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Variations Linguistiques du Français

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Les variations du français

- Variation diatopique : espacé


Selon où se trouve le locuteur, selon la dénomination géographique va a parlé de façon
différente

- Variation diaphasique: contexte


Selon la situation de communication, nous avons différents registre

➔ les registres 3 grandes catégories:

1. au niveau de la phonétique→ qui se réfère à une façon de parler qui


se concentre sur l'aspect sonore

2. au niveau morphosyntaxique →a l'oral ce qui fait la différence


c'est l'intonation des énoncés mais le sen reste le même

3. au niveau du lexique→la selection des mots

(vedi tabella appunti pag 9 )

- Variation diachronique : temps


- Variation diamésique : canal de communication

Statalisme: variante linguistique dont l'extension coïncident avec un état( ex. Bancomat
en Suisse, cégep au québec). utilisé à l’intérieur d’un état, éléments qui se réfèrent à la
culture administrative.

Diatopisme: variante locale.des éléments qui vont distinguer une variété d’une
autre variété.
● Déjeuner-souper-dîner (différence dans l’usage)
● Huitante (restriction à une partie de la Suisse

Glottophobie : c'est une phobie contre une personne laquelle est stigmatiser par une
autre parce qu'elle a un accent différente

Stéréotype : c'est une idée, un preconus très généralisé qui est toujours condivise par
une communauté mais qui ne correspond pas à la réalité
Archaïsme= chose qui sont restés dans la langue
Néologisme= nouveaux mots

1
Dialectalisme= emprunts aux langues locales

Français de référence :
- niveau zéro de la langue français,
-c'est la langue qui est parle et enseigne à l'école
-celui du journaliste

Interview d'une jeune parisien


Conversation à Paris avec un étudiant

Lieu de l’enquête : Paris.


Locuteur interviewé : JJ avait 25 ans au moment de l’enquête. Il est né en 1975 au
nord-est de Paris mais depuis l’âge de trois ans, il vit à Paris même. Ses parents ont
également vécu à Paris, son père depuis la petite enfance, sa mère depuis l’âge de 10
ans. Ni l’un ni l’autre n’ont le baccalauréat. Son père a poursuivi une carrière en tant que
courtier maritime, samère est restée au foyer. Niveau d’études : JJ est en DEA de
linguistique (bac + 5)
Relation entre les locuteurs : Juste avant la conversation guidée dont il sera question
ici, JJ avait été enregistré par l’enquêtrice avec un de ses très bons amis, lui-même
étudiant, pendant plus d’une demi-heure de conversation libre à trois. La mise en
contact avait été faite par l’intermédiaire d’un de ses professeurs.
L’enquêtrice ne le connaissait pas avant le jour de l’enregistrement.

analyse
- il y a une familiarisation l'utilisation de “oue” a la place de “oui”
- lexique assez recherché (milieu,discipline, différences sociales, ethnie)
- le e mute disparaître a la fin de mots,il y a aussi la chute des syllabes
- dans certaines mots la partie initiale tombe comme enfin il dit → fin
parfois se corrige et il se laisse aller à un registre plus familier
- par contre la pronunciation est particulier [ pa cont]

“euh” un hesitation toujours fréquent dans la francophonie


il y a l'aspiration et nous pouvons le voir avec le mot beaucoup
il y a aussi des mots familiers

2
En termes de prononciation entre le jeune parisien et le jeune homme de pays absque il
y a des différences et des phénomènes assez important surtout dans la prononciation
de nasale qui sont très nasalisés dans la variété nord de la france et denasalisé dans la
variété sud au sud mais non au nord.

