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Saint-Abraham

commune française du département du Morbihan

Saint-Abraham [sɛ̃tabʁaam] est une commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne. Elle fait partie de la communauté de communes De l'Oust à Brocéliande Communauté.

Saint-Abraham
Saint-Abraham
L'église Saint-Étienne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Vannes
Intercommunalité De l'Oust à Brocéliande Communauté
Maire
Mandat
Gaëlle Berthevas
2020-2026
Code postal 56140
Code commune 56202
Démographie
Population
municipale
529 hab. (2021 en évolution de −3,11 % par rapport à 2015)
Densité 79 hab./km2
Population
agglomération
16 453 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 51′ 24″ nord, 2° 24′ 31″ ouest
Altitude 60 m
Min. 15 m
Max. 87 m
Superficie 6,72 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Ploërmel
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moréac
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web saint-abraham.fr

Géographie

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Situation

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Carte de Saint-Abraham et des communes avoisinantes.


Relief et hydrographie

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 823 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Ploërmel à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 767,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Abraham est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ploërmel, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (94,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,7 %), zones agricoles hétérogènes (20,8 %), prairies (11,4 %), zones urbanisées (4,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,5 %), forêts (1,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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La paroisse est nommée pour la première fois dans un texte historique lors d'une montre en 1427 sous le nom de "Sainct Abraham", puis attestée sous sa forme bretonne Sanct Abran en 1433[13], en 1479 et en 1574 elle est aussi dénommée parfois Sainct Abram (en 1460 par exemple) ; la graphie "Saint-Abraham" ne s'est imposée qu'après la Révolution française[14].

Ce toponyme est sans doute la christianisation d'un anthroponyme plus ancien, probablement un chef religieux lors de l'immigration bretonne en Armorique[15].

Histoire

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Préhistoire et Antiquité

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Des débris d'un dolmen et deux tombelles ont été trouvées à proximité de la ferme du Coin-de-l'Or[16].

Une voie romaine, dite "chaussée d'Ahès", traverse le sud de la commune[16]. François-Marie Cayot-Délandre écrit qu'il a trouvé « aux abords du hameau du Coin-de-l'Or, d'assez nombreux fragments de briques et de cette poterie romaine couleur de cire d'Espagne ; des morceaux de cette dernière espèce, trouvés il y a quelques années et que je possède, sont ornés de dessins en relief très élégants. Il s'agit de céramique sigillée décorée d'un personnage et de feuillages stylisés ». L'abbé Joseph-Marie Le Mené écrit qu'il aurait été trouvé une urne d'époque romaine à un endroit indéterminé de la commune[17].

Moyen-Âge

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La paroisse de Saint-Abraham et sa trève Monterrein, sont probablement issues du démembrement de la paroisse de Ploërmel.

La terre et seigneurie du Crévi appartenait en 1330 à Jean de Derval ; elle fut vendue en 1554 par Anne, baronne de Mont(e)jean, veuve de Jean VII d'Acigné, qui la possédait alors. En 1593 , lors des Guerres de la Ligue, Crévi fut assiégé en vain par les capitaines de Lahideuc et de la Connelaye (des "Royaux" qui soutenaient Henri IV), qui contrôlaient alors Malestroit[16].

Temps modernes

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Carte de Cassini de la paroisse de Saint-Abraham et de ses environs (1789).

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Saint-Abraham en 1778 :

« Saint-Abraham ; sur une hauteur, à 20 lieues au Sud-Sud-Ouest de Saint-Malo, son évêché ; à 13 lieues & demie de Rennes ; et à 2 lieues de Ploërmel, sa subdélégation et son ressort. On y compte 400 communiants[Note 2]: la cure est à l'`alternative. Le territoire est bien cultivé ; il offre à la vue des monticules, des coteaux , et quelques landes de très peu d'étendue[16]. »

Révolution française

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La commune créée en 1791 (sans Monterrein qui devient une commune séparée] est rattachée en 1793 au canton de Caro avant de l'être au canton de Malestroit en 1803[18].

Le recteur de Saint-Abraham, J.B. Danion, refusa de prùeter le serment de fidélité à la Constitution civile du clergé et devint donc prêtre réfractaire ; il dut se cacher en 1792.

Le une troupe de 60 hommes est envoyée à Saint-Abraham pour y maintenir l'ordre, des troubles ayant éclaté dans la commune en raison de l'arrestation d'un autre prêtre, P. Michel. En 1798 un autre prêtre de la paroisse, Pierre Boury, est arrêté et emprisonné sur la frégate La Vaillante à Saint-Martin-de-Ré avant dêtre délivré par les Anglais et conduit à Plymouth.

Lors du Concordat la paroisse de Saint-Abraham est rattachée au diocèse de Vannes ; la paroisse est supprimée en 1808 et rétablie en 1820[19].

Le XIXe siècle

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Le , des troubles graves éclatèrent à Malestroit lors des élections pour le conseil d'arrondissement : les électeurs de 4 communes (Sérent, Lizio, Saint-Abraham, Saint-Guyomard) se disputèrent pour savoir quelle commune voterait la première : « les pierres que se jetaient les combattans atteignirent beaucoup de vitres et quelques habitans de Malestroit ; aussitôt la Garde nationale fut convoquée et, par un mouvement de frayeur fort regrettable, elle tira sur les paysans de ces communes. Deux furent atteints assez grièvement ; on pense que la blessure de l'un d'eux est mortelle. Nous avons demandé que l'on fit voter chaque commune au chef-lieu de la commune, et non au chef-lieu de canton »[20]. Dans un autre article paru quelques jours plus tard, le même journal précise que le commencement des troubles serait dû à des électeurs de Ruffiac qui auraient commencé dans l'après-midi à frapper des électeurs de Sérent qui commençaient à danser et qu'une trentaine de Sérentais auraient été blessés[21].

