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Avant
Avant
Avant
✓ Faire une comparaison entre ma formation et la méthode appliquée sur le lieu de travail.
En raison de la nature , étant une chaîne de grande distribution qui s’appuie énormément sur la
logistique, mes missions quotidiennes était donc liées à la logistique, et s’inscrivent toutes dans le
cadre de la gestion des stocks de marchandises au sein du magasin. La passation de mon stage
était généralement au sein des départements liés à la gestion des stocks, et acteurs de la
démarche logistique, tel le service de passation de commandes, et le département de réception
des marchandises.
La remarque fréquemment observée durant ce stage est que l’ensemble du personnel du magasin
et des départements auxquels j’étais présent, visent à travers cette gestion des flux et de stocks
de lutter contre la démarque. Chose qui a suscité mon intérêt et se manifestait comme une
problématique à résoudre.
Ainsi, le rapport suivant détaille mon expérience de stage, il est scindé en deux sous parties ou
chapitres :
✓ La présentation d’ATTIIARIWAFAA BANQUE , et de la succursale comme étant la structure
Hôte de mon stage.
✓ La description des missions effectuées et des tâches accomplies, qui s’inscrivent dans le cadre
de la gestion des stocks de marchandises au sein de Marjane Market, ainsi que la présentation de
certaines propositions simples pour lutter contre la démarque.
Acteur majeur de l’économie au Maroc depuis plus de 110 ans avec un ancrage
solide en Afrique et une large connexion avec le reste du monde, le groupe
Attijariwafa bank, avec l’appui de son actionnaire de référence Al Mada, occupe
une position de leader et s’affirme aujourd’hui en tant que banque relationnelle
de référence. Avec son modèle de banque universelle, sa dimension panafricaine,
la complémentarité de ses métiers et ses expertises solides, Attijariwafa bank
couvre aujourd’hui l’ensemble des métiers bancaires, financiers et parabancaires.
Elle accompagne au quotidien plus de 10,6 millions de clients particuliers,
professionnels, entreprises et institutionnels, grâce à ses 20 583 collaborateurs
présents dans 25 pays en Afrique, en Europe et au Moyen-Orient.
QUI SOMMES-NOUS ?
RAPPORT DE RESPONSABILITÉ
SOCIÉTALE D’ENTREPRISE 2020
1er
GROUPE BANCAIRE
ET FINANCIER
AU MAROC
4e
GROUPE
BANCAIRE ET FINANCIER
EN AFRIQUE
25
PAYS DE PRÉSENCE
1er
RÉSEAU
DE SERVICES BANCAIRES
EN AFRIQUE
Poste :
Gérer les campagnes publicitaires médias et hors média : s'approprier des objectifs
marketing des marchés, concevoir un dispositif de communication, suivre la mise en œuvre
des campagnes, conduire des pré et post tests de campagnes
Piloter et mettre en œuvre des événements organisés par les marchés (conférences,
séminaires..)
Gérer l'éditique des événements / campagnes de la conception à la mise en œuvre
Assurer le suivi des plans de communication annuels des marchés et le budget y afférent
Etablir une veille concurrentielle , benchmark et innovation
Traiter les demandes de sponsoring, suivre leur mise en œuvre et évaluer l'impact des actions
réalisées
Intervenant de la Banque de Détail à l’international, l’Entité Pilotage Stratégique a pour principales
missions, au sein de la Direction Projet et Transformation de :
• Participer avec les équipes Stratégie & développement Groupe et les équipes filiale à l’élaboration
des plans stratégiques des filiales bancaires africaines du groupe et des business plans associés, en
veillant notamment à capitaliser sur les travaux déjà réalisés pour les autres filiales et à développer
les synergies avec les entités du Groupe,
• Participer avec les équipes des filiales à la définition des plans de mise en œuvre et indicateurs de
suivi des plans stratégiques et de la gouvernance associée,
• Garantir la maintenance des Business Plans issus des plans stratégiques : mise à jour des business
plans en fonction des dernières réalisations et d’éventuels évènements externes,
• Jouer le rôle de PMO stratégique ou participer activement au suivi de la mise en œuvre des plans
stratégiques,
19 banques
5 banques participatives A l’heure actuelle, le paysage bancaire marocain compte 54
établissements de crédit, dont 34 sociétés de financement et 19 banques. Ces 19 banques
sont : Al Barid Bank, Arab Bank, Attijariwafa Bank (AWB), Bank Al Amal, BMCE, BMCI, BCP,
Crédit Agricole, CDG Capital, Crédit du Maroc, CF Markets, CIH, Citibank, FEC, La Caixa, Media
Finance, Sabadell, SG et UMB. Parmi ces 19 banques, huit peuvent être considérées comme
étant à vocation universelle : AWB, BP/CPM, BMCE, SGMB, BMCI, CAM, CDM et CIH. Compte
tenu du rôle central du secteur bancaire dans l’économie marocaine, l’analyse de ses structures
bénéficie de notre part d’une attention particulière. Aussi l’analyse de sa
concentration/concurrence entre les établissements bancaires au Maroc constitue-t-elle une
préoccupation de premier plan, dans la compréhension de ces structures.
