Proba Chap 4 Exo
Proba Chap 4 Exo
Exercice 2:
0 si t ∈]1;
/ 2]
Soit f la fonction définie sur R par : f (t) = a
√ si t ∈]1; 2]
t−1
Déterminer a pour que f soit une densité de probabilité
Exercice 3:
Déterminer si les fonctions suivantes sont les fonctions de répartition d’une variable à densité. Si oui,
en donner une densité.
1
0 si x < 0 2. ∀x ∈ R, F (x) = 1 −
1. F (x) = x 2 −x
1 + ex
1 − 1 + e si x > 0
2
Exercice 4: (
0 si x < 0
Soit X une VAR dont la fonction de répartition F est définie par : F (x) = 2
1 − e−x /2 si x > 0
Montrer que X est une variable à densité et déterminer une densité de X.
Exercice 5:
Calculer, si elle existe, l’espérance de la variable X dont une densité est :
(
0 si t < 0 0 si t < 1
1. g(t) = 2. h(t) = 4 ln t
4te−2t si t > 0 si t > 1
t3
Exercice 6:
4 (1 − x)1/3 si 0 6 x 6 1
On considère la fonction f définie par : f (x) = 3
0 sinon
1. Montrer que f est la densité d’une variable aléatoire Y .
2. Déterminer la fonction de répartition F de la variable Y . Construire sa représentation graphique
dans un repère orthonormal.
3. Calculer l’espérance de la variable Y .
4. Calculer la probabilité de l’événement [0, 488 < Y 6 1, 2]
Exercice 8:
Soit X une VAR qui suit une loi uniforme sur [a; b]. Montrer que X admet une variance et la calculer.
Exercice 9:
On suppose que la distance en mètres parcourue par un javelot suit une loi normale. Au cours d’un
entrainement, on constate que :
– 10% des javelots atteignent plus de 75 mètres.
– 25% des javelots parcourent moins de 50 mètres.
Calculer la longueur moyenne parcourue par un javelot ainsi que l’écart-type de cette longueur.
On donne au dos la table de valeurs de la fonction de répartition de la loi N (0, 1).
Exercice 10:
Soit X une variable aléatoire suivant la loi exponentielle E(λ).
√
1. Déterminer la loi de la variable aléatoire Y = X.
2. Déterminer une densité de X 2 .
3. Déterminer une densité de X 3 .
Exercice 11:
Soit X une variable aléatoire à densité dont la fonction de répartition F est strictement croissante.
Déterminer la loi de la variable aléatoire Y = F (X).
Exercice 12:
Soit X une variable aléatoire dont une densité est la fonction f définie sur R par :
(
e−|x| si − ln 2 6 x 6 ln 2
f (x) =
0 sinon
Exercice 13:
Soit X une VAR admettant une densité f . On suppose que X prends ses valeurs dans R+ . Soit Y = [X]
(partie entière de X)
1. Déterminer la loi de Y .
2. a) Montrer que E(Y ) existe si et seulement si E(X) existe.
b) Montrer que si E(X) existe alors : E(Y ) 6 E(X) 6 E(Y ) + 1.
1. Rappeler la définition d’une densité de probabilité d’une variable aléatoire X suivant une loi expo-
nentielle de paramètre λ = 1. Donner la valeur de l’espérance et de la variance de X.
2. Utiliser la question précédente pour vérifier que f est bien une densité de probabilité, puis montrer
que T admet une espérance que l’on déterminera.
Quel est le temps moyen de passage en caisse ?
3. a) Démontrer que la fonction de répartition de T , notée FT est définie par :
(
0 si x < 0
FT (x) = −x
1 − (x + 1)e si x > 0
b) Montrer que la probabilité que le temps de passage en caisse soit inférieur à deux unités(de temps)
2e − 3
sachant qu’il est supérieur à une unité est égale à .