Du point de vue lexical le parisien utiliser des mots familier comme truc, boîte à bac,
vachement (adv très utilisée et intensificateur)

LA BELGIQUE
3 langue nationales:
- nord: flamand → langue très proche que irlande, ce sont des variétés du même
ensemble qui sont en terme compressibles comme le serbe et le croate
-sud : français dans la variété du français du belgique
-à la frontière: allemande

Bruxelle: zone bilingue→ francophone ou flamandephone

michelle francard
↪ un de le plus grand sociolinguistiques belge,
↪il travaille dans un quotidien belge ou il y a une rubrique sur la langue
↪ il observe bien de très près le phénomène linguistique

il a travaillé pour décrire la norme de la variété française de belgique avec des


spécificités phraséologiques, lexical , syntactic etc…

dans le vidéo il parle de communauté linguistique


↪ou les individus se reconnaisse comme le locuteurs d'
un même langue
par exemple
Nous avons la communauté linguistique de locuteurs de la langue française qui inclut pas
seulement les francs mais aussi qui parle le français puis la communauté de locuteurs français
comme langue seconde qui l’ont appris mais ce n'est pas leur première langue, puis encore la
communauté linguistique du belgique etc…

Il dit que les sociolinguistiques ont une responsabilité par rapport à l'objet de sa
recherche, c'est-à- dire que la sociolinguistique
↪peut être aussi une discipline que s'engage pour la
promotion d'une langue sur une territoire

3
comme le catalan en Espagne, le français au Québec .

il dit une chose important: son travaille contribué à faire évoluer la mentalité des
français de belgique par rapport à la variété de français dans le belgique → on des
représentations linguistiques : ce sont des idées qui sont un produit de la
communication/ environnement social qui produisent aussi des comportements

ex. on peut penser que le français est une langue logique tandis que l'italien exprime
affectivité ( stéréotypes, représentations linguistiques)

aussi l'idée que une langue pure est meilleur d'un langue avec emprunts

➔ en france il y avait des organisme pour défendre et protéger la


langue par rapport aux emprunts qui viennent de la langue inglés

claude hagège
↪il était une linguistique plus âgée
↪il a éprouvé d’expliquer la différence entre langue et dialect

la langue →est un dialect et il n’y a pas des différences culturelles entre le deux

A l'époque coloniale la langue locale était de dialect, mais c' est péjoratif , ce qui est
habituel dans certaines population qui pense parler une dialect mais en réalité c’est un
langue au tout les effets.

la différence entre langue et dialect est le caractéristique extérieur à langue


la langue est liée au pouvoir politique car le dialect non

1. premier critère : la langue a un standard/ le dialect est dépourvu : ca depend du


dialect ,si on pensons à l'alsacien,le breton ce sont de langues qui ne font pas
partie de la même famille
certains ont une grammaire, une orthographe selon le différents région de la france
mais aussi en italie avec le dialect napoletan

2. Normand,bourguignon, lorrain et francien (= dialectes parlés dans Ile de France)


sont de variété d’une langue mère : le latin superpose à un substrat de langue
partage . c’est n’est pas une structure hiérarchique mais le français est toujours
à côté , c’est la soeur

4
3. critère géographique : pas vrai
4. la langue a un patrimoin/tradition littéraire
5. rapreseation négatif dialectal en france , utilisé par les personnes qui ont un
intellect inférieur

contact de langue : il y a des phénomènes qui on se produit à cause de la proximité linguistique


, c’est quand deux langues sont en contact, on peut avoir aussi des phénomènes d’emprunt

conservation à gembloux

Lieu de l’enquête : Gembloux (province de Namur, Belgique).


Locutrice interviewée : CG, âgée de 54 ans au moment de l’enquête. A vécu depuis près
de cinquante ans à Gembloux. Issue d’un milieu populaire (de parents petits employés de
commerce), elle a fait des études supérieures non universitaires dans le
domaine de l’éducation. Son père parlait wallon, langue qu’elle déclare comprendre mais
ne pas pratiquer.
Relation entre les locuteurs : CG est la mère d’un ami de E1. E1 et E2 sont deux
étudiantes qui ont demandé à CG de participer à l’enquête qu’elles devaient réaliser dans
le cadre de leurs études.

