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Saint-Germain-de-la-Grange

commune française du département des Yvelines

Saint-Germain-de-la-Grange est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.

Saint-Germain-de-la-Grange
Saint-Germain-de-la-Grange
La mairie.
Blason de Saint-Germain-de-la-Grange
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Yvelines
Maire
Mandat
Bertrand Hauet
2020-2026
Code postal 78640
Code commune 78550
Démographie
Gentilé Saint-Germanois[1]
Population
municipale
1 841 hab. (2021 en évolution de −1,07 % par rapport à 2015)
Densité 352 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 50′ 03″ nord, 1° 54′ 01″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 170 m
Superficie 5,23 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aubergenville
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Saint-Germain-de-la-Grange
Liens
Site web www.sgdlg.fr

Géographie

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Position de Saint-Germain-de-la-Grange dans les Yvelines.

Situation

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La commune de Saint-Germain-de-la-Grange se trouve dans le sud-ouest de la plaine de Versailles.

Le territoire communal s'étend sur le versant nord de la vallée du ru du Maldroit, affluent de rive droite de la Mauldre, au pied de la butte-témoin sur laquelle est établie la ville de Neauphle-le-Château.

Il est relativement accidenté en pente marquée vers le nord. Sa limite nord suit essentiellement le cours du ru du Maldroit.


Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Saint-Germain-de-la-Grange
Beynes Thiverval-Grignon
 
Villiers-Saint-Frédéric Neauphle-le-Château Plaisir

Hydrographie

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Transports et voies de communications

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Réseau routier

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La commune est desservie par la voirie communale qui donne accès à deux axes plus importants : les départementales D 11 (Saint-Cyr-l'École à Bréval) au sud et D 119 (Thiverval-Grignon à Hargeville) au nord.

Desserte ferroviaire

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L'arrêt de car « Villeroy ».

La ligne de Saint-Cyr à Surdon passe par le territoire communal. Jusqu'à Dreux 1864 - l'Aigle 1866 - Surdon 1867 - Vire 1868 - Granville . De plus il existe une bifurcation vers Mantes-la-Jolie par la ligne de Plaisir - Grignon à Épône - Mézières ().

Les gares ferroviaires les plus proches de la commune sont celles de Beynes à 4 km, Villiers - Neauphle - Pontchartrain à 4,5 km et Plaisir - Grignon à 5 km.

La commune est desservie par les lignes 12, 27, B, M, P, Q et V du réseau de bus Centre et Sud Yvelines.

Sentier de randonnée

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La commune est également traversée par un sentier de grande randonnée, le GR 1 (tour de l’Île-de-France).

Une double ligne à haute tension est orientée ouest-est dans le sud de la commune.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 677 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Maule à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Germain-de-la-Grange est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[10]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 78,89 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 3,34 % d'espaces ouverts artificialisés et 17,78 % d'espaces construits artificialisés[13].

L'habitat est rassemblé dans deux bourgs distincts, le village de Saint-Germain-de-la-Grange proprement dit (le Bourg), situé à peu près au centre du territoire de la commune et abritant la mairie, et au sud le hameau de Châtron, étagé sur la pente nord de la butte de Neauphle-le-Château, en lisière de cette commune et de Plaisir.

Il s'agit dans les deux cas de maisons individuelles construites en dehors du noyau ancien du village dans des lotissements relativement récents.

Le territoire est peu urbanisé (15 %) et pratiquement pas boisé. Il est consacré essentiellement à l'agriculture (céréales, colza).

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Morainville à l'époque franque[14], Sancto germano subtus neaupfle vers 1184[15], Sanctus Germanus de Morevilla en 1205[16], Saint Germain de Morainville en 1484[17].

Morainville désignait anciennement le « domaine de Morinus ».

Hagiotoponyme, composé de Saint Germain et grange[18].

Histoire

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Le monument aux morts place Alphonse-Mainguet.

L’origine de Saint-Germain-de-la-Grange n’est pas connue. Mais, on estime que c’est entre le IXe et le XIe siècle que le nom de saint Germain (496-576), nommé évêque de Paris au VIe siècle par le roi Childebert (fils de Clovis) en 555, lui a été donné. Un sarcophage de cette époque a été retrouvé dans la commune[19]. La Grange provient vraisemblablement de l’existence pendant plusieurs siècles d’un ensemble de bâtiments construits selon l’architecture cistercienne. Il était composé de plusieurs granges et d’un bâtiment principal d’habitation où logeaient des frères convers. Une autre origine pourrait provenir de l’existence d’une grange destinée à contenir les produits de la dîme qui était un impôt représentant un dixième de tout ce qui croissait et naissait au bénéfice des seigneurs et du clergé. C’était l’endroit où étaient collectés les impôts. Ce privilège donna lieu, dès le Moyen Âge, à de fructueuses transactions, parfois irrégulières, que Charlemagne dénonça.Très répandus dans la région, des fours à chaux de diverses époques ont été installés pour les constructions. Au cours des travaux de l'Espace-Loisirs, trois datant de l'époque mérovingienne (VIe et VIIe siècles) furent découverts. En 1987, un sarcophage de cette époque a été découvert à l'emplacement de l'ancien cimetière derrière la place Mainguet où se trouve le monument aux morts de la commune[20].

