Réalisé Par: AHNYNE REDOUANE Encadré Par: MR M. GHALI Boutahra Saad El Ouassi Mustafa Lafrouji Ahmed Samir Boukcim Hamid
Réalisé Par: AHNYNE REDOUANE Encadré Par: MR M. GHALI Boutahra Saad El Ouassi Mustafa Lafrouji Ahmed Samir Boukcim Hamid
Réalisé Par: AHNYNE REDOUANE Encadré Par: MR M. GHALI Boutahra Saad El Ouassi Mustafa Lafrouji Ahmed Samir Boukcim Hamid
GHALI
BOUTAHRA SAAD
EL OUASSI MUSTAFA
BOUKCIM HAMID
Table des matières
I. Etude générale du concept de e-commerce...................................................................5
A. Une vue sur le commerce électronique 5
1. Définition du e-commerce.................................................................................. 5
2. Les différents types d’échanges commerciaux :........................................................6
3. Les enjeux et limites de e-commerce :...................................................................7
B. Apparition et développement du e-commerce au Maroc 8
1. Apparition du e-commerce au Maroc....................................................................8
2. Maroc télécommerce et e-commerce...................................................................10
3. Développement du e-commerce électronique et son rôle dans le développement économique
et social au Maroc............................................................................................... 12
4. Commerce et développement économique et social au Maroc....................................16
II. L’environnement légal du commerce électronique :.......................................................17
A. La juridiction internationale : 17
B. L’environnement légal du commerce électronique au Maroc 19
1. Législation du commerce électronique au Maroc :..................................................19
2. Structure d’accompagnement du commerce électronique au Maroc.............................20
III. Les considérations relatives à la mise en place du contrat électronique...........................21
A. la qualité d’une offre sur internet 21
B. L’offre et l’acceptation : formaliser les étapes du contrat électronique 22
Introduction :
2
Les dix dernières années ont vu un développement exponentiel de
l'Internet, du Web et, plus généralement, des NTIC (Nouvelles
Technologies d'Information et de Communication), mouvement qui
semble indiscutablement se poursuivre à très grande vitesse. Ce
développement a provoqué un grand nombre d'interrogations, de
remises en question, concernant l'organisation des marchés et les
stratégies marketing des entreprises de services dont l'offre est
limitée dans le temps.
3
au même niveau, devant les clients, que ses homologues de grande
taille.
4
supplémentaire du code pénal en matière d'infractions relatives
aux systèmes de traitement automatisé des données et la loi sur les
échanges électroniques de données juridiques.
5
I. Etude générale du concept de e-commerce
1. Définition du e-commerce
a) Définition de l’OCDE
Selon la définition de l'OCDE, le commerce électronique ou e-
commerce en anglais, est "la vente ou l'achat de biens ou de
services, effectués par une entreprise, un particulier, une
administration ou toute autre entité publique ou privée, et réalisé au
moyen d'un réseau électronique.
b) Définition d’U.E :
Selon la définition de L’OMC, Le commerce électronique c’est la
réalisation d'acte(s) commerciale(s) (Vente, achat, location, ...) en
utilisant et/ou combinant les nouvelles technologies de
communication. OU Le commerce électronique est la vente d'un
produit ou service présenté, acheté, et payé électroniquement (voire
livré digitalement dans le cas de logiciel, musique, ticket, livre
électronique, hébergement et prestation Internet, etc.).
6
informatisées). Des transactions électroniques se réalisent
également sur les réseaux téléphoniques mobiles. On parle alors de
m-commerce (mobile commerce). Plus spécifiquement, en France,
depuis les années 1980, le Minitel a permis le développement de
transactions électroniques prémisses des services offerts à ce jour
sur Internet.
a) Le commerce électronique B to B :
Le commerce électronique d'entreprise à entreprise concerne les
transactions électroniques entre deux ou plusieurs entreprises, c'est-
à-dire l'achat au prés des vendeurs des biens et services.
b) Le commerce électronique B to A :
Le business to administration (B to A) concerne les transactions
entre une entreprise et une administration, par exemple, la
transmission d'une déclaration de revenus vers un ministre
c) Le commerce électronique B to C :
Le business to consumer est constitué de différentes transactions
électroniques entre une entreprise et un consommateur. Ce type
d'échanges est sans doute l'aspect le plus viable du commerce
électronique car il permet au consommateur d'acheter directement
sur Internet des biens et des services pour son usage personnel.
