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Chap 4
Chap 4
Chap 4
CHAPITRE 4
LE SERVICE MAINTENANCE
Maintenance Maintenance
corrective préventive
Maintenance
sur site
Equipements
Logistique Optimisation
Maintenance Gestion
hors site financière
Méthodes
Un exemple d’organigramme est donné figure 4.3. Ce n’est qu’une possibilité, chaque di-
recteur technique étant libre de l’organiser selon sa propre conviction. Il fait apparaître par contre
des fonctions indispensables pour que la fonction Maintenance soit efficace.
Responsable
maintenance
1. Les équipes EP sont attachées à un équipement dont elles ont une parfaite connaissance ;
elles sont sous la responsabilité du responsable maintenance pour les raisons suivantes :
• coordination des travaux,
• cohérence de la politique maintenance, suivi centralisé du matériel,
• procédures standardisées permettant la circulation de l’information,
• échanges inter-équipes facilités.
2. Elles sont pluritechniques et de composition adaptée au matériel. Par exemple, un chef
d’équipe, un électricien, un mécanicien, un hydraulicien et un tuyauteur. La dualité « service
électricité » - « service mécanique », comme on la rencontre encore trop souvent, est totale-
ment inadaptée à des équipements pluritechniques. Elle pose également des problèmes de
responsabilité et de coordination.
3. On peut se demander s’il faut centraliser ou décentraliser certaines opérations de mainte-
nance. Un atelier central permet :
• une optimisation de l’emploi des moyens,
• une meilleure maîtrise des coûts (budget, suivi, imputation),
• une standardisation des procédures et moyens de communication,
• un suivi homogène des matériels et de leurs défaillances,
• le regroupement des investissements lourds de matériel d’entretien, en atelier central, à
disposition des équipes d’intervention,
• une meilleure gestion de tout le personnel concerné par la maintenance.
La décentralisation géographique permet quant à elle :
• la délégation de responsabilités aux chefs d’équipe,
• d’améliorer les relations avec les gens de la production (contacts permanents),
• l’avantage du travail en équipe réduite,
• l’efficacité et la rapidité d’intervention sur du matériel bien connu.
Le choix de l’une et de l’autre est lié bien sûr à la taille de l’entreprise, à sa nature et à sa technici-
té.
2.21 - Rôle
C’est la fonction qui permet la préparation des travaux de maintenance. Elle comprend :
1. l’analyse et/ou les études des travaux à effectuer,
2. la synthèse de cette analyse, c’est à dire la préparation proprement dite,
3. l’ordonnancement,
4. le contrôle de la réalisation sachant que la réalisation est confiée à une équipe «ter-
rain»,
5. la mise à jour des dossiers techniques,
6. la gestion économique de l’activité maintenance.
L’ordonnancement sera traité dans le paragraphe suivant. La préparation consiste à définir un dé-
coupage de la tâche à accomplir par une décomposition en phases de travail. Chaque phase de
travail prend en compte :
• les procédures de sécurité,
• les outillages spéciaux,
• la fourniture des pièces de rechange,
• les points clés de l’intervention,
Organisation et Méthodes de Maintenance – Chapitre 4 – 60
C’est de diminuer le plus possible les coûts de maintenance tout en maintenant le maxi-
mum de qualité de service :
• réduire au minimum les temps d’immobilisation ou d’arrêt de l’outil de production (ré-
duction du coût indirect),
• réduire les temps d’intervention (réduction du coût direct),
• réduire le stock de pièces nécessaires,
• répondre aux besoins des utilisateurs (qualité des prestations),
• améliorer les conditions de travail et de sécurité, utiliser au mieux les compétences.