Avant 1179
À l’époque gauloise, Saint-Germain-de-la-Grange était situé à l’extrême ouest du territoire des Parisii. La frontière avec celui des Carnutes était matérialisée par la Mauldre qui prend sa source à Coignières (169 mètres d’altitude). Son cours s’étend sur 30 kilomètres jusqu’à la Seine (18 mètres d’altitude)[19].

XIIIe siècle
Le fief de Saint-Germain dépendait de la baronnie de Neauphle-le-Château et se trouvait administré par les seigneurs de Chateron. Ils ont habité le hameau actuel de Chatron situé sur le point culminant de la commune[20].

XVe siècle
Mathurin de Harville, né en 1459, fut seigneur de la Grange. Le roi Louis XI cède, en 1450, la châtellenie de Neauphle-le-Château à François Ier, duc de Bretagne, qui se trouve ainsi rattachée au comté de Montfort. Charles VIII, le , déclare que Saint-Germain de Morainville est réuni au comté de Montfort[20].

XVIIe siècle
Claude de Bullion, seigneur de Wideville, avait acquis, le , les terres de Saint-Germain de Morainville (aujourd'hui Saint-Germain-de-la-Grange), de Plaisir (Yvelines), de la Grange-du-Bois et de Thiverval[21].

Le , Pierre de Bellièvre vend à André Potier, chevalier, seigneur de Novion (Novigentum) et conseiller au Parlement, le marquisat de Grignon et la seigneurie de Saint-Germain-de-la-Grange[22].

XVIIIe siècle
En 1789, les Révolutionnaires ont voulu faire disparaître tout ce qui rappelait la dîme. De nombreux documents ont été détruits et le village changea plusieurs fois de nom. Le , Nicolas Hautdecoeur, laboureur né à Vicq en 1729, fut élu député à l’Assemblée Nationale comme représentant du tiers état. La paroisse est rattachée depuis 1802 à celle de Villiers-Saint-Frédéric. L'église Saint-Martin (Saint-Germain ?) était à l'emplacement de la croix sur la place Alphonse-Mainguet, à proximité de deux anciennes fermes au centre du village actuel, elle a été désaffectée après le Concordat et démolie après 1818. Elle figure sur le Cadastre napoléonien[23].

XIXe siècle
En 1814, la commune ne compte plus que 169 habitants à cause de la saignée des guerres napoléoniennes. Symboles de l’Ancien Régime en 1789, les terres rattachées à la cure furent confisquées et vendues comme biens nationaux. À la Restauration, la commune va devenir un autre symbole : celui de la Révolution. Plus rien ne sera alors fait pour elle[22].

XXe siècle
En 1906, il ne reste que 157 habitants. Le bâtiment de la mairie fut construit à cette époque pour créer l'école communale : une seule salle de classe pour les filles et les garçons. Après l'hémorragie de la guerre de 1914-1918, le village s'enfonça de plus en plus dans le "désert de l'Ile-de-France".
Jusqu'à 1960, cinq fermes existaient. Cinq familles différentes en étaient propriétaire. À l'école il n'y avait qu'une classe unique avec seulement 12 élèves, enfants d'agriculteurs, d'ouvriers agricoles et de cheminots .

En 1972, la commune, avec ses 562 habitants, ne compte plus que trois fermes.

XXIe siècle
Au début du XXIe siècle, deux fermes existent encore. Une seule est réellement exploitée. Les autres surfaces agricoles sont toujours exploitées par des agriculteurs n’habitant pas le village.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
18 février 1945 19 mai 1952 Alphonse Mainguet    
20 mai 1952 27 mars 1965 Jules Richard    
28 mars 1965 31 mai 1976 Jules Gohard    
25 juin 1976 19 mars 1977 Barnard Benoist    
20 mars 1977 21 octobre 1981 Elie Ferrier    
22 octobre 1981 3 mars 1983 Daniel Binet    
4 mars 1983 26 décembre 1983 Charles Goillot    
27 décembre 1983 10 octobre 1985 Jean Réau    
11 octobre 1985 24 juin 1995 Jean Maurice    
24 juin 1995 18 septembre 1998 Danielle Javanaud    
18 septembre 1998 En cours Bertrand Hauet[25]    
Pour les données antérieures, dérouler la boîte ci-dessous.

