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Étymologie

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(Date à préciser) Peut-être du moyen français gayoler (« caqueter »).

Verbe 1

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cajoler \ka.ʒɔ.le\ transitif 1er groupe (voir la conjugaison)

  1. Montrer sa tendresse par des gestes doux, caressants.
    • Peut-être auriez-vous désiré que je vinsse vous cajoler ?… — (Honoré de Balzac, L’Envers de l’Histoire contemporaine, 1848, premier épisode)
  2. (Vieilli) Flatter, entretenir quelqu’un de choses qui lui plaisent et qui le touchent.
    • — C’est madame de Chasteller, une veuve que tous ces beaux messieurs de la noblesse cajolent, parce qu’elle a des millions. — (Stendhal, Lucien Leuwen, 1834)
    • Ce que c’est que les jeunes filles ! C’est pour me faire parler qu’elle est venue me cajoler ! — (Comtesse de Ségur, L’Auberge de l’Ange-Gardien, 1888)
    • Flic et journaliste, c'est comme chien et chat, c'est comme flic et avocat aussi. Ça s'attire, ça se respecte, ça se cajole ; jusqu'au coup de griffe qui laisse des cicatrices. — (Hervé Jourdain, Le Sang de la trahison, éd. Fayard, 2013, chapitre 20)
  3. (Vieilli) Tâcher de séduire par de belles paroles.

Variantes orthographiques

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Dérivés

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Synonymes

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Traductions

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Traductions à trier
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Verbe 2

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cajoler \ka.ʒɔ.le\ intransitif 1er groupe (voir la conjugaison)

  1. Variante de cageoler.
    • Eudes et Coulomb s’approchent du pas de porte, alors qu’un geai des chênes, posté sur le faîtage du toit de chaume, se met à cajoler, puis à cajacter, enfin à cocarder si fort que son cri d’alarme devient pénétrant au possible. — (René Guillemier, Au temps de la heaumerie, 2011)

Dérivés

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Prononciation

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Voir aussi

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Références

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