La fonction Ordonnancement, bien que faisant partie des « méthodes maintenance » mérite
un paragraphe à part. Elle est souvent négligée, et c’est dommage, car elle permet l’intervention
optimale, à l’heure H et avec tous les moyens nécessaires : personnel, outillage, préparation, dos-
sier technique, consignes de sécurité, moyens spéciaux (appareils de levage, échafaudage, etc..),
pièces de rechange. Elle permet également :
• de faire la comparaison entre les besoins et les moyens,
• de prendre en compte les délais d’approvisionnement et de mise à disposition,
• de prendre en compte les servitudes (arrêt de fabrication, sécurité, etc..),
• de prendre en compte les capacités de charge du personnel de maintenance.
La figure 4.4 donne le positionnement de la fonction ordonnancement par rapport aux autres fonc-
tions.
Préparation
Information du Méthodes du travail
personnel de maintenance Gestion technique
conduite et économique des
matériels
Programmation des
Ordonnancement travaux
Prévision des moyens
Approvisionnement
Lancement des travaux
Lancement
Contrôle de leur avancement
2.4 – Conclusion
La structure d’un service maintenance n’est pas quelque chose de figé. La taille de
l’entreprise, sa culture, ses habitudes sont des facteurs influents sur cette structure. En fait, encore
aujourd’hui, on distinguera cinq cas1 de figure.
Responsable
maintenance
Ma ga sin
M1 O1 R1 M2 O2 R2 M3 O3 R3 ce ntra l
3.1 - Généralités
La revue « Usine Nouvelle » donne un certain nombre d’indications sur les métiers de la
maintenance en règle générale. Le tableau 4.6 donne par exemple le degré d’implication du ser-
vice maintenance selon les branches d’activité.
Activités Pourcentage
Mécanique, Electromécanique 24%
Chimie 16%
Sidérurgie 14%
Electricité, Electronique 7%
Agro-alimentaire 5%
Constructions automobiles 4%
BTP 4%
Notons toutefois que des secteurs comme l’agroalimentaire, la chimie, les télécommunica-
tions sont en pleine mutation. Ces chiffres devraient donc évoluer dans un avenir proche.
Toutes les entreprises cherchant à améliorer leurs performances, les maintenanciers ou
mainteniciens ont leur place partout, tous secteurs d’activités confondus. Les métiers ont beau-
coup évolués depuis quelques années et cette évolution risque d’être encore plus marquée dans
un futur proche. Notons aussi qu’à côté de la maintenance industrielle, il existe aussi la mainte-
nance de parcs d’engins de transport, de l’immobilier, d’infrastructures comme les hôpitaux, qui
représentent un volume d’emplois aussi important que la maintenance industrielle. On peut donc
dire que les techniciens de maintenance ont un bel avenir devant eux.
Il n’est pas question ici de décrire tous les secteurs industriels mais de donner quelques
exemples qui permettent de montrer que la maintenance demande des compétences à tous les
niveaux de formation.
A – Maintenance aéronautique
Dès la phase simulation et maquette, les ingénieurs de maintenance interviennent. Pour
cela, ils sont intégrés aux bureaux d’études et aident à choisir des solutions les mieux adaptées à
la maintenance des matériels (démontages, échanges de pièces, étude de criticité, mise au point
de plans de maintenance préventive, etc..).
Organisation et Méthodes de Maintenance – Chapitre 4 – 63
3.31 - Définitions
Les niveaux de formation sont homologués à la fois par l’Education Nationale et par les
conventions collectives (circulaire Education Nationale n°67-300 du 11 juillet 1967, décision de la
Commission Technique d’homologation des titres et diplômes de l’enseignement technologique du
15 septembre 1987). Ils sont au nombre de 6, du plus haut (niveau I) au plus bas (niveau VI).
Niveau I : personnel occupant des emplois exigeant normalement une formation de niveau
égal ou supérieur à celui de la maîtrise ou des écoles d’ingénieurs.
Niveau II : personnel occupant des emplois exigeant normalement une formation de niveau
égal ou supérieur à celui de la licence ou de la maîtrise.
Niveau III : personnel occupant des emplois exigeant normalement une formation de ni-
veau DUT ou BTS et de fin de premier cycle de l’enseignement supérieur.