Politique environnementale

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Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2021, la commune comptait 1 841 habitants[Note 4], en évolution de −1,07 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
144187208192176168159172157
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
159175145138138147158155165
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
178157155136143156167170146
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2252898211 1871 4621 6221 7901 7951 837
2014 2019 2021 - - - - - -
1 8501 8501 841------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,0 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 940 hommes pour 919 femmes, soit un taux de 50,56 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,68 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,3 
7,7 
75-89 ans
5,5 
16,8 
60-74 ans
17,5 
25,0 
45-59 ans
26,7 
16,3 
30-44 ans
18,8 
14,4 
15-29 ans
11,5 
19,6 
0-14 ans
19,8 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2021 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,8 
20,7 
45-59 ans
20,1 
19,6 
30-44 ans
19,9 
18,5 
15-29 ans
16,8 
21,2 
0-14 ans
19,2 

Enseignement

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La commune possède[32] :

"La Germanoise" est une course pédestre ayant pour principal objectif le partage d’un moment convivial et sportif au cœur du village de Saint-Germain-de-la-Grange.

Activités festives

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Autrefois

  • Dans les années 1950 et 1960, pendant les vacances de Noël et tous les 14-Juillet il y avait la fête de l'école avec des spectacles créés par les élèves et leur maitresse d'école, avec remise de cadeaux et de friandises pour la fête de Noël, et la remise des prix suivi d'un banquet avec les habitants du village pour le 14-Juillet.
  • Le 11 novembre et le 8 mai il y avait le dépôt d'une couronne de fleurs aux monument aux morts par les enfants de la classe unique de l'école, leur maîtresse et les personnalités locales (les élus municipaux et le garde champêtre). La couronne était confectionnée avec une jante d'une roue de vélo cerclée de bouquets de fleurs cueillies par les habitants du village dans leurs jardins et dans les champs par les élèves. À cette époque la commune n'était pas riche mais tous les habitants était associés à toutes les fêtes et commémorations.

Aujourd'hui

  • La Fête du village a lieu au mois de juin.

Économie

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  • Commune rurale et sans commerces.
  • Deux zones d’activités : PAVY I et PAVY II où sont installées plus de dix PME.
  • La population en est majoritairement résidentielle.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Grange aux dîmes : bâtiment qui servait sous l'ancien régime à stocker les céréales collectées au titre de la dîme (sentier de la Grange-aux-Dîmes).
  • Croix, place Alphonse-Mainguet : cette croix marque l'emplacement de l'église paroissiale brûlée pendant la Révolution.
  • L'abreuvoir de Saint-Germain-de-la-Grange.

Galerie

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
Tranché au premier d'azur à trois colombes d'argent, au second de gueules à un chien passant d'or, une bande du même chargée de cinq coquilles de sable brochant sur la ligne de partition.
Détails

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Saint-Germain-de-la-Grange », p. 609

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. « Saint-Germain-de-la-Grange (78640) », sur DataFrance (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Germain-de-la-Grange et Maule », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Germain-de-la-Grange ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  14. Revue de l'histoire de Versailles et de la Seine-et-Oise -Toponymie du pays de cruye et du val de galie p. 40.
  15. Dans une charte de Philippe Auguste.
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Tome 3, page 1545.
  17. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  18. Grange dîmière : bâtiment qui servait sous l'ancien régime à stocker les céréales collectées au titre de la dîme (sentier de la Grange-aux-Dîmes)
  19. a et b Histoire de Saint Germain de la grange, situation historique, page 1.
  20. a b et c Histoire de Saint Germain de la grange, situation historique, page 2.
  21. Léon L. Risch, Lucien Brétignière, J. Guicherd -, Histoire du domaine de Grignon, Page 10.
  22. a et b Histoire de Saint Germain de la grange, situation historique, page 3.
  23. Archives départementales des Yvelines, plan cadastral n 3P 2/269, feuille 2.
  24. Liste des maires sur francegenweb.org
  25. Résultats des élections municipales de mars 2008 sur le site officiel de la préfecture des Yvelines.
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Germain-de-la-Grange (78550) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  32. « Site officiel de l'inspection académique des Yvelines »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  33. Félix Voulot sur data.bnf.fr