aigle
Étymologie
modifier- (1165) De l’ancien occitan aigla (féminin) ou du latin aquila (féminin). Le mot est déclaré masculin dans la première édition du Dictionnaire de l’Académie française[1].
Nom commun 1
modifierSingulier | Pluriel | |
---|---|---|
Masculin et féminin |
aigle | aigles |
\ɛɡl\ |
aigle \ɛɡl\ masculin et féminin identiques
- (Ornithologie) Oiseau de proie rapace diurne à la vue perçante, au bec crochu à bords tranchants et aux pattes puissantes munies de serres pour saisir leurs proies. Il trompète ou glatit lorsqu’il pousse son cri.
J’ai aperçu un aigle noir.
—Aigle mâle.
Le vol de l’aigle n’est pas un vol battu.
—L’aire d’un aigle est souvent très étendue.
L’Escarbot indigné
— (Jean de La Fontaine, Les Fables de La Fontaine, chapitre VIII (« L’Aigle & l’Escarbot »), Claude Barbin & Denys Thierry, Paris, 1678, page 97)
Vole au nid de l’Oyseau, fracasse en son absence
Ses œufs, ses tendres œufs, sa plus douce esperance :
Pas un seul ne fut épargné.
L’Aigle estant de retour, & voyant ce ménage,
Remplit le Ciel de cris, & pour comble de rage,
Ne sçait sur qui venger le tort qu’elle a souffert.Mais lui, l’aigle sublime, ami des pics sacrés,
— (André de Guerne, Les Flûtes alternées, partie II « Midi », poème V (sans titre), A. Lemerre, 1900, page 93)
Conquérant de l’azur, ne voit plus rien du monde.
Dans cette immensité dont la clarté l’inonde,
Là-haut, devant le phare où tout rayon s’unit,
Il est comme un navire ancré dans le zénith.
- (Sens figuré) (France) Homme de génie, qui a un esprit, un talent supérieur.
Cet homme-là est un aigle au prix de ceux dont vous parlez.
—C’est l’aigle de leur société.
Et une des parties où j’étais le plus nul était assurément la narration française ; je rendais généralement le simple « canevas » sans avoir trouvé la moindre « broderie » pour l’orner. Dans la classe, il y en avait un qui était l’aigle du genre et dont on lisait toujours à haute voix les élucubrations. Oh ! tout ce qu’il glissait là dedans de jolies choses ! (Il est devenu, dans un village de manufactures, le plus prosaïque des petits huissiers.)
— (Pierre Loti, Le Roman d'un enfant, 1890)Mais ce qui achève de te façonner, en mettant chez toi une dualité, c’est l’influence de ton grand-père, le commandant Sicardot. Je l’ai connu, il n’était pas un aigle, il avait au moins beaucoup de droiture et d’énergie.
— (Émile Zola, Le Docteur Pascal, G. Charpentier, 1893, chapitre V)De lui à coup sûr, bien plutôt de M. Thiers, on pourrait dire, sans crainte de se tromper, qu’il n'était pas un aigle. En plus, il était totalement dénué de la haute culture générale dont s’enorgueillissait […] son prédécesseur.
— (Joseph Caillaux, Mes Mémoires, I, Ma jeunesse orgueilleuse, 1942)À la différence des gourous et des aigles qui se flattent d'exercer le métier de consultant, je reconnais n’avoir aucune ambition susceptible de rivaliser avec la leur.
— (Philippe Delaroche, Caïn et Abel avaient un frère, Éditions de l’Olivier / Le Seuil, 2000, page 15)Hélas ! ce pauvre Père Ange, c’est bien dommage ! c’était l’aigle de notre communauté.
— (Denis Diderot, Jacques le Fataliste, 1796)
- (Par analogie) Pupitre d’église représentant un aigle, le rapace, aux ailes étendues.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- Emblème des légions romaines, devenu symbole impérial sous Napoléon. Note : Dans ce cas le mot est toujours au féminin. → voir Section suivante
Aigle romaine, aigle impériale.
— Quel qu’ait été l’homme qui est mort à Saint-Hélène, j’ai travaillé dix ans dans son gouvernement et mon beau-frère fut blessé trois fois sous ses aigles.