Niveau IV : personnel occupant des emplois de maîtrise ou possédant une qualification
d’un niveau équivalent à celui d’un baccalauréat technique ou de technicien, et du brevet
de technicien.
Niveau V : personnel occupant des emplois exigeant normalement un niveau de formation
équivalent à celui du BEP ou du CAP.
Niveau V bis : personnel occupant des emplois supposant une formation courte d’une du-
rée maximale d’un an conduisant au certificat d’études professionnelles ou à toute attesta-
tion de même nature.
Niveau VI : personnel occupant des emplois n’exigeant pas de formation allant au delà de
la fin de la scolarité obligatoire.
Il existe une relation directe entre niveaux de formation et qualification. Les qualifications
varient selon le type de convention collective :
• ingénieurs et cadres : niveaux I et II,
• techniciens supérieurs, agents de maîtrise : niveau III
• techniciens : niveau IV,
• ouvriers professionnels : niveau V.
La maintenance demandant une technicité de plus en plus importante, il est évident que
l’on demande au minimum un niveau baccalauréat (technologique ou professionnel) chez les
jeunes, donc un niveau IV. Toutefois, les personnels de niveau V ayant acquis de l’expérience,
peuvent, grâce à celle-ci et à l’apport de la formation continue, prétendre au niveau IV. Mais il est
clair que les emplois correspondant à des formations de niveau V sont et seront en diminution à
cause :
• du manque de polyvalence de ces diplômés,
• de la prise en charge des niveaux de maintenance 1 et 2 par les opérateurs de produc-
tion,
• des systèmes d’auto-test des équipements, de la tendance à remplacer des équipe-
ments complets, de l’augmentation de la fiabilité des machines qui diminuent le volume
des opérations de maintenance.
Au cours de sa vie professionnelle, le personnel technique d’une entreprise peut faire vali-
der ses acquis professionnels par un organisme de formation accrédité. Il lui sera donc plus facile
de prétendre à un changement de niveau soit par promotion interne, soit en changeant
d’entreprise (mobilité). Enfin, notons qu’il n’existe pas à ce jour de convention collective spécifique
à la maintenance.
Les métiers de la maintenance sont présentés le plus souvent sous la forme hiérarchique
suivante :
• responsable maintenance,
• agent de maîtrise maintenance,
• technicien de maintenance,
• agent de maintenance.
Le responsable maintenance assure la rentabilité de l’activité qu’il dirige et veille à son
amélioration (ce qui peut conduire à externaliser certaines tâches). Sa responsabilité est entière
(technique, économique, sociale et politique).
L’agent de maîtrise dirige une équipe de techniciens et d’agents de maintenance, dans un
cadre défini de coûts et de délais.
Le technicien de maintenance apporte par ses interventions de terrain des solutions tech-
niques dans un cadre économique défini (coûts et délais) ou propose des améliorations technico-
économique par un travail d’études. Il n’a généralement pas de responsabilité hiérarchique.
L’agent de maintenance réalise des actes techniques et apporte des résolutions techniques
dans un délai défini.
Les deux derniers métiers se distinguent par leur niveau de technicité. Le niveau de techni-
cité du technicien est reconnu plus élevé que celui de l’agent de maintenance ; il peut occuper une
fonction d’étude.
Il est appelé à :
• organiser et gérer le service maintenance,
• définir et optimiser les moyens à mettre en œuvre pour maintenir et améliorer les
performances de l’appareil productif en termes de coûts et de taux d’utilisation des
équipements,
• prouver le caractère bénéficiaire de son activité (amélioration de la disponibilité,
amélioration des performances de son service, meilleurs résultats que la concur-
rence potentielle).
On le trouve principalement dans les entreprises de production industrielle (mécanique,
métallurgie, électronique, chimie, pétrole, automobile) où sa polyvalence peut s’affirmer. Il est plu-
tôt spécialisé chez un prestataire de service (maintenance, SAV).