ANALYSE
• Élongation de la voyelle
• Consonne muet il est dû au un substrat germanique présente en France).
• Niveaux lexical
Taiseux = taciturne →Archaïsme
Séchoir
FR Belgique = machine à sécher le linge FR standard.
FR Québec= sécheuse/laveuse= machine à sécher le ligne FR standard.
FR standard = appareil qui sert à sécher les produits pour les produits alimentaires.
D---la pronuncio /t/= insonorisation de la consonne (il est dû à un substrat germanique
présente en France).
On élimine tous les E muettes = tolgo tutte le sonorizzazioni,quindi la pronuncia diventa
più dura.

expressions français de Belgique

5
ce sont des belgicismes familier

-spéculoos : c'est un gâteau, c'est un biscuit très populaire en belgique, il vient de la


culture flamand
-partir en stoemelings: c’est un mot visiblement pas français, difficile à prononcer, on a
on a pris un mot et on a intégré et construit avec la syntaxe francais
(= on a pris le mot ‘ling’on adapté du point de vue morphologique avec un préfixe de
verbe français)
-babluter et broubeler se dérivent du verbe trouiller
-trouiller : avoir peur (on peut le trouver à la frontière avec la belgique)
c’est un création verbal, un néologisme à partir d' un mots qui existe en france du
france et qui est transformé de façon plus grande du point de vue de la classe de mots.

LA SUISSE
langues:
1. francais
2. allemagne
3. italien
4. romanche

situation de diglossie= il y a des variétés de la même langue une plus prestigieuse de


l'autre qui sont différentes entre elles.

patois : c'est un système linguistique avec des caractéristiques en termes de diffusion


territoriale , de norme et d'emplois, c'est un souvent des variétés dialectales utilisées
surtout en milieu rural.

helvetisme→ ce sont les spécificités du français parlé en Suisse, qui se construisent


avec un préfixe plus savant

Conversation à Gland (canton de Vaud, Suisse)


Lieu de l’enquête : Gland, commune du district de Nyon, se situe dans le canton de
Vaud.
Locuteur interviewé : JE est âgé de 45 ans au moment de l’enquête. Il est né à Nyon en
1957, où il a résidé jusqu’en 1995 avant de déménager à Gland. Depuis son apprentissage
d’employé de commerce, il travaille dans le milieu bancaire.

6
Relation entre les locuteurs : JE fait partie du réseau familial de l’enquêtrice
(locutrice francophone non native). Les deux se connaissent depuis longtemps et se
tutoient. Il s’agit d’une conversation guidée.

ANALYSE
• /A/ postérieur, chiusa e allungata
• Lexique
Le français suisse n’a pas beaucoup d’éléments lexicaux.
On a des realia, mots qui indiquent des réalités concrètes, notamment Le vocabulaire de
la cuisine.
- La fondue
- La raclette
- Des röstis

- Les asiles de vieux


FR standard= les asiles= sont des hôpitaux pour tous qui ont des maladies mentales/ ou
refuge, qui demandent asile.
FR suisse= de lieu qui accueillent les personnes âgée, maison de retraite.
- La votation
FR standard= on utilise le mot « vote »,
« votation » n’existe pas.
Donc ce passage d’un mot à l’autre, s’appelle dérivation inverse, restriction.

Exemple d’influence d’autres langues :


- Bancomat
En suisse on utilise ce terme au lieu carte de retraite
- Cuisine habitable
Influence par l’italien et l’allemand→ insécurité linguistique
Ben = élément qui caractérise l’orale , exprime une hésitation, ou un élément conclusif.

Afrique
pays du maghreb:
-algerie
-tunisie
-maroc

les langues :
● en afrique du nord :

7
-l’arabe
c’est une langue qui a plusieurs variétés et de phénomènes de diglossie a l'intérieur de
pays: il y a toute une palette de variétés locales.
c’est est la langue maternelle des locuteurs, qui a plusieurs variétés :
-l'arabe classique→la langue officielle institutionnel n’est pas la langue que les
jeunes utilisent tous les jours

-l’arabe national ou dialectal

● le français →n’est pas une de les langues officiels,pas statut officiel,parle à


l'école et pas les classes aisée
● les langue berbère→parle par les populations locales avant l'arrivée des
arabes

arabismes
- ‘le fqih’: est un personne âgée
- ‘amis du bien’: quelqu'un qui se comporte de la manière conseillé par la norme.
c’est est une expression française , la traduction littéraire d' une expression
figée en arabe,
- ‘le zakat’
- ‘bled’: c'est le village, un endroit rural
c’est un mot qui vient de de l'arabe algerien, il était rapporté en france par le
contact avec la communauté algerie et ca a fait que ce mot était intégré dans la
langue française au sens de village mais péjoratif c'est à dire une village perdue
de quelque part de la champagne