— (Anatole France, Le crime de Sylvestre Bonnard, Calmann-Lévy ; réédition Le Livre de Poche, 1967, page 141)On voit encore figurer l’aigle romaine dans les armées de Valentinien II, de Justinien et de leurs successeurs, jusqu’à la fin de l’empire d’Orient. L’aigle portée en tête des armées perses était d’or, aux ailes éployées.
— (Encyclopédie de famille tome 1, éditions Firmin Didot, Paris, 1868)- Et que si je serrais cette main trop loyale,
J’écraserais dans l’œuf ton aigle impériale ! — (Victor Hugo, Hernani, 1830)
- (Golf) (Québec) Trou joué deux (2) coups sous le par.
Elle a également réussi un aigle au 1er trou, grâce à un magnifique coup roulé de 12 pieds.
— (Agence QMI, Wallace, Woodland et Rodgers en tête, le Journal de Montréal, 8 mai 2021)
Dérivés
modifier- aiglant
- aigle à deux têtes
- aigle à queue blanche
- aigle à tête blanche
- aigle à ventre roux
- aigle australien
- aigle barbu
- aigle belliqueux
- aigle bicéphale
- aigle blanc
- aigle blanchard
- aigle botté
- aigle chasseur
- aigle chauve
- aigle commun
- aigle couronné
- aigle criard
- aigle d’Australie
- aigle d’Ayres
- aigle d’Isidore
- aigle d’Orénoque
- aigle de Blyth
- aigle de Bonelli
- aigle de Cassin
- aigle de Gurney
- aigle de Haast
- aigle de Java
- aigle de la Sonde
- aigle de mer
- aigle de Nouvelle-Guinée
- aigle de Pondichéry
- aigle de sang
- aigle de Tolède (surnom donné au coureur cycliste Federico Bahamontes)
- aigle de Verreaux
- aigle de Wahlberg
- aigle de Wallace
- aigle des Célèbes
- aigle des singes
- aigle des steppes
- aigle doré
- aigle du Pérou
- aigle fascié
- aigle féroce
- aigle géant de Haast
- aigle harpie
- aigle huppard
- aigle huppé
- aigle huppé de Guinée
- aigle huppé du Brésil
- aigle ibérique
- aigle impérial
- aigle Jean-le-Blanc
- aigle lancéolé
- aigle martial
- aigle montagnard
- aigle nain
- aigle noir
- aigle noir d’Afrique
- aigle noir et blanc
- aigle orné
- aigle pêcheur
- aigle pêcheur africain
- aigle plaintif
- aigle pomarin
- aigle ravisseur
- aigle royal
- aigle taché
- aigle taché indien
- aigle tacheté
- aigle tyran
- aiglesse
- aiglette
- aiglier
- aiglon
- Aiglon
- aiglonne
- aiglure
- bois d’aigle
- crier comme un aigle
- grand aigle
- grand aigle de mer
- L’Aigle, Laigle
- nid d’aigle
- pays des aigles (Albanie)
- petit aigle
- petit aigle à queue blanche
- pied d’aigle
- pierre d’aigle
- regard d’aigle
- union de l’aigle
Vocabulaire apparenté par le sens
modifierProverbes et phrases toutes faites
modifierHyperonymes
modifier(oiseau de proie) (simplifié)
- oiseau (Aves)
- falconiforme (rapace diurne)
- accipitridé (Accipitridae)
- falconiforme (rapace diurne)
Hyponymes
modifier(oiseau de proie) (exemples)
- aigle barbu ou pygargue à queue blanche)
- aigle botté (Hieraaetus pennatus)
- aigle criard (Aquila clanga)
- aigle fascié (Hieraaetus spilogaster) (en Afrique)
- aigle ibérique (Aquila adalberti) (en Ibérie)
