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Physique Statistique Chap. I

Ce document introduit les concepts de base de la physique statistique. Il traite notamment des notions de micro-états et de macro-états, des distributions de probabilité comme les distributions binomiales, de Poisson et gaussienne, et des systèmes à plusieurs particules.

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Physique statistique (théorie des probabilités)

Chapitre 1 : Éléments de base


1-Introduction
La physique statistique (ou mécanique statistique) fait le lien entre le monde microscopique et
le monde macroscopique, elle intervient dés que l’on traites des systèmes constitue d’un grand
nombre de particules.
Une matière bien qu’elle apparait à nos zieux (macrosopique) comme continue, elle est en
réalité formée par plusieurs particules, donc miroscopiquement elle est discontinue, alors si on
veut étudier ces particules on se retrouve à mener un très grand nombre de variables qui
dépassent au loin notre capacité de calcul, de sorte que même nos machines de calcul seront
incapable de donner des résultats.
Donc l’étude individuelle des ces particules est pratiquement impossible, l’étude de ce grand
nombre de particules comme un élément aux propriétés plus globales est ainsi apprécié : c’est
l’objet de la physique statistique.
2-But de la physique statistique
a-Unifier microscopique et macroscopique
Elle permet le passage des propriétés microscopique régies par la mécanique quantique
(prévoie les propriétés d’un électrons ou atome) aux propriétés macroscopique régie par la
thermodynamique caractérisé par un petit nombre de grandeurs mesurable ; , ; .
b-expliquer la fluctuation autour de l’équilibre
L’état d’équilibre macroscopique est caractérisé par la donnée des valeurs moyennes. Les
fluctuations autour de cet état sont étudiées par la physique statistique.
c-Expliquer le comportement collectif
Étudier les interactions entre particules qui sont à l’origine de transitions de phase (solide-
liquide ; …).
d-Nécessité d’une approche statistique
Le nombre énorme de degrés de liberté dût au grand nombre de particules exige une approche
probabiliste permettant de caractériser l’état d’un système macro à l’aide d’un nombre
restreint de variable moyens.
3-Notions de probabilités
a-Variable aléatoire discrète
Soit l’ensemble des résultats qu’on peut avoir de l’experience ou les resultats probables et
∈ est l’une des résultats probable avec = ,… .
Soit l’une des résultat qu’on peut avoir dans une experience. La probabilité pour que la
variable discrète soit égale à est donnée par .

1
Si on a possibilités de valeurs à avoir comme résultats d’expériences ,… . Alors
+ +…+ =∑ =1
C’est la condition de normalisation, ça veut dire que c’est sûre d’avoir le résultat.
b-Variable aléatoire continue
Soit la densité de probabilité tel que est la probabilité pour que la variable
aléatoire ontinue soit dans le résultat d’experience compris dans l’interval et + .
La condition de normalisation est donnée par

=1

C’est-à-dire que c’est sûre d’avoir un résultat de l’expérience.


Remarque : La densité de probabilité peut être supérieur à 1 par contre la probabilité ne peut
être supérieur à 1.
c-Valeur moyenne !
discrète continue
"=
"=#

= + +
⋯+

"""" =
"""" = #

= + +⋯+

Remarque : La valeur moyenne " n’est pas toujours la valeur la plus probable % où la
probabilité & % ' est maximale.
(Figure)
d-Écart-type ou fluctuation ( :

) = ∆ = +"""" − " = − "


e-Variance ( -

) = """" − "
f-Fluctuation relative
∆ )
=
" "
2
4-Système à deux particules
Soient deux particules . et . et deux états / et / dont et sont les nombres que
contient respectivement l’état / et l’état / .
Les configurations possibles qui traduisent le nombre de particules qu’occupent les états / et
/ sont représentés par :
Figure

Le nombre de configurations est 4. La loi qui donne ce nombre est 2 = 4 où est égale à 2
(partiules).
Donc on a 4 configurations possibles et sachant que ∑ = 1 où est la probabilité d’avoir
la configuration 2.
⇒ 4 ; 5 6 + 4 6; 5 + 4 ; 5 + 4 ; 5 =1

Sachant que les configurations sont équiprobables, chaque configuration est égale à 7
=8

⇒ La probabilité d’avoir l’une des configurations est égale 8.

1
⇒ ; 5 6 =
4
4

4 6; 5 =8

4 ; 5 =8+8=

5-Système à 9 partucules
Soit particules et une boite ayant deux parties
Figure

Comme il y’a particules ⇒ 2 est le nombre de configuration totale. Chaque particules à 7

possibilités de ses retrouvé dans la partie droite. Le nombre de combinaison d’avoir


partiules parmis est
:; .
La probabilité d’avoir ∈ particules dans la partie droite est
:;
=
2
Où :; est le nombre de combinaison d’avoir de . Et 2 est le nombre total de
combinaison.
!
:; = ;! est la combinaison de particules parmis .
=; !