Sénégal

langues:

● le francais

-Langue de la promotion sociale

-parlé par Les élites rarement en famille

-percu comme langue seconde

senegalismes : particularités locales

● le wolof

8
-Langue de la communication orale, c’est un outil

-Beaucoup d’emprunts au français et aux autres langues

Alternance codique: les locuteurs produisent des énoncés complet dans une langue

par exemple
je dis un phrase en francais then I started speaking in english y después en espanol

Mélange codique: ce sont de mots ou des morceau de phrases à l'intérieur d'une même
énoncé
très caractéristique en maghreb et algérie
c’est un élément identitaire

CONVERSATION À BEJAIA (ALGÉRIE) : LES FEMMES ET LE MARIAGE


Lieu de l’enquête : Bejaia (Algérie) .La Kabylie est une région essentiellement
berbérophone de l’Algérie. (=ici on parle une de variété de berbère : le kabyle→langue
de ses populations berbère qui se trouve la avant l'arrivée et la migration de masse de
populations de l’arabe) langues essentiellement orales, ils sont aussi, très vite, au
contact de l’arabe classique.
la personne entrevue : c'est un jeune homme de 26 ans qui est un étudiant
universitaire en droit , il a un certaine culture et un tres longue scolarisation
Relation entre les locuteurs : HS et l’enquêtrice ne se sont rencontrés qu’à l’occasion
de l’entretien. L’enquêtrice a été présentée à HS comme une universitaire effectuant
des recherches sur le français en Algérie ;

Remarque
répertoire linguistique: l'ensemble de langue que un locuteur connaît et parle

Analyse
caractéristique phonétiques
les locuteurs d'afrique du nord ont de nasales qui sont plus fermé que les nasales
françaises ex.maintenant
il y a un prosodie et des spécificités lexicales qui sont due parfois au systèmes
juridique dans ce cas on parle de ‘tuteur’

il y a aussi des mots de la langue française mais qui on prit un autre


signification→glissement sémantique
ex. elle va être légale ( en français de référence le mot 'légale' s'applique à des actes
mais pas à des personnes)

les verbes comme appliquer, assumer

9
si on va garder la construction de ces verbes : en français standard c'est sont de
verbes transitifs il y a besoin du complément d'objet direct.

Aspects culturels et lexicaux


Comme souvent, c’est sur le plan lexical que les spécificités du français parlé en Algérie
sont les plus faciles à relever ; certains mots ou expressions totalement ignorés du
français de référence comme
‘ (faire la)chaîne/ chaîner’ » ou « café presse » (là où le FR dirait « (faire la) queue » ou
« expresso »)

c’est intéressant la créativité lexicale : on va prendre des dérivées es qui n’existe pas
en français de référence à partir des radicaux de la langue française avec des suffixe
qui sont même plus français plus de français de france

Ces particularités lexicales peuvent aussi bien relever de la création morphologique («


taxieur ») que d’une spécification ou d’un glissement sémantique (« la boisson »
désignant l’ensemble des boissons alcoolisées).

Les contacts avec les langues algériennes produisent aussi, bien entendu, des xénismes
(« hidjab », mot désignant un voile féminin), des calques (« mon frère », qui reprend le
très fréquent terme d’adresse [xuja]) voire des constructions morphologiques mixtes,
comme le célèbre « hittiste » (de l’arabe « hit », « mur », base d’un nom construit avec
le suffixe français –iste et désignant les jeunes gens désœuvrés qui passent leurs
journées appuyés à un mur).

afrique subsaharienne
Pays
- Sénégal
- Côte d’ivoire
- Congo

langues:
● francais
-Langue véhiculaire :devienne de véhicule donc quelque chose qui ressorte d'une
lieu à l'autre et qui permette de véhiculer une message
-communication entre personnes qui ne parlent la même langue
-registre formelle

