Schalke

Géographie
Pays	Allemagne
Land	Rhénanie-du-Nord-Westphalie
Regierungsbezirk (district)	Münster
Grande ville	Gelsenkirchen
Stadtbezirk	Gelsenkirchen-Mitte (d)
Superficie	2,97 km2
Altitude	44 m
Coordonnées	51° 31′ 20″ N, 7° 05′ 19″ E
Code postal	45881

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Schalke est un quartier de la ville de Gelsenkirchen, en Allemagne.

D'une superficie de 2,968 kilomètres carrés et 21 510 habitants (au 31 décembre 2022), il est notamment connu pour son club de football : le FC Schalke 04 qui joue maintenant ses matchs dans la Veltins-Arena à Erle, un autre quartier de Gelsenkirchen.

Histoire

Etymologie

Le nom de cette localité a plusieurs orthographes dans le passé : Scedelike, Sceleke, Scadelik, Schadelick, Schalicke, Schalecke, Schalcke. C'est ainsi que le nom de Schalke est né au fil des siècles. Le nom fait probablement référence à une petite colonie et signifiait quelque chose comme "zone autour du crâne" ou "colonie dans une zone en forme de crâne". Sa première dénomination documentée remonte à 1246^[1].

Période industrielle

Au XIX^e siècle, elle effectue une transition rapide vers l'industrialisation. L'industriel Friedrich Grillo y joue un rôle de premier plan. À partir de 1848, plusieurs forages exploratoires sont réalisés dans le Schalke Mark, dévoilant de riches gisements de houille dans la région autour de Schalke. En 1862, les différents métiers sont regroupés pour former le syndicat des houillères Consolidation^[1].

En 1868, plusieurs syndicats fusionnent sous l'impulsion de Friedrich Grillo, alors directeur de la Kölner Bergwerks-AG, pour former un syndicat minier^[2].

Galerie

Église catholique Saint-Joseph de la Kurt-Schumacher-Strasse
Église évangélique de la paix sur la Königsberger Strasse
Le cœur de Schalke - le Glückauf-Kampfbahn, ancienne maison de Schalke 04

Notes et références

(de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Gelsenkirchen-Schalke » (voir la liste des auteurs).

↑ ^{a et b} Joachim Huske: Die Steinkohlenzechen im Ruhrrevier. Daten und Fakten von den Anfängen bis 2005 (= Veröffentlichungen aus dem Deutschen Bergbau-Museum Bochum, Bd. 144), 3., überarbeitete und erweiterte Auflage. Selbstverlag des Deutschen Bergbau-Museums, Bochum 2006, (ISBN 3-937203-24-9), S. 201.
↑ Joachim Huske: Die Steinkohlenzechen im Ruhrrevier. Daten und Fakten von den Anfängen bis 2005, 3. überarbeitete und erweiterte Auflage. Selbstverlag des Deutschen Bergbau-Museums, Bochum 2006, S. 407.

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[:0-1] {a et b} Joachim Huske: Die Steinkohlenzechen im Ruhrrevier. Daten und Fakten von den Anfängen bis 2005 (= Veröffentlichungen aus dem Deutschen Bergbau-Museum Bochum, Bd. 144), 3., überarbeitete und erweiterte Auflage. Selbstverlag des Deutschen Bergbau-Museums, Bochum 2006, (ISBN 3-937203-24-9), S. 201.

[2] Joachim Huske: Die Steinkohlenzechen im Ruhrrevier. Daten und Fakten von den Anfängen bis 2005, 3. überarbeitete und erweiterte Auflage. Selbstverlag des Deutschen Bergbau-Museums, Bochum 2006, S. 407.

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