SOMMAIRE
INTRODUCTION
I-CAUSES DE L’IMMIGRATION
1- CAUSES AU NIVEAU POLITIQUE ET SECURITAIRE
2- CAUSES AU NIVEAU ECONOMIQUE ET SOCIALE
II- PROCESSUS D’IMMIGRATION
1- IMMIGRATION REGULIERE
2- IMMIGRATION CLANDESTINE
III- CONSEQUENCES DE L’IMMIGRATION
1- AU NIVEAU POLITIQUE
2- AU NIVEAU ECONOMIQUE ET SOCIALE
IV- SOLUTION
CONCLUSION
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INTRODUCTION
Depuis un certain nombre d’année, nous observons plusieurs vagues d’immigration au sein de
l’Afrique. Ce phénomène est de plus en plus observé en Afrique subsaharienne. À la vue de ce
constat de dépeuplement africains au profit des pays d’Europes nous nous posons la question
de savoir quel sont les effets de l’immigration sur le développement de l’Afrique ?
L’immigration est définie dans le dictionnaire Larousse comme étant l’Installation dans un pays
d'un individu ou d'un groupe d'individus originaires d'un autre pays. (L'immigration est le plus
souvent motivée par la recherche d'un emploi et la perspective d'une meilleure qualité de vie.) .
Cependant ce processus n’est pas toujours régulier. On parle alors d’immigration clandestine.
L'immigration clandestine, l'immigration illégale, ou parfois immigration irrégulière est l'entrée
illégale, illicite, ou discrète sur un territoire national d'étrangers n'ayant pas réalisé les formalités
attendues. Cette immigration est considérée comme illégitime, car elle se distingue de
l'immigration régulière par l'existence de législation, de traités, de jurisprudences ou d'autres
règlements parfois sévères qui ont été mis en place par des États-nations et qui sont contournés.
L'illégalité se caractérise par le fait que ces personnes étrangères ne possèdent pas les
documents ou conditions requis par la loi ou les traités pour autoriser leur entrée, ou bien par la
poursuite de leur séjour après expiration des documents.(source Wikipédia).
Nous aurons pour objectif d’effectuer dans un travail critique de montrer les effets néfastes de
l’immigration sur le développement en Afrique et de tenter au regard des différentes théories
économiques d’apporter des solutions pour palier à ce problème
Dans le but de répondre à notre question de recherche nous allons procéder comme suit : dans
un premier temps nous allons parler des causes de l’immigration clandestine, ensuite du
processus d’immigration, puis des conséquences de l’immigration au niveau économique et
social, pour enfin présenter quelques solutions pour tenter de palier à ce problème.
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I) CAUSES DE L’IMMIGRATION
L’expansion rapide de l’immigration enregistré depuis les années 90 est dû à la vie attractive et
de paix qu’affichent les pays occidentaux et d’Amérique du nord. Les causes de l’immigration
sont multiples allant de la menace djihadistes, à la situation de chômage accrue en Afrique en
passant par la recherche d’un avenir meilleur. Nous pouvons nous axés sur les causes politiques
sécuritaire, économique et social.
1 Causes au niveau politique et sécuritaire
L'immigration en Afrique est influencée par divers facteurs politiques. L'interaction entre les
causes politiques et sécuritaires peut avoir un impact significatif sur la stabilité d'une région ou
d'un pays.
Les dynamiques politiques et sécuritaires jouent un rôle essentiel dans la configuration du
paysage mondial contemporain, affectant directement la stabilité des nations. Les causes
politiques, souvent étroitement liées aux facteurs sécuritaires, peuvent générer des crises et des
conflits aux conséquences durables. Les tensions politiques résultent fréquemment de
divergences idéologiques, de compétitions pour le pouvoir, ou de la gestion inadéquate des
diversités ethniques et culturelles. Les politiques discriminatoires, la corruption et le manque
de représentation équitable peuvent créer des mécontentements populaires, alimentant ainsi
l'instabilité politique. Notons que les menaces sécuritaires peuvent émaner de conflits internes,
du terrorisme, ou même de tensions internationales. Les groupes extrémistes exploitent souvent
les failles politiques pour prospérer, transformant ainsi les différends politiques en crises
sécuritaires. Parallèlement, une gouvernance politique faible peut conduire à une dégradation
de la sécurité intérieure, affectant la vie quotidienne des citoyens.
2 Causes au niveau économique et sociale
L'immigration en Afrique est profondément influencée par des facteurs économiques et sociaux
qui façonnent les aspirations et les décisions des individus cherchant de meilleures opportunités.