7
d) Autres types d’échanges commerciaux :
8
3. Les enjeux et limites de e-commerce :
9
b) Limites de commerce électronique
Le manque de proximité entre vendeurs et acheteurs :
Démontrant le manque cruel de politique de CRM : hotlines
surtaxées, retour des colis souvent mal assuré, le manque de
contact humain est un poids très lourd pour l’utilisateur en
proie à un problème avec sa commande. C’est ainsi que nous
revenons sur le problème de la confiance, très dure à établir
lorsque le contact physique n’existe plus, et qui justifie donc
les prestations de services des tiers de confiance : clients
mystères, notations des vendeurs, critiques des produits,
assurances, etc. ;
peut-on vendre sur Internet ? Bonne question, quand on
sait qu’une dame de 70 ans s’est spécialisée dans la vente en
ligne de jeux de tarots Marseillais, ou encore qu’un ranch
américain vend de la viande fraîche en ligne ! En réalité tout
dépend du positionnement choisi, et de la logistique mise en
place derrière, qui nécessitera plus ou moins d’investissements
selon la nature du produit et de la clientèle…
l’émergence des particuliers dans le secteur d activité
Constitue-t-elle une menace pour les professionnels ? Ou en
d’autres termes, l’essor du C2C risque-t-il de nuire au B2C ?
Pierre KOSCIUSKO-MORIZET reconnaît en effet que la vente
d’occasion qui représente les 2/3 du marché sur PriceMinister,
est majoritairement assurée par des particuliers, tandis que la
vente de neuf, à hauteur d’1/3 du marché, est assurée par les
professionnels. Mais c’est sans compter sur le processus de
transformation des entreprises qui s’amorce, et ainsi sur les
énormes possibilités offertes par le B2B, aujourd’hui encore
peu développé…
10
sur le monde. Le Gouvernement s’est également rendu compte
que les technologies de l’information affecteront tous les
aspects importants de la société comme la culture, l’éducation,
les services publics, l’emploi et l’économie.
Par conséquent, il a créé en Août 1997, L’agence Nationale de
Réglementation des Télécommunications (ANRT), et lui a
conféré le pouvoir d’élaborer des lois sur les
Télécommunications et le cryptage. Cette agence est placée
sous l’autorité du premier Ministre et se considère comme un,
organisme de réflexion sur
Tous les aspects relevant des technologies de l’information et
du e-commerce, y compris ceux non inclus dans ces statuts.
11
Lors de la période d’évaluation, il est apparu clairement que la
loi actuelle sur la protection des droits d’auteur en vigueur au
Maroc ne fournit pas assez de protection au secteur privé et
ne traite pas la protection des logiciels. Les sanctions stipulées
dans le cadre actuel de la propriété intellectuelle ne
garantissent pas une dissuasion efficace et à long terme contre
le vol de la propriété intellectuelle. Le Maroc a besoins de
reconsidérer la protection qu’il offre à cette propriété et de
l’adapter aux standards internationaux afin d’être considéré
favorablement, par le secteur de la haute technologie, comme
un pays apte à mener des affaires. Donc, afin de participer de
manière réussie au e-commerce, le Gouvernement Marocain
devrait procéder à une réforme de ces lois dans le but de
reconnaître légalement les signatures et les paiements
électroniques.
Le Maroc doit se doter d’une législation définissant les droits,
les responsabilités, et prévoyant des sanctions contre ceux qui
commettent de tels crimes à travers Internet, de même il doit
fournir au personnel judiciaire une formation pour mieux
promouvoir le e-commerce et la haute technologie.