- aigle lancéolé, aigle taché indien (Aquila hastata) (en Inde)
- aigle impérial (Aquila heliaca)
- aigle d’Australie, uraète (Aquila audax uraëtus) (Australie, Océanie)
- aigle de Bonelli (Hieraaetus fasciatus)
- aigle de Cassin (Aquila africana) (en Afrique)
- aigle de mer (pygargue ou balbuzard)
- aigle des steppes (Aquila nipalensis)
- aigle de Verreaux, aigle noir d'Afrique (Aquila verreauxii) (en Afrique)
- aigle martial, aigle belliqueux (Polemaetus bellicosus) (en Afrique)
- aigle noir (Ictinaetus malayensis) (en Asie)
- aigle pêcheur, balbuzard pêcheur (Pandion haliaëtus)
- aigle pêcheur africain, pygargue vocifère, un pygargue (en Afrique)
- aigle pomarin (Aquila pomarina)
- aigle ravisseur (Aquila rapax)
- aigle royal (Aquila chrysaetos ou à tort pygargue à tête blanche)
- circaète jean-le-blanc (Circaetus gallicus)
Traductions
modifierOiseau de proie
- Conventions internationales : Aquila chrysaetos (wikispecies)
- Afrikaans : arend (af), adelaar (af)
- Alabama : talaktochoba (*)
- Albanais : shqiponjë (sq) ; shkabë (sq)
- Allemand : Adler (de) masculin ; Aar (de) masculin (Poétique)
- Amuzgo du Guerrero : kíchi (*)
- Anglais : eagle (en)
- Vieil anglais : earn (ang)
- Arabe : نسر (ar) nasr, عقاب (ar), عُقَاب (ar) uqaèb
- Arikara : neétAhkas (*)
- Arménien : արծիվ (hy) artsiv
- Asturien : águila (ast), aigla (ast)
- Atikamekw : mikisiw (*)
- Aymara : paca (ay)
- Azéri : ҝартал (az), qartal (az)
- Bachkir : бөркөт (*)
- Basque : arrano (eu)
- Bemba : lubambe (*)
- Bété (Côte d’Ivoire) : 'cɩcɛ (*)
- Biélorusse : арол (be) arol
- Bosniaque : orao (bs)
- Breton : erer (br)
- Bulgare : орел (bg) orel
- Catalan : àliga (ca), àguila (ca)
- Cebuano : agila (*)
- Chamorro : ágila (ch)
- Chaoui : igider (shy)
- Cherokee : ᎤᏬᎭᎵ (chr) uwohali
- Cheyenne : netse (*)
- Chinois : 老鹰 (zh) (老鷹) lǎoyīng
- Chleuh : ⵉⴳⵉⴷⵔ (*)
- Coréen : 독수리 (ko) doksuri, 수리 (ko) suri
- Cornique : er (kw)
- Corse : àcula (co) féminin
- Créole guadeloupéen : malfini (*)
- Croate : orao (hr)
- Danois : ørn (da) commun
- Espagnol : águila (es) féminin
- Espéranto : aglo (eo), aglino (eo)
- Estonien : kotkas (et)
- Féroïen : ørn (fo)
- Finnois : kotka (fi)
- Frioulan : acuile (*)
- Frison : earn (fy)
- Frison saterlandais : Oadeler (*)
- Frison septentrional : oodler (*)
- Gaélique écossais : iolair (gd)
- Gaélique irlandais : iolar (ga) masculin
- Gagaouze : kartal (*)
- Galicien : aguia (gl)
- Gallois : eryr (cy)
- Géorgien : არწივი (ka) artsivi
- Gotique : 𐌰𐍂𐌰 (*) ara masculin
- Grec : αετός (el) aetós masculin, αετίνα (el) aetína féminin
- Grec ancien : ἀετός (*) aetós masculin
- Griko : àkula (*) féminin
- Gujarati : ગરુડ (gu) garuḍ
- Hébreu : נשר (he) nešer
- Hindi : गरुड़ (hi) garuḍha
- Hongrois : sas (hu)
- Iakoute : хотой (*)
- Ido : aglo (io)
- Indonésien : elang (id)
- Interlingua : aquila (ia)
- Inuktitut : ᓇᒃᑐᕋᓕᒃ (iu) nakturalik