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Ces causes, intrinsèquement liées au développement de la région, contribuent de manière
significative aux mouvements migratoires.
Concernant les causes économiques nous avons le Chômage et Pauvreté. La persistance du
chômage et de la pauvreté dans de nombreuses régions africaines pousse les individus à
rechercher des perspectives d'emploi et de revenus stables ailleurs. Les conditions économiques
difficiles incitent à l'immigration comme moyen de survie économique. Ensuite, au niveau des
Inégalités Régionales Les disparités de développement entre les différentes régions d'Afrique
créent des écarts économiques importants. Les individus sont souvent attirés par les zones plus
développées, espérant y trouver des opportunités économiques plus prometteuses.
Au niveau social, nous avons les Conflits et Instabilité. Les conflits politiques, ethniques ou
religieux créent des conditions sociales précaires, forçant de nombreux individus à fuir pour
échapper à la violence et à l'insécurité. Les déplacements liés aux conflits représentent une part
importante de l'immigration en Afrique. Nous avons aussi Accès Limité aux Services de Base.
Les régions confrontées à un accès limité à l'éducation, aux soins de santé et à d'autres services
de base peuvent voir émerger des mouvements migratoires. Les individus cherchent des
environnements où ils peuvent offrir un meilleur avenir à leurs familles.
II) PROCESSUS D’IMMIGRATION
L’immigration qu’elle soit légale ou pas se doit de suivre un processus bien précis dans le but
de sa réalisation.
1) Immigration régulière
Le processus d'immigration régulière comprend plusieurs étapes essentielles que les individus
cherchant à immigrer de manière légale doivent suivre. Tout d'abord, les candidats entament le
processus en identifiant le type de visa ou de permis de séjour qui correspond à leur situation
particulière, que ce soit pour des raisons de travail, d'études, de regroupement familial, etc.
Une fois le type de visa déterminé, les candidats entament la collecte des documents
nécessaires, incluant des pièces d'identité, des relevés bancaires, des certificats médicaux, des
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preuves de compétences linguistiques, des offres d'emploi ou des lettres d'acceptation
d'établissements d'enseignement, entre autres.
La phase suivante implique la soumission de la demande de visa ou de permis de séjour aux
autorités compétentes. Cette étape peut se dérouler en personne dans une ambassade ou un
consulat, ou par le biais de procédures en ligne, en accord avec les politiques d'immigration du
pays d'accueil.
Après la soumission, les autorités compétentes examinent méticuleusement la demande,
vérifient la conformité des documents, et évaluent si le candidat répond aux critères spécifiques
requis. Des entretiens, des vérifications de sécurité et des évaluations des qualifications peuvent
être inclus dans cette évaluation.
En cas d'approbation, les autorités délivrent le visa ou le permis de séjour. Les modalités de
délivrance varient en fonction des politiques du pays d'accueil. Une fois en possession du visa,
les immigrants réguliers peuvent entrer dans le pays d'accueil conformément aux conditions
stipulées, étant souvent soumis à des contrôles douaniers et d'immigration à leur arrivée.
Il est impératif que les immigrants respectent les conditions de leur séjour, que ce soit la durée
autorisée du séjour, le respect des lois locales, ou, dans le cas des travailleurs, le respect des
termes de leur contrat. Cette démarche globale souligne l'importance de suivre un processus
formel et réglementé pour garantir une immigration légale et ordonnée.
2) Immigration clandestine
L’immigration que l’on qualifie d’« irrégulière » a représenté, ces dernières années, un sujet
sensible dans les sociétés d’accueil et un nœud très délicat des politiques migratoires. Presque
partout les opinions publiques demandent une répression plus stricte du phénomène, considéré
comme porteur d’illégalité et de désordre social, ce à quoi les gouvernements répondent en
promettant une lutte plus déterminée contre l’entrée et le séjour non autorisés, renforçant les
contrôles aux frontières, augmentant les efforts de coordination, déployant des technologies de
plus en plus sophistiquées, durcissant les sanctions à l’encontre des transgresseurs.
L’immigration irrégulière est l’une de ces notions qui paraissent évidentes au sens commun,
mais qui se révèlent bien plus complexes et problématiques quand on les soumet à une analyse
plus approfondie. C’est seulement dans le cadre de l’interaction avec un appareil normatif qu’un
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déplacement peut être défini d'« irrégulier ». L’hétérogénéité, la complexité et l’évolution des
normes rendent en outre souvent incertaine et controversée la définition des cas particuliers. De
plus, il s’y ajoute une stigmatisation morale répandue qui se reflète dans l’utilisation du terme
« clandestin » : un terme qui devrait indiquer l’entrée frauduleuse, mais qui est en réalité utilisé
couramment pour définir tous les immigrés en condition irrégulière.