2e
4. Un jour donné, trois clients A, B, C se présentent simultanément devant deux caisses libres. Par
courtoisie, C décide de laisser passer A et B et de prendre la place du premier d’entre eux qui aura
terminé. On suppose que les variables TA et TB correspondant au temps de passage en caisse de A
et B sont indépendantes.
a) M désignant le temps d’attente du client C exprimer M en fonction de TA et TB .
b) Montrer que la fonction de répartition de la variable aléatoire M est donnée par :
(
0 si t < 0
P (M 6 t) =
1 − (1 + t)2 e−2t si t > 0
Z +∞
−2A −2A
Or lim − 2Ae −e + 1 = 1 donc l’intégrale g(t) dt est convergente et vaut 1.
A→+∞ 0
Z +∞
En conclusion g(t) dt est convergente et vaut 1.
−∞
g est une densité de probabilité.
Z x
Soit X une VAR de densité g. Notons G sa fonction de répartition. Par définition G(x) = g(t) dt.
−∞
Z x
Si x < 0 alors G(x) = 0 dt = 0.
−∞
Z 0 Z x
Si x > 0 alors G(x) = 0 dt + 4te−2t dt = 0 − 2xe−2x − e−2x + 1 = 1 − (2x + 1)e−2x . (Inutile de
−∞ 0
refaire le calcul, il a été fait dans le point (iii).)
(
0 si x < 0
G(x) =
1 − (2x + 1)e−2x si x > 0
2. (i) On remarque tout d’abord que u est bien une fonction positive car 0 > 0 et pour t > 0,
3 −t/2 2
e 1 − e−t/2 > 0.
2
(ii) La fonction nulle est continue sur ] − ∞; 0[ et par produit de fonctions continues, la fonction
3 2
t → e−t/2 1 − e−t/2 est continue sur ]0; +∞[. Donc u est continue sur R∗ .
2
De plus lim u = 0 = lim u = u(0) donc u est en fait continue sur R.
0− 0+
Z 0
(iii) Comme u est nulle sur ] − ∞; 0[, l’intégrale u(t) dt est convergente et vaut 0.
−∞
Z +∞
Sur [0; +∞[, u est continue donc l’intégrale u(t) dt ne pose problème qu’en +∞.
0
Soit A > 0 :
A
3 −t/2
Z
2 A
1 − e−t/2 dt = (1 − e−t/2 )3 0 = (1 − e−A/2 )3
e
0 2
Exercice 2:
(i) On remarque tout d’abord que pour que f soit bien une fonction positive il faut que a > 0 car 0 > 0
a
et pour t ∈]1; 2], √ > 0 ⇔ a > 0.
t−1
a
(ii) La fonction nulle est continue sur ] − ∞; 1]∪]2; +∞[ et la fonction t → √ est continue sur ]1; 2]
t−1
pour toute valeur de a.
Quelle que soit la valeur de a, f est continue sur R \ {1; 2}.
Z 1 Z +∞
(iii) Comme f est nulle sur ] − ∞; 1]∪]2; +∞[, les intégrales f (t) dt et f (t) dt sont convergentes
−∞ 2
et valent 0. Z 2
Sur ]1; 2], f est continue donc l’intégrale f (t) dt ne pose problème qu’en 1.
1
Soit 1 < A 6 2, :
a 2 √ √
Z
2
√
dt = 2a t − 1 A = 2a − 2a A − 1
A t−1
√
Z 2
Or lim 2a − 2a A − 1 = 2a donc l’intégrale f (t) dt est convergente et vaut 2a.
A→1 1
Z +∞
En conclusion f (t) dt est convergente et vaut 2a.
−∞
1
Pour que f soit une densité de probabilité il faut donc que a = .
2
Exercice 3:
1. (i) La fonction nulle est continue sur ] − ∞; 0[ et par produit de fonctions continues, la fonction
x 2 −x
x→1− 1+ e est continue sur ]0; +∞[. Donc F est continue sur R∗ .
2
De plus lim F = 0 = lim+
F = F (0) donc F est en fait continue sur R.