- Islandais : örn (is)
- Italien : aquila (it) féminin
- Japonais : 鷲 (ja) washi, ワシ (ja) washi
- Kachoube : òrzéł (csb)
- Kannara : ಗರುಡ (kn) garuḍa
- Kazakh : қыран (kk) qıran
- Khakasse : харахус (*)
- Khmer : ឥន្ទ្រី (km)
- Kikuyu : rũĩgĩ (*)
- Kirghiz : бүркүт (ky) bürküt
- Klingon : toQ (*)
- Kotava : kiiz (*)
- Koumyk : къаракъуш (*)
- Kunigami : 鷲 (*), わし (*)
- Ladin : eguia (*)
- Latin : aquila (la) féminin
- Lepcha : ᰎᰪᰰᰋᰤᰩᰵ (*)
- Letton : ērglis (lv)
- Lituanien : erelis (lt) masculin ; aras (lt) masculin
- Macédonien : орел (mk) orel
- Malais : helang (ms)
- Maltais : ajkla (mt)
- Mannois : urley (gv)
- Marathe : गरूड (mr) garūḍ
- Métchif : aegl (*)
- Mongol : бүргэд (mn) bürged
- Nahuatl classique : cuāuhtli (*) ; cuauhtli (*)
- Napolitain : àquela (*)
- Néerlandais : arend (nl) ; adelaar (nl)
- Népalais : चील (ne) cīla
- Nivkh : чамӈ (*)
- Nogaï : карагус (*)
- Vieux norrois : ari (*)
- Norvégien : ørn (no) masculin et féminin identiques
- Occitan : agla (oc) féminin
- Ouïghour : بۈركۈت (ug)
- Ouzbek : burgut (uz)
- Papiamento : águila (*)
- Persan : عقاب (fa) ekāb
- Persan iranien : عقاب (*)
- Picard : aigue (*)
- Polonais : orzeł (pl) masculin
- Portugais : águia (pt) féminin
- Potawatomi : kno (*)
- Quechua : anca (qu)
- Romanche : evla (rm)
- Roumain : acvilă (ro), aceră (ro)
- Russe : орёл (ru) orol
- Ruthène : орел (*)
- Same du Nord : goaskin (*)
- Sanskrit : गरुडः (sa) garuḍaḥ
- Sarde : àcuila (sc) ; altanera (sc) ; àbbile (sc), àbbila (sc) (femelle, sens 2 ?)
- Serbe : орао (sr) orao
- Sherpa : गिग्टक (*), छ्यर्गु (*)
- Sicilien : àcula (scn)
- Slovaque : orol (sk)
- Slovène : orel (sl) masculin ; orlica (sl) féminin
- Solrésol : dorelamisi (*)
- Bas-sorabe : hodlaŕ (*)
- Haut-sorabe : worjoł (hsb)
- Sotho du Nord : ntšhu (*)
- Suédois : örn (sv)
- Swazi : lú-khôzi (ss)
- Tadjik : уқоб (tg) uqob
- Tamoul : எருவை (ta) eruvai
- Tatar de Crimée : qartal (*)
- Tchèque : orel (cs)
- Tchouvache : ăмăрт кайăк (*)
- Thaï : นกอินทรีย์ (th) nók in-see
- Tongien : 'ikale (to)
- Turc : kartal (tr)
- Turkmène : bürgüt (tk)
- Ukrainien : орел (uk) odel
- Vietnamien : chim đại bàng (vi)
- Yiddish : אָדלער (yi) odler masculin
- Yoruba : idì (yo), idì ẹyẹ (yo)
- Zoulou : ukhozi (zu) ; inkwazi (zu), ulukhozi (zu)
Nom commun 2
modifierSingulier | Pluriel |
---|---|
aigle | aigles |
\ɛɡl\ |
aigle \ɛɡl\ féminin
- (Zoologie) Aigle femelle.
Cette belle aigle pondit deux œufs. — L’aigle est furieuse quand on lui ravit ses aiglons.
- (Héraldique) Meuble représentant l’animal stylisé du même nom dans les armoiries. Elle est généralement représentée de front, les ailes éployées vers le chef, la tête tournée à dextre. À rapprocher de aiglat, aiglette, aiglettes, aiglons, émerillon, épervier, faucon, gerfaut et vautour.
Aussi Charles parut-il assez effrayé de ce placement, car il n’avait pas autant de foi que le baron allemand dans l’aigle impériale.