3
! 1
⇒ =
! − !2
Où != 1×2×3×… , != 1×2×3×… , − !=1×2×3×… −
Formule de Stirling :
@ .! = .@ . − . ( Démonstration en cours).
Nombre moyen de particule dans la partie droite :

! 1
"=# =#
! − !2

6-Distribution binomiale, la marche au hasard à 1 dimension


Cette distribution permet de traiter le problème de l’évolution du système au cours du temps
dans un espace à une dimension, c’est ce qu’on appelle une marche au hasard. A chaque
instant le système avance d’un pas de longueur @ donnée. Dans l’une ou l’autre direction de
l’espace, c.a.d droite au gauche ; où A est la probabilité de droite et B de gauche avec A + B =
1. On peut avoir A = B = ; dans le cas ou on traite un ensemble d’atome de spin C = .

Dans le cas générale A ≠ B.


Si on a pas, on veut savoir ou nous somme de l’origine, cela est possible si on introduit la
distribution de probabilité.
Soit le nombre de pas vers la droite et ,
le nombre de pas vers la gauhe ⇒ + ,
=N
La suite de démonstrations en cours.
a-Valeurs moyenne
Démonstration en cours
b-Fluctuations
Démonstration en cours
c-Fluctuation relative
Démonstration en cours
7-Distribution de Gauss (ou loi normale)
Lorsque augmente la distribution binomiale ressemble beaucoup à une gaussienne avec A et
B pas très petites.
1 −" 1 − A
= G A H− I= G A H− I
√2F) 2) )√2F 2 AB

4
8-Distribution de Poisson
Lorsque est grand et très petit, c'est-à-dire qu’on s’interesse à des évenements rares. ( de
quelques unités), donc A ≪ 1 et ≪ et sachant que la distribution binomiale est de la
forme
!
= A; B =;
! − !
On aboutit à
A G
; =K

=
!
C’est la distribution de Poisson.
9-Particules discernables et indiscernables
Les particules discernables ou particules identiques sont des particules qui ne peuvent pas être
différencier l’une de l’autre, dans le cas contraire on dit que les particules sont discernables.
La suite en cours
Particules discernables et indiscernables en mécanique quantique
Le voir en cours
10-Macro-états et micro-états
a-Macro-état
Un macro-état est un système macroscopique constitué de particules (atomes, molécules,
…) décrit par des grandeurs macroscopiques : Pression, Volume, Température, Nombre de
mole.
Si on a une mole de gaz parfait le macro-état est complètement déterminé si on connait deux
paramètres ), c. a. d la pression et la température ou bien la température et le volume ou bien
la pression et le volume.
b-Micro-état
Un micro-état est un système microscopique de particules décrit en mécaniqe classique
par :
-3 variables de position.
-3 variables de vitesse
Et en mécanique quantique par les nombres quantiques, alors si le nombre de spin est nul, il
nous faut dans le cas d’une mole de . particules, où . est le nombre d’Avogadro, 3 .
nombre quantiques.
C'est-à-dire :
. nombre quantique L

5
. nombre quantique M

. nombre quantique N

Ce qui ramène à dire que le passage du micro-état au macro-état nous entraine une réduction
de l’information. On dira alors qu’un macro-état donne en globe un grand nombre de micro-
état.
Une configuration correspond à la donnée de l’ensemble des nombres quantiques ( , @ O, C)
qui permettent de décrire complétement le système au niveau microscipique .
11-L’espace de phase
Pour décrire l’évolution du système formé par une particule de masse O au cours du temps en
utilisant la mécanique classique au lieu de la mécanique quantique, on se ramène à introduire
la notion de l’espace de phase défini par un éspace cartésien à six dimensions dont les axes
sont associés aux variables , P, Q, AL , AM , AN . Il est représenté dans la figure suivante :

AT
Trajectoire de l’espace des
phases

A6
SSSST

R6
SSST RT

Où SSST
R6 et SSST et
R6 sont l’impulsion, et la position à l’instant U = 0. Le point se déplace au cours
du temps et sera à l’instant U en SSSSSST
R V et SSSSSST.
AV

Une configuration du système correspond à la donnée explicite des quantités RT et AT


representés dans l’espace de phase.
Chaque point ayant SSSSSST
R V et SSSSSST
A V à U représente une configuration. Donc au cours de son
évolution, le système décrit une trajectoire dans cet éspace.
Exemple : Voir en cours
Dimension de l’espace de phase
Si W est le nombre de degrés de libertés, la dimension de l’espace de phase est 2W (W pour les
coordonnées et W pour les impulsions).
12-Micro-état classique
Le voir en cours
Application de micro-état quantique et micro-état classique
6
A-Micro-état quantique
Le voir en cours
B-Micro-état classique (espace de phase)
Le voir en cours
13-Postulat de la physique statistique
a-Postulat 1 ou postulat de base
Le premier postulat de la physique statistique s’énonce comme suit :
« Pour un système isolé en équilibre d’énergie /, tous les micro-états sont équipropables ». Si
X / est le nombre de micro-état accésible à un syystème isolé en équilibre, la probabilité
1
pour qu’il soit dans un micro-état est égale à Y .
Z

b-Postulat 2 : Hypothèse ergodique


La moyenne dans le temps d’un paramètre quelconque est égale à la moyenne de ce paramètre
prise sur un ensemble de système.
Exemple : Le voir en cours

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