0
− 0
(ii) Pour les même raisons que la continuité sur R∗ , F est de classe C 1 su R∗ .
(iii) Sur ] − ∞; 0[, F est constante donc croissante.
x −x x 2 −x x x −x
Sur ]0; +∞[, F ′ (x) = − 1 + e + 1+ e = 1+ e . Donc pour x > 0,
2 2 2 2
F ′ (x) > 0 et donc F est croissante sur ]0; +∞[.
F est croissante sur ] − ∞; 0[ et sur ]0; +∞[ et comme F est continue sur R, F est croissante
sur R.
x 2 −x
(iv) lim F (x) = lim 0 = 0 et grâce aux croissances comparées, lim 1+ e = 0 donc
x→−∞ x→−∞ x→+∞ 2
lim F (x) = 1.
x→+∞
Exercice 4:
(i) La fonction nulle est continue sur ] − ∞; 0[ et par produit de fonctions continues, la fonction x →
2
1 − e−x /2 est continue sur ]0; +∞[. Donc F est continue sur R∗ .
De plus lim F = 0 = lim
+
F = F (0) donc F est en fait continue sur R.
0
− 0
(ii) La fonction nulle est de classe C 1 sur ] − ∞; 0[ et par produit de fonctions de classe C 1 , la fonction
2
x → 1 − e−x /2 est de classe C 1 sur ]0; +∞[. Donc F est de classe C 1 sur R∗ .
X est donc une variable à densité.
Pour obtenir une densité il suffit de dériver(F là où F est dérivable.
0 si x < 0
Une densité de X est par exemple f (x) = −x2 /2
.
xe si x > 0
Exercice 5:
Z 0
1. Comme t → t g(t) est nulle sur ] − ∞; 0[, l’intégrale t g(t) dt est absolument convergente et vaut
−∞
0. Z +∞
Sur [0; +∞[, t → |t g(t)| est continue donc l’intégrale |t g(t)| dt ne pose problème qu’en +∞.
0
Soit A > 0, par intégration par parties :
Z A Z A Z A Z A
2 −2t 2 −2t A −2t 2 −2A
4te−2t dt
|t g(t)| dt = 4t e dt = −2t e 0
+ 4te dt = −2A e +
0 0 0 0
Z A
Dans l’exercice 1 on a calculé : 4te−2t dt = −2Ae−2A − e−2A + 1
0
Z A
Donc t g(t) dt = −2A2 e−2A − 2Ae−2A − e−2A + 1.
0
Z +∞
2 −2A −2A −2A
Or lim −2A e −2Ae −e +1 = 1 donc l’intégrale t g(t) dt est absolument convergente
A→+∞ 0
et vaut 1. Z +∞
En conclusion t g(t) dt est absolument convergente et vaut 1.
−∞
Exercice 6:
1. (i) Pour x 6∈ [0; 1] on a f (x) = 0 > 0 et si x ∈ [0; 1], (1 − x) > 0 donc f (x) > 0.
f est bien une fonction à valeurs positives.
(ii) f est bien continue sur ] − ∞; 0[ et sur ]1; +∞[ car f est la fonction nulle sur ces intervalles.
Sur ]0; 1[ f est la composée de fonction continues donc f est continue.
f est donc continue sur R \ {0; 1}.
Z 0 Z +∞
(iii) Les intégrales f (x) dx et f (x) dx sont convergentes car f est nulle sur ces intervalles
−∞ 1
et ces intégrales valent 0.
Z 1
Sur [0; 1] la fonction f est continue donc l’intégrale f (x) dx est convergente. De plus :
0
Z 1 1
f (x) dx = −(1 − x)4/3 0 = 1
0
Z +∞ Z +∞
Donc f (x) dx est convergente et f (x) dx = 1
−∞ −∞
f est bien une densité de probabilité.
Z x
2. Par définition F (x) = f (t) dt.
−∞
Z x
• Si x < 0, F (x) = 0 dt = 0.