— (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)Cependant, le caractère vraiment ornemental et architectural des armoiries, qui ne tolérait pas une représentation des objets sous leur forme parfaitement naturelle, se conserva […] jusqu’au milieu du 16e [siècle]. Depuis, les bonnes traditions allèrent s’affaiblissant, jusqu’au 19e qui a été témoin de la décadence complète de cet art vénérable, dont il semble qu’on eût oublié même les principes les plus élémentaires. Les armoiries qui offrirent le spectacle écœurant de lions pleins de mansuétude dont l’attitude chancelante fit supposer qu’ils étaient pris de vin, de sauvages minés par la phtisie ou bien se pavanant en petits-maîtres sauf le costume, d’aigles à l’air de serins de canarie, de casques en forme de melon ou de bonnet de nuit, inondèrent le monde.
— (Johannes Baptist Rietstap, Armorial général : précédé d’un Dictionnaire des termes du blason, tome 1 (A–K), G. B. van Goor Zonen, Gouda, 1884)- D’azur à une aigle d’or, qui est de Sierentz → voir illustration « armoiries avec une aigle »
- (Par antonomase) Symbole de diverses puissances impérialistes, notamment actuellement les États-Unis, mais, plus avant, le Saint-Empire romain Germanique, l’Empire de Napoléon, etc.
Dans la région du Richelieu, des tavernes arbordent le drapeau tricolore français; leurs enseignes affichent l’aigle, symbole américain par excellence.
— (Anne-Marie Sicotte, Histoire inédite des Patriotes, Fides, 2016, page 219)
- (Histoire) Chacun des totems des légions romaines.
Bien plus qu’un simple étendard, l’aigle de la légion était une divinité mineure.
- (Sens figuré) La légion romaine elle-même.
Les aigles foudroyées.
Dérivés
modifier- aigle bicéphale
- aigle française (drapeau de l’armée française)
- aigle impériale (armes de l’Empire d’Autriche, qui étaient une aigle à deux têtes)
- aigle romaine (enseignes des légions romaines, ainsi appelées parce qu’elles étaient surmontées de la figure d’un aigle)
- porte-aigle
Traductions
modifierPrononciation
modifier- La prononciation \ɛɡl\ rime avec les mots qui finissent en \ɛɡl\.
- France : écouter « aigle [œ̃.n‿ɛɡl] »
- France (Paris) : écouter « aigle [ɛɡl] »
- France (Paris) : écouter « aigle [ɛɡl] »
- France (Muntzenheim) : écouter « aigle [ɛɡl] »
- Suisse (canton du Valais) : écouter « aigle [ɛɡl] »
- France (Lyon) : écouter « aigle [ɛɡl] »
- (Région à préciser) : écouter « aigle [ɛɡl] »
- France (Canet) : écouter « aigle [ɛɡl] »
- France (Vosges) : écouter « aigle [ɛɡl] »
- France (Vosges) : écouter « aigle [ɛɡl] »
- France (Saint-Étienne) : écouter « aigle [ɛɡlə] »
- France (Lyon) : écouter « aigle [ɛɡl] »
- Saint-Laurent-de-Cerdans (France) : écouter « aigle [ɛɡl] »
Anagrammes
modifier→ Modifier la liste d’anagrammes
Voir aussi
modifier- aigle sur l’encyclopédie Wikipédia
- aigle sur le Dico des Ados
- aigle sur l’encyclopédie Vikidia
- aigle (héraldique) sur l’encyclopédie Wikipédia
Références
modifierSources
modifier- ↑ « aigle », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage
Bibliographie
modifier- Tout ou partie de cet article a été extrait du Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (aigle), mais l’article a pu être modifié depuis.
- Christian Meyer, éditeur scientifique, Dictionnaire des sciences animales, Cirad, Montpellier, France, 2024, article aigles
- « aigle », dans Dictionnaire de l’Académie française, première édition, 1694 → consulter cet ouvrage
- « aigle », dans Dictionnaire du moyen français (1330-1500), 2010, 4e édition → consulter cet ouvrage
- « aigle », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage
- « aigle », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage
Étymologie
modifierNom commun 1
modifieraigle *\Prononciation ?\ féminin
- (Ornithologie) Aigle (oiseau).
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
Dérivés
modifierNom commun 2
modifieraigle *\Prononciation ?\ masculin
- Quantité de clous mis en paquets de forme particulière, ainsi nommé probablement de la ville de Laigle où ces clous étaient fabriqués.
Références
modifier- Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage