.6. LE PRINCIPE D’INVARIANCE DE LASALLE
18
Chapitre 2
19
2.1. FORMULATION DU MODÈLE
lation susceptible. Nous prouvons dans ce chapitre la globale stabilité de l’équilibre sans
maladie DFE situation non épidémique si <0 ≤ 1 et nous prouvons qu’il existe un unique
équilibre endémique DFE situation épidémique <0 ≥ 1, qui est globalement asymptotique-
ment stable sur le domaine privé de la variété stable du DFE. L’analyse de la stabilité
des modèles SIR classiques est connue depuis 1976 [9],[7]. La raison en est que l’étude de
la stabilité de ces modèles se réduit aux systèmes plans, et donc les méthodes de plan des
phases peuvent être utilisées : le théorème de Poincaré- Birkhoff. Les orbites périodiques
peuvent être exhibées en utilisant le critère de Dulac ou le critère de Busenberg et van den
Driessche. Dans la littérature récente, la méthode de Lyapunov a été utilisée avec succès
pour prouver la stabilité globale de l’équilibre endémique. La méthode consiste à trouver
une fonction, souvent notée V, définie positive telle que sa dérivée le long des trajectoires
est définie négative. Si la dérivéeV̇ est seulement négative, le principale d’invariance de
Lasalle étend la méthode de Lyapunov dans certains cas. Cette fonction est très difficile
a trouver. Cependant, la classe de fonctions
Pn
V = i=1 ai (xi − x̄i log xi )
est utilisée. Cette fonction a une longue histoire dans l’application des modèle du type
Lotka- Volterra et a été découverte par Volterra lui- même, cependant il n’a pas utilisé
le vocabulaire et la théorie des fonction de Lyapunov. En 2002, Korobeinikov et Wake
ont utilisé ce type de fonction pour prouver la stabilité de modèle SIR en 2004. Dans la
première section, nous formulons le modèle et étudions la stabilité globale du DFE quand
<0 ≤1. En deuxième section,nous étudions la stabilité globale de l’équilibre endémique si
<0 > 1 . Nous déduisons des résultats pour les modèles SIR.
20
CHAPITRE 2. ÉTUDE LA STABILITÉ GLOBALE DU MODÈLE SIR
λSI
Ṡ = − − µS + Λ
S+I
λSI (2.1)
I˙ = − (K + µ)I
S+I
Ṙ = KI − (µ + δ)R
où
N : la population totale
S :les susceptibles
I :les infectés
R :les récupérés
Λ :représente la natalité
λ :représente le taux d’infection
K : représente le taux de guérison
µ :représente le taux de natalité et de mortalité
δ :représente le taux de désinfection
Théorème 6. :
Soit Ω = {(S, I, R) ∈ R3+ /S + I + R ≤ N, S(0) > 0, I(0) > 0, R(0) > 0},alors les solutions
{S(t), I(t), R(t)} du ce système sont positive pour t ≥ 0.
preuve :
λSI
Ṡ = − − µS + Λ > 0 donc S(t) croissante ∀t donc S(t)≥ S(0) > 0 , ∀t ≥ 0
S+I
21
2.2. DÉTERMINATION DES POINTS D’ÉQUILIBRES :
De même pour
λSI
I˙ = − (K + µ)I > 0 donc I(t) croissante ∀t donc I(t)≥ I(0) > 0, ∀t ≥ 0
S+I
Ṙ = KI − (µ + δ)R > 0 donc R(t) croissante ∀t donc R(t)≥ R(0) > 0, ∀t ≥ 0
Remarque 2.1.1. On suppose que le taux de natalité est égal au taux de mortalité.
Ṡ = 0
I˙ = 0
Ṙ = 0
λSI
− − µS + Λ = 0
S+I
⇒ λSI
− (K + µ)I = 0
S+I
KI − (µ + δ)R
= 0
λSI
− − µS = −Λ
S+I
λS
⇒ ( − (K + µ))I = 0
S+I
KI
R =
µ+δ
λ − (K + µ)
D’après on trouve : I = 0 ou I = ( )S
K +µ
1ere cas : Pour I = 0
Λ
le point sans maladie est E0 = ( , 0, 0)
µ
λ − (K + I)
2eme cas : Pour I = ( )S
K +I
Λ λ − (K + µ) K λ − (K + µ)
le point endémique (avec maladie)est E1 = ( ,( )S, ( )S)
λ + µ − (K + µ) K +µ mu + δ K +µ
22
CHAPITRE 2. ÉTUDE LA STABILITÉ GLOBALE DU MODÈLE SIR
Pour calculer la valeur de<0 , nous allons utiliser les techniques de Van den Driessche
et Watmough[4].
0 0
F = λ λ
I S
N N
λ
I +µ 0
V = N
0 k+µ
!
+µ 0
VE0 =
0 k+µ
det(VE0 ) = µ(k + µ) ≥ 0
1
VE−1 = (comVE0 )t
0
detVE0
!