Ainsi, L'immigration clandestine implique le déplacement de personnes à travers les frontières
sans autorisation légale. Les individus quittent leur pays d'origine, souvent avec l'aide de
passeurs, utilisent des moyens de transport illégaux, tentent de franchir les frontières
discrètement, et vivent ensuite clandestinement dans le pays de destination. Ce processus
comporte des risques tels que la détention, la déportation et des conditions de vie difficiles.
III) LES CONSEQUENCES DE L’IMMIGRATION
Suite à ces importantes vagues migratoires nous pouvons noter des conséquences à plusieurs
niveaux.
1) Au niveau politique
George Borjas est un économiste américain dont l’intérêt pour le phénomène migratoire
remonte aux années 1980, lorsque l’immigration n’était pas encore le sujet contentieux qu’il est
devenu. D’origine cubaine, il a lui-même expérimenté l’immigration lorsque, en 1962, alors
âgé de 12 ans, il quitta son île en compagnie de sa mère. Transféré en 1961, juste après le
débarquement raté de la baie des Cochons, d’une école catholique vers une « école
révolutionnaire », il apprit ce qu’idéologie veut dire. Cet enseignement lui inspira une aversion
définitive pour les arguments idéologiques et une méfiance pour l’opinion des experts.
L'immigration en Afrique engendre plusieurs conséquences politiques, influant sur la
dynamique politique des pays d'origine et de destination.Ainsi,notons que les conséquences de
l’immigration au niveau politique se situe à plusieurs niveaux.
L'immigration de travailleurs qualifiés entraîne une fuite de cerveaux, affaiblissant les capacités
professionnelles et créatives des pays d'origine, impactant des secteurs cruciaux tels que la
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santé, l'éducation et les services publics. Cette perte de main-d'œuvre qualifiée compromet
l'efficacité des institutions gouvernementales, entrave le développement économique et social,
influençant la gouvernance en réduisant la diversité des compétences au sein des
administrations publiques.
En parallèle, l'immigration peut générer des tensions sociales, surtout lorsque les populations
locales perçoivent les immigrants comme une concurrence pour des ressources limitées,
conduisant parfois à des conflits et à des mouvements xénophobes. Les flux migratoires créent
également des déséquilibres démographiques, augmentant la proportion de jeunes dans certains
pays de destination et vieillissant davantage les populations dans les pays d'origine, influençant
ainsi les politiques publiques, notamment celles liées à l'éducation et à la santé.
Sur le plan des relations internationales, les migrations transfrontalières peuvent avoir des
répercussions significatives. La gestion de ces flux migratoires influence la diplomatie, les
accords bilatéraux et la coopération régionale. De plus, les communautés diasporiques, formées
par l'émigration, deviennent des acteurs politiques influents, participant aux affaires de leur
pays d'origine à travers des remises, des investissements et des activités de lobbying, impactant
ainsi les relations transnationales et les politiques intérieures.
Enfin, les mouvements migratoires liés à des conflits politiques créent des défis en matière de
gestion des réfugiés. Les pays d'accueil font face à des pressions politiques internes pour fournir
refuge, tandis que les pays d'origine doivent gérer les conséquences politiques des crises ayant
forcé les déplacements. L'ensemble de ces conséquences souligne la complexité des
dynamiques politiques liées à l'immigration en Afrique.
2) Au niveau économique et social
Ces vingt-cinq dernières années, l’immigration a été considérée comme ayant des effets
économiques négatifs et la plupart des pays d’Afrique ont cherché, sinon à la contrôler, du
moins à en réduire fortement l’ampleur, comme en témoignent les rapports annuels. Le vingt et
unième siècle s’ouvre sur une période qui pourrait être fort différente, tant sur le plan
économique que démographique. Ce changement conduira-t-il à une révision complète de
l’attitude envers les immigrants, ces derniers étant maintenant recherchés pour soutenir la
croissance économique retrouvée malgré le reflux de la population active et la montée du
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nombre de personnes dépendantes qui s’ensuit L'impact économique de l'immigration en
Afrique est diversifié, affectant tant les pays d'origine que les pays d'accueil. Les travailleurs
émigrants contribuent significativement aux économies en envoyant des remises financières,
soutenant ainsi les ménages et stimulant la consommation locale. Cependant, cette migration
entraîne également une perte de main-d'œuvre qualifiée dans les secteurs clés comme la santé
et l'éducation, entravant le développement économique des pays d'origine.