● wolof

10
-Langue vernaculaire
-registre familier, variété diaphasique
affect : fonction identitaire

Langue véhiculaire : outil de communication entre locuteurs de langues différentes pour


se faire comprendre ; langue seconde pas langue maternelle,

Langue vernaculaire : langue employée localement avec des particularités locales, que
les locuteurs considèrent comme leur langue maternelle ou principale qui est apprenne
pendant l' enfance avec les parents ou les amis

le pidgin : ce sont des codes véhiculer qui permet uniquement de faire passer une
message
le créole: langue vernaculaire

situation coloniale → stratification de langue:


- acrolecte : niveau supérieur, niveau formel(diaphasique) F
- mésolecte : langue du milieu, niveau neutre-standard F+W
- basilecte : la langue de balais,plus bas, niveau familier f+W
*lecte=langue

exemples des expressions: (pag 21 appunti novembre )

le verbe ‘pousser’ signifie ‘déplacer’ mais en francais pousser signifie ‘spingere’, et


‘déplacer’ ‘spostare’ → il y a une exemple de mécanisme de sens ou une particularité
lexicale d'un mots qui dans une contexte african va à changer de sens

- il disparaître le pronom sujet et l'article(registre familier)

- il apparaît le ‘na’
⤷ particule d’insistance , caractéristique de variétés africaines et
de la variété québécoise de français , existe aussi en français la particule ‘là’

- on commence avoir des interférences comme des mots qui ne sont plus français
comme ‘na ka’ ( équivalent africaine de ‘il faut’)

le particularités lexicales
ce sont des formations nouvelles ou des emprunts des langues locale ce sont des rias ,
qui n'existe pas dans le français de france

11
particularités sémantiques
ce sont des formations qui existent dans le français de france,il change de sens plus
restrictive plus grand

tablier en français de france (=grembiule da cucina-scolastico) . Il est formé selon les


règles de dérivation française mais le sens est différente, c' est un nouvelle forme qui
a été construit à partir d’un radical avec un derivation mais qui est un homonymes par
rapport au mot tablier en france

déconseiller : donner un nouvel conseille donc le sense est différente

particularités grammaticales
Changement de fréquence comme la particule là : plus utilisé en afrique qu'en France

Changement de connotation : verbe démerder existe un francais de france mais il y a


un connotation negative parce que contienne le mots merde donc c’est plus populaire ,
on l’utilise pour dire se debrouller plus standard (=cavarsela) dans des situations
difficiles mais en afrique ce nest pas un mot vulgaire

généralisation de mots qui relèvent de langage de spécialiste


arachide mot plus familier comme en italien arachidi en italien courant et populaire
arachidi même en français plus soutenu on a le mot cacavet ,latérite ,déguerpir
ce sont deux mots qui ont des usages particuliers dans le français de france et qui

généralisation de mots scientifiques dans le français d'afrique ,


il y a de maladie qui n'existe plus chez nous comme bilharziose

les DROM
les départements et région françaises d'outre mer
3 groupes:
- La Guadeloupe,
- la Martinique,
- la Guyane,
- la Réunion

langues:
● francais → langue nationale
● les créoles: ce sont des langues avec une grand élément lexical français
et une syntaxe qui est le résultat de l' assemblage des langue africaines

12
Utilisés en famille

-dans le creole il y a la disparition de son ‘er’ qui devient muet et aussi des phénomènes
de soudage de latin

locutrice de la réunion
lie de l'enquête : océan indien, madagascar
locutrice : elle habite dans un petit village

analyse
- nous pouvons remarqué la prononciation de er finale comme dans le mot lumière,
parfois ca ressemble a la r moscia comme en italien
rappelle
Bilingue creole- français plus la situation est familier plus elle utilise le creole et vice
versa plus la situation est soutenu plus utilise le français (Alternance codique)

- aspect lexicals : : là particule d'insistance


- le verbe sion:parcourir .c'est une diatopisme.
emplois absolu parce que dans ce cas est construit sans un complément d'objet direct ,