Pour répondre à la question de savoir si notre secteur bancaire marocain est concurrentiel ou
concentré par quelques banques, on va étudier cette concentration, durant la période 2008-
2015, en se basant sur deux indicateurs fondamentaux : la concentration au niveau des dépôts
de la clientèle et au niveau des crédits.
28 sociétés de financement
6 banques offshore
11 associations de micro-crédit
18 établissements de paiement
La Caisse de Dépôt et de gestion
La Caisse Centrale de Garantie
Au nv internationale
Au nv nationale
Courant 2021, Les autres catégories d’encours bancaires ont été en revanche moins
dynamiques notamment :
Les crédits immobiliers : qui ont enregistré une hausse de 2,7% , dont la
moitié de la croissance provient des crédits participatifs , un segment qui a le
vent en poupe ( 4,5 milliards de MAD d’encours additionnel )
Crédits à l’investissement : Le manque de visibilité des opérateurs
économiques dans un contexte de pandémie à fortement touché ce segment
qui a même décru de 4%.
En 2021, les banques ont profité en revanche d’une année pleine d’un coût de
refinancement plus bas, allégeant la pression sur le taux de marge d’intérêt. La
marge d’intérêt du secteur bancaire côté a cru +3.3% au premier semestre
Quid de 2022 ?
Dans son dernier rapport de la politique monétaire, BKAM table sur une hausse des
crédits bancaires de 3,4% en 2022, avant de s’accélérer à 4,4% en 2023.
https://www.banquemondiale.org/fr/topic/financialsector/overview
II- Analyse de la concentration du secteur bancaire marocain
A l’heure actuelle, le paysage bancaire marocain compte 54 établissements de crédit, dont 34
sociétés de financement et 19 banques. Ces 19 banques sont : Al Barid Bank, Arab Bank,
Attijariwafa Bank (AWB), Bank Al Amal, BMCE, BMCI, BCP, Crédit Agricole, CDG Capital, Crédit
du Maroc, CF Markets, CIH, Citibank, FEC, La Caixa, Media Finance, Sabadell, SG et UMB. Parmi
ces 19 banques, huit peuvent être considérées comme étant à vocation universelle : AWB,
BP/CPM, BMCE, SGMB, BMCI, CAM, CDM et CIH. Compte tenu du rôle central du secteur
bancaire dans l’économie marocaine, l’analyse de ses structures bénéficie de notre part d’une
attention particulière. Aussi l’analyse de sa concentration/concurrence entre les établissements
bancaires au Maroc constitue-t-elle une préoccupation de premier plan, dans la compréhension
de ces structures.
Pour répondre à la question de savoir si notre secteur bancaire marocain est concurrentiel ou
concentré par quelques banques, on va étudier cette concentration, durant la période 2008-
2015, en se basant sur deux indicateurs fondamentaux : la concentration au niveau des dépôts
de la clientèle et au niveau des crédits.
Banques d'investissement
CFG Bank.
Attijari Finances Corp.
BMCE Capital.
CDG Capital.
Upline Group.
Holdagro.
Capital Trust
Les bancaires du portefeuille de BKGR (Attijariwafa Bank, CIH et
BCP) devraient globalement bien se comporter cette année en
bénéficiant de la baisse continue du risque, d’une bonne dynamique
commerciale et de ratios de solvabilité satisfaisants. La création
d’un marché secondaire des créances en souffrance donnerait de la
marge de distribution de crédit.
>>> Lire aussi : Attijariwafa Bank : les réalisations à fin septembre sont alignées avec
les prévisions des analystes
Le coût du risque devrait continuer de diminuer en 2022 et s’établir à 2.887 millions
de dirhams, en baisse de 20% par rapport à 2021. BKGR note qu’une diminution
progressive aura lieu « avec un taux du coût du risque de 0,8% en 2022 (contre 1,1%
en 2021e et 1,7% en 2020e ) avant d’atteindre un niveau d’avant crise de 0,7% en
2023 ».
De son côté, CFG Bank expliquait à ce sujet qu’Attijariwafa Bank dispose « d’une
politique prudente de provisionnement qui doit l’aider à ramener le coût du risque à
un niveau normal plus rapide que les pairs du secteur ».