12
des technologies de l’information Maroc Télécommerce a pour
objectif de devenir le premier opérateur du commerce
électronique entre entreprise et particuliers, et entre
entreprises au Maroc en offrant un service complet incluant le
développement, l’hébergement, l’intégration des sites
marchands, la gestion des ordres, le paiement et la sécurité du
traitement des transactions commerciales sur Internet.
13
D’autre part, vu le développement qua connu Internet au
Maroc et la présence de plus en plus significative des
entreprises Marocaines sur le Net, le commerce électronique
peut constituer, d’une manière générale, un levier de
développement important pour l’économie surtout avec la
création de la zone de libre-échange entre le Maroc et l’union
Européenne… et quand on sait que le e-commerce a généré
l’année dernière un chiffre d’affaire de 100 Mds de Dollars qui
devrait atteindre 1000 à 1200 Mds de Dollars en 2003, on se
rend effectivement compte qu’il existe un potentiel à exploiter.
Le défi est tout de même taille quand on sait que les
entreprises Marocaines sont rompues aux méthodes de
transactions classiques. De plus, Maroc Télécommerce
s’aventure sur un marché national quasiment vierge où, au
nombre réduit et au pouvoir d’achat faible des internautes,
s’ajoutent la lourdeur des procédures on –line en dehors des
frontières (contrainte de la réglementation des changes) et
l’absence de législation en matière du e-commerce. Pour
réussir ce tour de force, Maroc Télécommerce ne manque pas
cependant d’arguments.
Les partenaires de Maroc télécommerce en matière de
e-commerce :
La société s’est en effet trouvé des partenaires ayant un
savoir-faire éprouvé en matière de commerce électronique,
notamment :
---------Openmarket : fournisseurs de solutions de commerce
électronique.
----------Vérisign ; autorité de certification qui assure la sécurité,
l’authentification et la certification des messages échangés
entre le client le marchand et la plate-forme.
--------- Cisco qui a fourni une solution globale pour la mise en
place de réseaux sécurisés.
Suivant la même logique, des produits et services vont être
conçus et packagés en collaboration avec les banques
partenaires et commercialisés via les réseaux : 700 agences au
Maroc et à l’étranger.
De même, un programme d’investissement important a été
établi ; et outre les 12 M DH déjà engagés, une enveloppe
supplémentaire sera consacrée à l’achat de logiciel et
d’équipements informatiques, la réalisation d’études et
14
prestations de services, la communication externe et la
publicité, le recrutement, etc. par ailleurs, des démarches ont
d’ordres déjà été entreprises afin de constituer un réseau de
partenaires pour la commercialisation indirecte de son offre.
Les ambitions de Maroc Télécommerce sont en tout cas bien
circonscrites. Reste seulement à savoir si entreprises et
particuliers Marocains rompant aisément avec les méthodes de
paiement traditionnelles pour passer du réel au virtuel.
Développement du e-commerce électronique et son rôle dans
le développement économique et social au Maroc
15
les autres compagnies et consommateurs font d’Internet et du
e-commerce au Maroc et de par le monde.
Le rapport recommande aux pouvoirs publics de promouvoir la
concurrence dans le domaine des infrastructures de
télécommunication et dans le système financier qui sont la clé
de voûte du développement de l’Internet et du e-commerce.
Le domaine financier :
Le rapport insiste sur le fait que le recours au e-commerce
créera une synergie positive par laquelle les entreprises
adoptant le e-commerce d’une manière active seront plus
compétitives, gagneront une part dans le marché,
consolideront le fonctionnement du système financier et
généreront des gains pour l’économie toute entière. Des
études menées sur les banques industrielles du pays montrent
que le coût des transactions bancaires sur Internet représente
1/10 du coût des transactions traditionnelles.