- phénomène syntaxique fracturé: il y a une Difficulté de discrimination entre le


son u et i( phénomènes phonétiques) donc à cause d'une interférence du substrat
cleoreophonne on a une prononciation de ce type, le mots qui viennent du français
et qui en france se prononce u ici on dit i

- Utilisation du verbe aller avec le sens de partir

le verbe connaître la place de savoir et qui est un emplois regional,


- changement sémantique: bon bon qui en français de france signifie caramella
mais ici est utilisé avec le sens de gâteau: torta

- il y a des spécificités lexicales: ferre blanc qui est un recipient

enregistrement jeune européenne

- il y a un mot qui est considéré comme un mot archaïque lexical en france: me.
- construction syntaxique qui caractérise le français d'antilles que n'est pas
typique en français de référent: en fait sa quire ( FR ça qui fait)
- l'ordre de mot est différente, interférence substrat cleore

13
- Anglicisme le verbe chequer qui vienne du anglais to check , c'est emprunt
adapté à la morphologie verbale du français

Algerie
région située entre le maroc et la tunisie

1. les personnes qui parlent réellement le français surtout les personnes âgées
dans tous les jours, pas anglais

2. les francophones occasionnels → français en des occasions très spécifiques


formales e informales

3. les francophones passifs → ce sont les personnes qui ne parlent pas le


français, ils comprennent français mais il ne sont pas capables de produire des
phrases
4. les nouvelles générations, les jeunes → aglais

exemple des mots qui sont empruntés de l'arabe algérien dialectale qui sont intégrés aussi en
français mais dans l'usage familier

- caoua : c'est le café


- seum :c'est le poison
- chouia : c’est-à-dire un petit peu de
- mabul: quelqu'un de fou
- wech/ wesh: manière de parler

exemples des emprunts mais qui sont passés aux néologismes en français

- bled :pays de langue africaine


- blédar/ blédarde les personnes venant du bled
- miskin : meschino
- wallah

le paysage linguistique : tout ce que nous voyons dans la ville comme les noms de
magazines , des espaces publiques.

la politique linguistique: c'est l'ensemble des mesure législative qu' une pays peut
mettre au norme pour conserver,protéger un certaine situation linguistique qui peut
être délicat et pour promouvoir se usage

14
Amérique du nord: Canada et Québec
au quebec:
● partie francophone : le français standard québécoise qui lutte contre les
anglicismes
● partie anglais: le français familier qui a intègre les anglicismes

dans les entreprises ou on préfère l’anglais → francisation : la production de


néologisme selon les règles de la langue française pour contraster les anglicismes.

québec : magasiner / france : shopping


québec : nettoyeur / france : pressing
québec : fin de semaine / france : week end
québec : cellulaire / france: portable
québec: courriel/france : e-mail

le québec est un pays ou la langue officielle est seulement le québec et les anglophones
sont seulement au montréal ou à la frontière avec les etats unis.

en canada
langue francais :
1. acadie : le français c’est comme celui du québec mais avec des particularités
2. louisiane: c’est le résultat de contac avec deux population

Louis Mercier → C'est un linguiste québécois, il parle dans une situation officielle parce
qu' il a reçu le prix du Québec
Remarque:
- ouverture de voyelles
prononciation des nasales
la présence de a posterieure→ archaïsme qui a été conservé la présence de ‘o’
entre ‘a’ qui à disparaître dans le français de france
pas → [po]

traits caractéristiques et expression du français québécois


(avevamo ascoltato dei video di diversi parlanti come Justin trudeau, solande…)
- il y a une diphtongaison de la voyelle

15
- il y a encore la a postérieur
- ouvertures des certaines voyelles
- la r dans certaines mot change, c'est pareille a la r anglaise : c’est accent de
montréal
- prononciation de t et d devant le voyelle i et u →[ tz] et [dz] , ca peut être plus
ou moins fort différent de la palatalisation.
- il utilise quelquefois la particule la qui prononce [lo] parce que il y a là ‘a’
postérieur
- Il utilise des anglicismes ( at large pour dire en ‘general’ , background) est plus
typique à Montréal parce qu' il y a plus de contact avec l'anglais par rapport aux
autres villes du Canada.
- Il y a anisomorphisme (=forme different) de certaines structures syntaxiques :
le système d’interrogation québécoise n'est pas comme le français de france:

● tzu particule interrogatif (familier) →c'est un archaïsme


● inversion ( plus standard)

exemple
on y va ? intonation → on y va tu ?
orale familier : FR elle vient / QUEB a vient tu
elle a tu fais les courses ?
a-t-elle fait les courses?