−∞
Z 0 Z x Z x
4
• Si 0 6 x 6 1, F (x) = f (t) dt + f (t) dt = (1 − t)1/3 dt = 1 − (1 − x)4/3 .
3
Z 0 −∞ Z 1 0 Z x 0 Z 1
4
• Si x > 1, F (x) = f (t) dt + f (t) dt + f (t) dt = (1 − t)1/3 dt = 1.
−∞ 0 1 0 3
0
si x < 0
F (x) = 1 − (1 − x) 4/3
si 0 6 x 6 1
1 si x > 1
0.5
−1 1
Z +∞
3. Pour les mêmes raisons qu’à la question 1, l’intégrale xf (x) dx est absolument convergente donc
−∞
Y admet une espérance et :
Z +∞ Z 1
4
E(Y ) = xf (x) dx = x(1 − x)1/3 dx
−∞ 0 3
Z 1 1
4/3 1
4/3 3 7/3 3
= −x(1 − x) 0
+ (1 − x) dx = − (1 − x) =
0 7 0 7
3
E(Y ) =
7
4. P (0, 488 < Y 6 1, 2) = F (1, 2) − F (0, 488) = 1 − 1 + (1 − 0, 488)4/3 = (0, 512)4/3 = 0, 4096
Exercice 7:
1. On a déjà vu que X admet une espérance et que E(X) = 1. Montrons maintenant que X admet un
moment d’ordre 2. Z 0
2
t → t g(t) est nulle sur ] − ∞; 0[, l’intégrale t2 g(t) dt est absolument convergente et vaut 0.
−∞
Z +∞
2 2
Sur [0; +∞[, t → |t g(t)| = t g(t) est continue donc l’intégrale t2 g(t) dt ne pose problème
0
qu’en +∞.
Soit A > 0, par intégration par parties :
Z A Z A A A
3
Z Z
2 3 −2t 3 −2t A 2 −2t 3 −2A
4t2 e−2t dt
t g(t) dt = 4t e dt = −2t e 0
+ 6t e dt = −2A e +
0 0 0 2 0
Z A
On a déjà calculé dans l’exercice 5 : 4t2 e−2t dt = −2A2 e−2A − 2Ae−2A − e−2A + 1.
0
Z A
3 3
Donc t2 g(t) dt = −2A3 e−2A − 3A2 e−2A − 3Ae−2A − e−2A + .
0 2 2
3 3 3
Or lim − 2A3 e−2A − 3A2 e−2A − 3Ae−2A − e−2A + = .
A→+∞ 2 2 2
Z +∞
3
Donc t2 g(t) dt converge absolument et E(X 2 ) = .
−∞ 2
3 1
On a donc V (X) = E(X 2 ) − E(X)2 = − 1 =
2 2
Exercice 8:
On rappelle qu’une densité d’une variable aléatoire X qui suit une loi uniforme sur [a; b] est :
1
si x ∈ [a; b]
f (t) = b − a
0 sinon
a+b
On sait déjà que X admet une espérance et que E(X) = .
2
Montrons que X admet un moment d’ordre 2. Z a Z +∞
2
2
t → t f (t) est nulle sur ] − ∞; a[ et sur ]b; +∞[ donc les intégrales t f (t) dt et t2 f (t) dt sont
−∞ b
convergentes et valent 0. Z b
2
De plus t → t f (t) est continue sur [a; b] donc t2 f (t) dt est convergente.
a
X admet donc un moment d’ordre 2 et :
b 3 b
t2 1 t b3 − a3 b2 + ab + a2
Z
2
E(X ) = dt = = =
a b−a b − a 3 a 3(b − a) 3
car b − a = (b − a)(b + ab + a2 ) (division euclidienne).
3 3 2
Exercice 9:
Notons X la VAR égale à la distance parcourue par le javelot. D’après l’énoncé, X suit une loi normale
de paramètres m et σ.