Dans l’avenir, le e-commerce (accompagné d’une assurance
sur le capital risque) peut donner lieu à une nouvelle approche
des prêts octroyés aux PME, rassemblement les banques et les
secteurs financiers non bancaires. Les prêts au PME sont
généralement considérés trop risqués et trop coûteux pour les
banques. Donc l’octroi de crédits à ces entreprises trame en
l’absence d’un crédit du Gouvernement.
La titrisation des avoirs des PME est une nouvelle approche qui
utilise le pouvoir du e-commerce qui réduit le coût du service
des prêts des PME. La titrisation est un moyen pour diversifier
le risque.
16
Ainsi et pour encourager les TIC, Internet et le e-commerce, le
rapport de l’USAID recommande aux autorités Marocaines de
signer l’accord I sur les Technologies de l’information et de
s’engager à n’appliquer aucune imposition sur les produits des
TIC jusqu’à 2002.
Le domaine de Télécommunications :
Le rapport de l’USAID rappelle que durant les dernières
années, le Gouvernement du Maroc a mis en œuvre une série
d’initiatives de réforme pour libéraliser les secteurs de
télécommunications, des postes et des Technologies de
l’information. Ces réformes ont été entreprises en application
de la loi N°24-96, adopté en août 1997, une lettre de politique
de développement sectoriel, en application de la loi N°24-96,
articule le programme de réformes que le Royaume du Maroc
compte introduire dans les secteurs de télécommunication, des
postes et des technologies de l’information.
Le rapport de l’USAID considère que l’aide Financière accordée
par la Banque Mondiale a constitué l’une des principales
raisons de succès réalisé par le Maroc dans la libéralisation de
son secteur des Télécommunications. Durant les quelques
dernières années, le Département du Développement et du
Financement du secteur privé, région Moyen Orient- Afrique du
Nord, de la Banque Mondiale, a œuvré avec le Gouvernement
du Maroc dans le cadre d’un effort visant la libéralisation du
secteur des télécommunications.
Cette opération comprenait l’octroi de 101 millions de Dollars
comme prêt pour l’ajustement des secteurs des
télécommunications, des postes et des Technologies de
L’information (Télécommunications, Postant Information
Technologie Loan-TPI-TAL).
Ce prêt était destiné à aider le secteur dans sa période de
transition.
Concernant l’objectif du TPI-TAL, il s’agit de soutenir l’objectif
global du programme de réformes du Gouvernement visant à
accélérer l’intégration du Maroc dans l’économie globale de
l’information.
L’objectif principal du prêt était, alors de promouvoir une plus
grande concurrence, une plus large participation, plus
d’investissements, ainsi q’une réglementation autonome. La loi
soutien le développement d’une stratégie nationale destinée à
17
faciliter l’intégration du Maroc dans la société globale de
l’information.
Les avantages recherchés par le prêt :
Le secteur privé Marocain sera le principal bénéficiaire des
services compétitifs des télécommunications, de la poste et
des technologies de l’information.
18
Le rapport de l’USAID consacré développements importants au
rôle du commerce électronique dans la dynamisation du
développement économique et social au Maroc.
Commerce et développement économique et social au Maroc.
Le commerce électronique et les technologies de l’information,
en général, sont susceptibles d’aide le Maroc à diversifier son
économie, loin de l’agriculture, vers des services à valeur
ajoutée et vers une production industrielle Avec
développement du commerce électronique au Maroc, tout un
groupe de nouvelles entreprises travaillant dans le domaine
des technologies de l’information se mettra à fleurir. Ces
entreprises commencent déjà à apparaître au Maroc. L’année
dernière le Maroc complait 83 fournisseurs Internet et
aujourd’hui, ils sont plus de 230, chacune de ces entreprises
génère des emplois et des revenus. En outre, quand le secteur
des Technologies de l’information se développe, il contribue
davantage à la croissance économique que les industries
traditionnelles comme celle de marchandises. Toutefois, une
utilisation pleinement intégrée d’Internet est étroitement liée à
un coût bas des frais de télécommunications et à un système
financier favorable. En fait, les coûts élevés de la connexion à
Internet et les obstacles existants dans le système financier du
Maroc ont été les problèmes les plus fréquemment cités lors
des entretiens menés avec les sociétés Marocaines.