1 k+µ 0
=
µ(k + µ) 0 µ
23
2.3. CALCUL DE <0 :
Donc,
1
0
VE−1 = µ
0 1
0
k+µ
0 0
FE0 = λΛ
0
Nµ
1
00 0
µ
F V −1 = λΛ
0 1
Nµ 0
k+µ
0 0
=⇒ λΛ
0
N µ(k + µ)
det(F V −1 − αI) = 0
0−α 0
=⇒ λΛ =0
0 −α
N µ(k + µ)
α = 0
=⇒ λΛ
α =
N µ(k + µ)
alors, on obtient
<0 = ρ(F V −1
λΛ
= max 0,
N µ(k + µ)
λΛ
=
N µ(k + µ)
24
CHAPITRE 2. ÉTUDE LA STABILITÉ GLOBALE DU MODÈLE SIR
Notons que les système dynamiques sont très répandus en modélisation biologique, et
en particulier en épidémiologie. Dans beaucoup de modèle épidémiologique l’équilibre sans
maladie est stable lorsque’une quantité seuil, en l’occurrence le taux de reproduction de
base, est inférieure à 1.Lorsque cette même quantité dépasse 1 l’équilibre sans maladie
perd sa stabilité au profit d’un équilibre endémique.
λ
Pour le point sans maladie E0 = , 0, 0 de modèle SIR est :
µ
λΛ
• globalement asymptotique stable si <0 = <1
N µ(k + µ)
λΛ
• instable si <0 = >1
N µ(k + µ)
λΛ
Théorème 7. Si <0 = < 1 alors le DFE est globalement asymptotiquement
N µ(k + µ)
stable sur Ω.
V (S, I) = I,
V̇ = I˙
λ
= IS − (k + µ)I
N
<0 N µ(k + µ)
On remplace λ = .
Λ
25
2.4. STABILITÉ GLOBALE DU DFE :
on trouve,
<0 µ(k + µ)
V̇ = IS − (k + µ)I
Λ
<0 µ(k + µ)
= S − (k + µ) I
Λ
<0 µ
= (k + µ)( S − 1)I
Λ
<0 µ
= (k + µ)( S − 1)I ≤ 0
Λ
I=0
V̇ = 0si Λ
S = et<0 = 1
µ
qui est réduit au DFE. Puisque nous somme dans un compact positivement invariant,
Par le principe d’invariance de Lasalle, le DFE est globalement asymptotiquement stable
dans Ω.
26
CHAPITRE 2. ÉTUDE LA STABILITÉ GLOBALE DU MODÈLE SIR
λSI
Ṡ = −
− µS + Λ
S+I
λSI
I˙ =
− (K + µ)I
S+I
¯ tel que :
Un équilibre pour système différent de DFE E1 = (S̄, I)
où
Λ
S̄ = ,
λ−k
λ
I¯ = ( − 1)S
k+µ
<0 N µ(k + µ)
On remplace λ =
Λ
Alors,
1
S̄ =
<0 N µ(k + µ) − Λk
et
< 0 Nµ − Λ
I¯ = .
Λ
I¯ ≥ 0
<0 N µ − Λ
=⇒ ≥ 0
Λ
<0 N µ
=⇒ −1 ≥ 0
Λ
<0 N µ
=⇒ ≥ 1
Λ
Λ
=⇒ <0 ≥ =1
Nµ
=⇒ <0 ≥ 1.
27
2.5. STABILITÉ GLOBALE DE L’ÉQUILIBRE ENDÉMIQUE :
Quand <0 = 1 cet équilibre coı̈ncide avec le DFE, Alors il existe un unique équilibre dans
l’intérieur du simplexe si seulement <0 > 1.
λΛ
Théorème 8. Si <0 = > 1, le DFE est instable et il existe un unique
(N µ(k + µ))
équilibre,
¯ est globalement asymptotiquement stable .
alors le point d’équilibre E1 = (S̄, I)
¯
V (S, I) = S − S̄lns) + (I − IlnI
V (S, I) ≥ 0
I − I¯ dI
dV S − S̄ ds
= +
dt S dt I dt
I − I¯
S − S̄ −λIS λIS
= − µS + Λ + S − (k + µ)I
S S+I I S+I
= B−A
¯
Tel que B = Λ + λI S̄ + µS̄ + (k + µ)I,
S̄ λS I¯
A = µS̄ + Λ + (k + µ)I + ,
S S+I
dV dV ¯ donc le plus grand
On conclut que si B < A alors ≤ 0 et = 0 si S = S̄, I = I,
dt dt
ensemble invariant contenu dans
dV
L = (S, I) ∈ Ω/ =0
dt
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CHAPITRE 2. ÉTUDE LA STABILITÉ GLOBALE DU MODÈLE SIR
Conclusion
Notre objectif dans ce travail est d’étudier les propriétés de stabilité globale des états
d’équilibres maladie -libre et endémique sous la dynamique du système (2.1) qui sont
entièrement déterminées par le taux de reproduction de base <0 .
La stabilité globale asymptotique de l’équilibre maladie-libre est facilement obtenue au
moyen de fonction de Lyapunov et du Principe d’Invariance de Lasalle pour <0 ≤1.
On a obtenu des formules pour lesquelles l’équilibre endémique est unique et le même
résultat de stabilité est obtenu pour cet état d’équilibre pour <0 > 1.
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Bibliographie
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