CONVERSATION DANS LA VILLE DE QUÉBEC


(QUÉBEC, CANADA) : LA RELIGION POUR UN JEUNE QUÉBÉCOIS
(vedi appunti dicembre pag 13)

Lieu de l’enquête : La ville de Québec est la capitale


de la province de Québec.
Locuteur interviewé : Au moment de l’entretien, le témoin GS a 20 ans ; il est étudiant
en 2e année du premier cycle en histoire de l’art à l’Université Laval. GS est né et a
toujours demeuré à Sainte-Foy, ancienne ville indépendante qui est intégrée dans la ville
de Québec depuis janvier 2002.
Relations entre les locuteurs : L’enquêteur est un professeur français qui a rencontré
le locuteur pour la première fois au moment de l’enquête.

ANALYSE
- « Je le sais plus quoi »
Diathopie/syntaxe/orale

16
le chute du ne c'est construction du français québécois non surveillé : ce d'ajouter un
complément indirect devant l'auxiliaire pour éviter le contact entre la voyelle ca et a .

- Cégep
Diathopie/lexicale
Fase du système scolaire en Québec (réalia), provincialisme (existe seulement au
Québec)
École pre- universitaire

- Du point de vue de la prononciation : en français québécois il y a des voyelles


plus courts ou longues.

- du point de vue du lexique : la présence et répétition de la particule de la : le


plus salient , qui est ajouté pour donner force à ce qu'on dit

deux variations lexicales sémantiques :


1. espadrilles (c'est un mot qui devient de l’espagnol) en français québécois ne
veut pas dire la même chose qu’ en français de france→ c’est un cas de
différence de sens : en québec donc ce sont des chaussures de sport/des
baskets.
2. suçon : en français québécoise est un bon bon mais en français de france c'est
une sorte de tache rouge qui on peut trouver sur le cou.
➔ c'est un bon exemple de divergence : c'est-à-dire que la même
forme existe et ça veut dire un chose très proche parce que ce
sont tous les deux des chaussures.

3. gilet en français de france c'est plutôt une veste mais en français québécois
c'est un pullover
➔ c’est une autre divergence de sens.

- une variation morphologique : les jeans en français au québec c'est comme en


italien pluriel peut etre grace le contact avec l’anglais , mais en français de
france c'est un mot singulier

- expresiones lexicales:

17
- verbes avec un emplois absolu : j'ai adoré

- il y a un realias qui se réfère à un élément culturel du québec : Cégep ( période


scolaire de préparation à l'université)

C'est très important le fait qu’il dit 2 choses très française :


1. copine mais en québec on dirait la blonde c'est un archaïsme
2. truc
➔ il est en train de dire quelque chose en français parce que interlocuteur
parle en français donc c'est un cas d'insécurité linguistique.

18
ANALYSE L'OSTIE D’CHAT
(appunti dicembre)

le langue des jeunes :ARGOT ET VERLAN

l’argot
ce sont des mots utilisés en français familier qui s'ajoute au registre standard de la
langue
exemples
- mec: garçon
- bagnole: voiture
- flic: agence de police
- clope : sigarette
- bahut : école ou Université
c’est une langue avec beaucoup d'emprunts
il y a une passage constance de l'argot parlé à l'origine par des communautés mal famé
ensuite ça passe dans français de souche populaire (=personnes émarginées →variation
diastratique) et à la fin ca passe dans le français familier ( variation diaphasique).

langage de jeunes

19
1. fonction identitaire
2. fonction cryptique

le verlan
c’est un phénomène qui touche le vocabulaire donc le lexique, c'est le résultat d'une
stratégie d'inversion des syllabes.
C’est une exemple du lexique cryptique parce que si on n’avait pas appris à le
comprendre et à l'utiliser on ne le comprend pas

20

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