19
elles devront faire face aux mêmes pénalités que toute autre
entreprise. Celles-ci comprennent les amendes, les
dédommagements, et parfois même des sentences
d’emprisonnement pour les dirigeants et les propriétaires. Les
entreprises qui utilisent des sites Web pour la conduite de leur
commerce électronique doivent aussi adhérer aux mêmes codes
d’éthique qui guident les autres entreprises. Si elles ne le font pas,
les mêmes conséquences négatives les affecteront, en particulier
perte de confiance des consommateurs qui se traduit généralement
par des pertes commerciales.
A. La juridiction internationale :
Les problèmes de juridiction concernant le commerce international
sont encore plus complexes que les règles qui affectent les
juridictions provinciales à l’intérieur des frontières nationales des
pays. Des traités entre les pays impliqués régissent l’application des
juridictions transfrontalières.
Les frontières entre les pays ont toujours eu donc un rôle très utile
pour les gens et les entreprises : elles délimitent très clairement la
sphère d’application de la culture de la loi. Pour ce faire, Divers pays
du monde déclaraient leur engagement pour la réforme des
environnements légaux du commerce électronique.
20
l’établissement d’un cadre juridique pour l’activité des prestataires
de services de certification ;
Loi n° 99-89 du 2 août 1999 : Code pénal (des infractions portant sur
le commerce et l’industrie).
21
Loi n° 2000-57 du 13 juin 2000 : Code des obligations et des
contrats.
22
électronique des données juridiques qui est publié au BO N° 5584 du
25 Kaada 1428 (6 décembre 2007). Le terme de « données
juridiques » utilisé est « bizarre » et prête à confusion. Le lecteur
peut comprendre (à première vue) qu’il s’agit d’un texte propre au
Ministère de la justice comme on peut croire, d’un autre coté, qu’il
s’agit uniquement des données de ce Ministère. Pourtant la portée
de cette loi est plus générale est d’une grande importance, voir
indispensable pour l’exercice du commerce électronique. En effet, la
loi 53-05, a pour objet de fixer le régime applicable aux données
juridiques échangées par voie électronique, à l’équivalence des
documents établis sur papier et sur support électronique et à la
signature électronique.
Il faut rappeler ici que l’écrit électronique doit réunir toutes les
conditions de forme nécessaires à sa validité, à savoir :
23
Ces deux actions majeures, constitueront un tremplin pour la
promotion et le développement du commerce électronique au
Maroc.
24
III. Les considérations relatives à la mise en place du
contrat électronique
La mise en place du site Web e-commerce implique une
contractualisation des relations entre l’entreprise et ses clients à
travers le respect des clauses de contrats électroniques.
26
l’échange de documents, de télécopies ou d’accords verbaux au
téléphone ou en personne.
Conclusion
27
Le développement des échanges électroniques est au cœur de la
dynamique électronique des années à venir. Il entraine des
changements profonds dans l’organisation et le fonctionnement des
entreprises, dans leurs rapports avec les clients, dans leurs
comportements sur le marché mondial. L’efficacité et la pertinence
du recours aux technologies de l’information et la communication
deviennent des éléments discriminants dans la concurrence, cela
implique que les entreprises et les administrations, ensemble,
fassent une priorité stratégique ainsi, l internet constitue une
opportunité pour les entreprises de toutes tailles à condition qu’elles
prennent le risque de l’apprentissage au mois aussi vite que les
concurrents.
28
Ce dispositif s’inspirerait, dans son fonctionnement, de quelques
principes simples :
29
Sources:
1) James T. PERRY et Gary P. SCHNEIDER, E-commerce, Les éditions
Reynald Goulet, Canada, 2002.
5) http://www.anrt.ma
6) http://www.oc.gov.ma
30