Les titulaires des postes de responsable de maintenance ont le plus souvent un diplôme
d’ingénieur (électromécanique, mécanique, électricité) ou un diplôme de type DUT ou BTS (ni-
veaux de formation : I, II et III+formation continue). Il doit avoir une expérience importante des
technologies mises en œuvre sur les lignes de production. De ce fait, l’accès à ce poste s’effectue
le plus souvent par promotion interne et très rarement par recrutement. L’accès à ce poste à la
sortie des études est très rare, car une expérience de 3 à 10 ans est jugée indispensable.
B. Compétences et activités
Le responsable maintenance détient les différentes expertises nécessaires à
l’accomplissement de sa mission. C’est un homme polyvalent tant du point de vue technique
qu’économique. Techniquement, il a une connaissance minimale des technologies des matériels à
maintenir (électricité, mécanique, hydraulique, automatismes, instrumentation, informatique, etc..).
Il connaît les méthodes et techniques de la maintenance (fiabilité, pathologie des défaillances, mé-
thodes de diagnostic, normes, sécurité, etc..). C’est aussi un manager capable de gérer un budget
et des ressources humaines. Il doit donc savoir communiquer.
B1 – Activités organisationnelles
• réaliser les états des lieux quantitatif et qualitatif,
• établir le programme prévisionnel de maintenance dans le respect du budget,
• mettre au point et optimiser les procédures de maintenance et assurer la sécurité
des interventions,
• diriger et suivre les travaux d’entretien et de dépannage, intervenir en cas de
panne difficile,
• expertiser les défaillances afin de proposer des améliorations,
• optimiser la facilité des interventions sur les équipements,
• superviser la bonne tenue de la documentation maintenance,
• appliquer les prescriptions techniques (normes et réglementations).
B2 – Activités économiques
• gérer un budget et sa capacité d’investissement en matériels de maintenance et
d’investigations, mais aussi formation et recrutement,
• rédiger des cahiers des charges, négocier des contrats de sous-traitance,
• justifier la rentabilité financière de son service en utilisant des indicateurs et ta-
bleaux de bord propres à la maintenance,
• effectuer ou superviser les calculs de coût des projets afin de rechercher les solu-
tions les plus rentables.
B3 – Activités relationnelles
• animer, diriger et motiver les équipes et les hommes de son service,
• sensibiliser et former le personnel à la maintenance des équipements et des instal-
lations,
• veiller au niveau de compétence des équipes,
Organisation et Méthodes de Maintenance – Chapitre 4 – 66
B. Compétences et activités
Un technicien peut n’avoir à exercer qu’une partie des activités énoncées ci-dessous, leur
poids pouvant différer d’un poste à l’autre. L’évolution des activités prises en charge peut consti-
tuer un parcours professionnels intéressants pour celui qui aspire à la maîtrise. On distingue deux
grands profils de poste :
Organisation et Méthodes de Maintenance – Chapitre 4 – 68
C. Compétences associées :
• maîtrise de l’anglais technique,
• connaissances informatiques (tableur, bases de données, traitement de texte).
D. Capacités liées à l’emploi
Organisation et Méthodes de Maintenance – Chapitre 4 – 69
B. Compétences et activités
La maintenance étant par vocation pluritechnique, il existe plusieurs métiers à l’intérieur du
métier lui-même d’agent de maintenance :
• spécialistes des parties opératives (mécaniciens, hydrauliciens, pneumaticiens), l’agent
de maintenance pouvant être très spécialisé ou alors plus ou moins compétent dans
chacune des spécialités,
• spécialistes des parties commande des machines (API, asservissements) ayant pour
connaissance initiale l’électricité ; on trouvera donc des électricien, des électrotechni-
ciens (traitement de l’énergie) ou des électromécaniciens (spécialiste des moteurs),
automaticiens ; là aussi, l’agent peut être très spécialisé dans une discipline ou alors
avoir une culture plus large.