Dans les pays d'accueil, les immigrants peuvent répondre à la demande de main-d'œuvre, avec
des débats persistants sur leur impact sur les salaires et l'emploi. Certains voient une
concurrence potentielle, tandis que d'autres soulignent les contributions positives à la croissance
économique et à la création d'emplois. Parallèlement, les immigrants introduisent souvent des
compétences entrepreneuriales, favorisant l'innovation économique et stimulant l'activité des
entreprises locales.
L'émigration peut également influencer le développement des compétences, améliorant la
productivité et la compétitivité économique des pays d'accueil. Cependant, elle peut exercer
une pression sur les services publics, nécessitant des ajustements et des investissements
supplémentaires dans des domaines tels que l'éducation, la santé et les infrastructures. En outre,
les migrants jouent un rôle essentiel dans la création d'entreprises transnationales, facilitant les
échanges économiques entre les pays d'origine et de destination.
Ces conséquences économiques de l'immigration sont sujettes à des variations en fonction des
politiques d'immigration, des contextes spécifiques et des caractéristiques économiques des
pays concernés. Pour des analyses plus approfondies et des références spécifiques, il est
recommandé de consulter des travaux de recherche académique et des publications spécialisées
dans le domaine de l'économie de l'immigration en Afrique.
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IV) SOLUTIONS
Les solutions pour gérer les défis liés à l'immigration en Afrique nécessitent des approches
complexes et collaboratives. Favoriser le développement économique inclusif dans les pays
d'origine peut réduire la pression migratoire en offrant des opportunités d'emploi et en
améliorant les conditions de vie. Renforcer les systèmes éducatifs et de formation
professionnelle contribue à développer la main-d'œuvre locale, réduisant ainsi la dépendance à
l'égard de l'immigration pour des compétences spécifiques. Encourager la création d'emplois à
travers des politiques économiques favorables aux entreprises peut réduire le chômage et
atténuer les incitations à l'émigration.
La promotion de la stabilité politique et la résolution des conflits contribuent à créer des
conditions propices au développement et à réduire les mouvements de population forcés. La
révision des politiques d'immigration permet une gestion plus efficace des flux migratoires,
favorisant l'intégration des immigrants et répondant aux besoins du marché du travail.
La coopération entre les pays africains facilite la gestion des migrations, favorise la stabilité
régionale et élabore des politiques harmonisées pour faire face aux défis communs. Assurer la
protection des droits des travailleurs migrants, y compris l'accès à des conditions de travail
décentes, contribue à garantir des migrations sûres et ordonnées. Des programmes d'aide
humanitaire atténuent les conséquences des migrations liées à des crises en fournissant une
assistance aux personnes déplacées et en traitant les causes profondes des déplacements forcés.
Des campagnes de sensibilisation luttent contre la xénophobie et promeuvent une
compréhension mutuelle entre les populations locales et les immigrants. Mettre en place des
mécanismes efficaces de gestion des réfugiés, y compris des politiques d'asile justes et
transparentes, est essentiel pour répondre aux crises humanitaires liées aux migrations forcées.
Ces solutions nécessitent une coordination entre les gouvernements, les organisations
internationales, la société civile et le secteur privé pour aborder de manière holistique les défis
complexes liés à l'immigration en Afrique.
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CONLUSION
En conclusion, la gestion des défis liés à l'immigration en Afrique requiert une approche
holistique et coordonnée, impliquant la collaboration entre les gouvernements, les organisations
internationales, la société civile et le secteur privé. Les solutions proposées, telles que le
développement économique inclusif, l'investissement dans l'éducation, la création d'emplois, la
promotion de la stabilité politique, la réforme des politiques d'immigration, la coopération
régionale, la protection des droits des travailleurs migrants, les programmes d'aide humanitaire,
la sensibilisation contre la xénophobie et la gestion efficace des réfugiés, visent à aborder les
causes profondes de l'immigration et à créer des conditions favorables à des migrations sûres et
ordonnées.
Il est impératif de reconnaître la diversité des facteurs qui influent sur les mouvements de
population en Afrique et d'adapter ces solutions en fonction des contextes spécifiques de chaque
pays. La mise en œuvre de ces mesures nécessitera une volonté politique soutenue, une
collaboration internationale renforcée et des investissements à long terme dans le
développement économique, social et politique.
Enfin, il est crucial de promouvoir une vision inclusive de la migration, mettant en avant les
bénéfices potentiels de la diversité culturelle et des échanges transnationaux, tout en respectant
les droits fondamentaux des personnes déplacées. En adoptant une approche équilibrée, les
nations africaines peuvent transformer les défis liés à l'immigration en opportunités de
développement durable et de renforcement des liens entre les peuples.
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