Le but de cet exercice est de trouver m et σ.
L’énoncé nous dit que :
La longueur moyenne parcourue par le javelot est 58, 69 et l’écart type est 12, 82.
Exercice 10:
On rappelle que la fonction de répartition d’une VAR X qui suit un loi exponentielle de paramètre λ
est donnée par :
(
0 si x < 0
F (x) =
1 − e−λx si x > 0
√
1. Notons G la fonction de répartition de Y . Par définition G(x) = P (Y 6 x) = P ( X 6 x).
√
• Si x < 0, P ( X 6 x) = 0.
√ 2
• Si x > 0, P ( X 6 x) = P (X 6 x2 ) = F (x2 ) = 1 − e−λx
(
0 si x < 0
On a donc G(x) = −λx2
.
1−e si x > 0
On montre facilement que G est continue sur R et de classe C 1 sur R∗ donc G est la fonction de
répartition d’une variable à densité et une densité de Y est par exemple :
(
0 si x < 0
g(x) = 2
2λxe−λx si x > 0
Exercice 11:
F est strictement croissante d’après les hypothèses de l’énoncé et est continue sur R car c’est la fonction
de répartition d’une variable à densité. Donc d’après le théorème de bijection monotone, F réalise une
bijection de R sur ]lim F ; lim F [=]0; 1[.
−∞ +∞
On note G fonction de répartition de la VAR Y = F (X).
Par définition G(x) = P (Y 6 x) = P (F (X) 6 x).
• Si x < 0 alors G(x) = 0 (il est impossible d’avoir F (X) < 0)
• Si x > 1 alors G(x) = 1 car l’événement [F (X) 6 1] est certain.
• Si 0 6 x 6 1 alorsG(x) = P (X 6 F −1 (x)) = F (F −1 (x)) = x.
0 si x < 0
On a donc G(x) = x si 0 6 x 6 1 .
1 si x > 1
On reconnait ici la fonction de répartition d’une VAR qui suit une loi uniforme sur [0; 1].
F (X) suit une loi uniforme sur [0; 1].
Exercice 12: Z x
1. Par définition F (x) = P (X 6 x) = f (t) dt.
Z x −∞
Exercice 13:
1. Y (Ω) = N et pour tout k ∈ N :
Z k+1
P (Y = k) = P ([X] = k) = P (k 6 X < k + 1) = f (t) dt
k
f (t) dt.
k
X Z k+1 XZ k+1 Z +∞
On sait que k f (t) dt converge et de plus f (t) dt converge car f (t) dt con-
k k 0
verge et vaut 1.
XZ k+1 Z +∞
Donc tf (t) dt est convergente et ainsi tf (t) dt est convergente.
k 0
f (x) dx = xg(x) dx et comme on sait que X admet un espérance on peut affirmer que
−∞ Z +∞ −∞
l’intégrale f (x) dx est convergente et vaut E(X) = 1.
−∞
Donc f est bien une densité de probabilité.
Z +∞ Z +∞
Si E(T ) existe, on a E(T ) = xf (x) dx = x2 g(x) dx. Comme on sait que X admet une
−∞ −∞
variance, on peut donc dire que X admet un moment d’ordre 2 et donc T admet une espérance.
D’après la formule de Kœnig,
On a donc bien (
0 si x < 0
Ft (x) =
1 − (x + 1)e−x si x > 0
b) On veut calculer
P ([T > 1] ∩ [T 6 2])
P[T >1] (T 6 2) =
P (T > 1)
P (1 6 T 6 2) FT (2) − FT (1)
= =
1 − P (T 6 1) 1 − FT (1)
−2 −1
−3e + 2e 2e − 3
= −1
= en multipliant en haut et en bas par e2
2e 2e
4. a) Le client C pourra passer en caisse dès que le plus rapide de A ou B aura fini. Donc le temps
d’attente de C correspond au plus petit temps de passage entre A et B :
M = min(TA , TB )