Volodia
nouvelle d’Anton Tchekhov
Volodia est une nouvelle de 14 pages d'Anton Tchekhov.
Volodia | |
Publication | |
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Auteur | Anton Tchekhov |
Titre d'origine | russe : Володя - Volodia
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Langue | Russe |
Parution | 1887 dans Le Journal de Pétersbourg no 147 |
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Historique
modifierVolodia est initialement publiée dans la revue russe Le Journal de Pétersbourg, numéro 147, en 1887, sous le pseudonyme A. Tchékhonté[1].
Résumé
modifierVolodia est un jeune homme de dix-sept ans. Il est laid, gauche et mal dans sa peau. Invité avec sa mère à la campagne chez les Choumikhine, ils sont reçus comme des parents pauvres, son amour-propre en souffre. Il tombe amoureux d’une cousine lointaine, Niouta : elle est mariée, elle a trente ans et se moque continuellement de lui. Elle lui cède, il a quelques minutes de bonheur dans le couloir. Le lendemain, il rentre avec sa mère dans la pension de famille où ils habitent, trouve un revolver et se suicide.
Notes et références
modifier- Volodia, notes page 1001, traduit par Édouard Parayre, Bibliothèque de la pléiade, Édition Gallimard, 1970 (ISBN 2-07-010550-4)
Édition française
modifier- Volodia, traduit par Édouard Parayre, Bibliothèque de la Pléiade, Édition Gallimard, 1970 (ISBN 2-07-010550-4)
- Le Moine noir suivi de Volodia et Une morne histoire, traduit par Gabriel Arout, Ginkgo éditeur [« Petite Bibliothèque slave »], , 222 p. (ISBN 978-2-84679-488-6).