Au cours de ces dernières années, la tendance a été d’augmenter le nombre
d’électriciens/automaticiens, les parties commande ayant pris beaucoup d’importance. Ceci dit, un
bon agent de maintenance, quelque soit sa spécialité doit être capable d’appréhender autant les
problèmes mécanique qu’électriques et être habilité si besoin est.
B1 – Activités techniques
• surveillance et intervention préventive,
• dépannage, réparation,
• essais et mise en service,
• modifications d’équipements sous contrôle d’un technicien eu agent de maîtrise.
B2 – Activités administratives et documentaires
• comte-rendus d’intervention,
• mise à jour des dossiers techniques
B3 – Activités décisionnelles et relationnelles
Un technicien doit savoir faire preuve d’autonomie, et dans un certains cas, savoir décider
et agir sans avoir à en référer à sa hiérarchie. Comme il sera souvent en relation avec les opéra-
teurs de production, il doit être capable d’entretenir des relations de collaboration et d’échange
d’informations avec eux.
C. Compétences associées
• aptitude à s’appuyer sur une documentation technique,
• connaissance des méthodes de mesures (procédures d’intervention et de sécurité).
Organisation et Méthodes de Maintenance – Chapitre 4 – 70
Le changement des mentalités et des attitudes des personnels est bien le point le plus im-
portant pour mettre en œuvre une maintenance moderne basée sur la réflexion et la gestion. En
effet, il faut tenir compte à la fois du savoir-être, du savoir-faire et du savoir technique.
A - Le savoir-être
Le savoir-être englobe toutes les attitudes d’une personne dans ses relations avec d’autres
individus ou bien face à des problèmes. Elles caractérisent différents types de profils :
• le formateur,
• l’homme de contacts et d’échanges,
• le meneur d’hommes,
• l’animateur de groupe, de réunions,
• l’organisateur,
• le réactif,
• l’homme de sécurité,
• le fiabiliste.
B - Le savoir-faire
Le savoir-faire est la résultante entre le savoir de base (technique) et l’expérience. Plus
ce savoir-faire est élevé, plus la personne de maintenance sera considérée comme bonne techni-
quement. Le savoir-faire s’applique au :
• contrôle,
• réglage,
Organisation et Méthodes de Maintenance – Chapitre 4 – 72
• montage,
• diagnostic d’intervention,
• conduite de chantier,
• collecte d’informations,
• formulation,
• exploitation de l’information,
• résolution de problèmes,
• planification.
C - Le savoir technique
C’est le savoir de base qui est inculqué lors des études (formation initiale) et en formation
continue.
Génie Mécanique
• connaissance du travail de base des métaux,
• connaissance approfondie en techniques de montage, assemblage de précision,
• connaissance de base en lubrification,
• usinage,
• usinage des pièces mécaniques sur machines outils conventionnelles ou/et ma-
chines outils à commande numérique (MOCN).
Génie Electrique
• connaissance approfondie des lois de l’électricité industrielle, des règles de prépa-
ration de chantiers, de la maîtrise des modes de raisonnement liés au diagnostic
des incidents électriques ainsi que des règles de sécurité électrique et des procé-
dures de consignations et déconsignations des installations électriques en BT, MT
et HT.
• connaissance des règles de séquences d’un automatisme et l’aptitude à la lecture
et à la compréhension de schémas de type GRAFCET ou synoptiques,
• connaissance approfondie des mécanismes de régulation et d’asservissement.
Métrologie
• connaissance des outils de contrôle dimensionnel,
• connaissance des procédés et techniques de contrôle dimensionnel non descriptif.
Processus
Pour assurer un suivi du processus, il faut en avoir la connaissance de base :
• dessin industriel et technique,
• connaissance des techniques graphiques, maîtrise des plans d’ensemble, calculs
de structure et dessin assisté par informatique(DAO).
Autres savoirs
• calculs mathématiques,
• calculs statistiques,
• analyses des coûts,
• techniques d’expression (compte rendu d’intervention, rapport, présentation de pro-
jet),
• anglais technique.