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Voir aussi : choka, chōka

Étymologie

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(Date à préciser) Du japonais 長歌, chōka (« long poème »), de (« long ») et (« chanson »).

Nom commun

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Singulier Pluriel
chôka chôkas
\tʃo.ka\

chôka \tʃo.ka\ masculin

  1. Poème japonais de longueur variable composé de vers alternants de 5 et 7 syllabes.
    • Les poèmes longs (chôka) sont ainsi composés ; leur nombre de vers est variable ; le plus long en compte 149. Mais cette forme fut abandonnée et l’on n’en trouve plus guère d’exemple dès la fin du viiie siècle. — (Gaston Renondeau, Introduction à l’Anthologie de la poésie japonaise classique, Gallimard, collection « Connaissance de l’Orient », 1971)

Variantes orthographiques

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  • tchôka
    • « Le type habituel est la « brève poésie » (mijika-outa ou tannka) qui consiste en cinq vers de 5, 7, 5, 7, et 7 syllabes, soit 31 syllabes en tout. Les « longs poèmes » (nagaouta ou tchôka) pareillement écrits en vers alternés de 5 et 7 syllabes, avec un vers additionel [sic : additionnel] de 7 syllabes pour finir, ne dépassent guère une ou deux pages ». (Revon, Anth. Litt. Jap. 82) — (Henri Micciollo, L’Oiseau noir dans le soleil levant de Paul Claudel : Introduction, variantes et notes, Annales littéraires de l’Université de Besançon, Les Belles Lettres, Paris, 1981)

Traductions

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Anagrammes

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