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Saint-Abraham en 1853 :

« Saint-Abraham : commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom ; aujourd'hui succursale. (..) Principaux villages : Cado, la Touche, le Gratz, Rochefort, la Boé, Pont-Rualin, Dolivet, Perné, Coin-de-l'Or. Superficie totale 667 hectares 13 ares, dont (..) terres labourables 284 ha, prés et pâturages 119 ha, bois 8 ha, vergers et jardins 12 ha, châtaigneraies 5 ha, landes et incultes 201 ha (..). Moulin de Gréalet, à vent. Le territoire de cette commune n'est pas très fertile. Cependant il a été encore empiré par un travail qui eût du l'améliorer, la canalisation de l'Oust. Les meilleures terres de Saint-Abraham sont inondées fréquemment, et les paysans, au lieu d'en faire de gras pâturages, persévèrent à les ensemencer en céréales qui poussent très mal. (..) Géologie : schiste argileux. On parle le français [en fait le gallo][16]. »

Le XXe siècle

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La Première Guerre mondiale

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Le monument aux morts de Saint-Abraham porte les noms de 24 soldats de la commune décédés durant la Première Guerre mondiale ; parmi eux Alexis Houeix est mort de maladie le en Grèce où il se trouvait dens le cadre de l'expédition de Salonique ; tous les autres sont morts sur le sol français, dont Mathurin Goudy, mort des suites de ses blessures le à Fosseux (Pas-de-Calais), décoré de la Médaille militaire et de la Croix de guerre et Pierre Brûlé, mort de maladie le , donc après l'armistice[22].

L'Entre-deux-guerres

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Le monument aux morts de Saint-Abraham a la forme d'un obélisque placé sur un socle placé sur un soubassement formé de 4 marches ; il est orné d'une palme et surmonté d'une croix latine; l'inscription "Aux enfants de Saint-Abraham 1914-1918" est placée sur l'obélisque. Deux plaques commémoratives portent les noms, l'une des morts de la Première Guerre mondiale, l'autre (ajoutée par la suite) des morts de la Deuxième Guerre mondiale. Finance partiellement par une souscription il est inauguré le [23]

La Seconde Guerre mondiale

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Le monument aux morts de Saint-Abraham porte les noms de 6 personnes mortes pour la France pendant la Deuxième Guerre mondiale ; parmi elles Pierre Couedic, Théophile Mesle, Dosithé Michel et Auguste Roger sont des soldats morts au printemps 1940 lors de la Campagne de France ; Mathurin Guilloux est un résistant FFI tué le lors de l'attaque du camp maquisard de Guerlogoden (en Kergrist) par les Allemands [24]; Ange Loget est mort en captivité en Allemagne le [22].

L'après Seconde Guerre mondiale

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Le XXIe siècle

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Michel Guégan; maire de La Chapelle-Caro, futà l'origine d'un projet de regroupement en 2013 qui concernait les trois communes de La Chapelle-Caro, Saint-Abraham et Le Roc-Saint-André (ces trois communes étaient déjà associées depuis 1999 dans le cadre d'un Sivu de l'école publique Pablo-Picasso, un regroupement pédagogique intercommunal), expliquant « qu'il n'y aurait plus besoin que d'un secrétaire de mairie au lieu de trois, et l'échelle des 2 500 habitants permettrait à la commune nouvelle de s'équiper d'un matériel d'une autre ampleur que celui utilisé par les trois petites entités ». Mais ce projet échoua en 2014 et c'est une commune nouvelle regroupant Le Roc-Saint-André, La Chapelle-Caro et Quily sous le nom de Val d'Oust qui a abouti[25].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2014 Daniel Moussard    
mars 2014
Réélue en 2020[26]
En cours Gaēlle Berthevas DVD  
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 529 habitants[Note 3], en évolution de −3,11 % par rapport à 2015 (Morbihan : +3,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
400346400429418412401420450
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
422404415388384378388385395
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
360380401392398414423402354
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
384401404415447456523542543
2018 2021 - - - - - - -
531529-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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  • École publique Pablo Picasso (située à La Chapelle-Caro, mais dans le cadre d'un RPI regroupant Saint-Abraham, La Chapelle-Caro et Le Roc-Saint-André géré par un SIVU désormais dénommé "Syndicat intercommunal à vocation unique pour l'école publique de Val d'Oust - Saint-Abraham".
  • École privée Notre-Dame-de-Lourdes, située à Saint-Abraham (regroupement pédagogique avec l'école privée Sainte-Thérèse de La Chapelle-Caro) ; 87 élèves en 2022.

Culture et patrimoine

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Lieux et monuments

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La commune compte un monument historique :

  • L'ancienne fontaine Sainte-Anne (restaurée en 1943 et en 1998).

Héraldique

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Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Personnes en âge de communier
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Abraham et Ploërmel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Ploërmel » (commune de Ploërmel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Ploërmel » (commune de Ploërmel) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Abraham ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Ploërmel », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Dans les archives du château de Kerfily en Elven.
  14. « Commune de Saint-Abraham », sur saint-abraham.fr (consulté le ).
  15. « Étymologie et histoire de Saint-Abraham », sur infobretagne.com (consulté le ).
  16. a b c d et e A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 2, Rennes, Deniel, (lire en ligne), p. 694.
  17. Joseph-Marie Le Mené, Histoire archéologique, féodale et religieuse des paroisses du diocèse de Vannes, Vannes, Imp. de Galles, .
  18. « Saint-Abraham », sur cassini.ehess.fr/fr (consulté le ).
  19. Joseph-Marie Le Méné, Histoire archéologique, féodale et religieuse des paroisses du diocèse de Vannes, Vannes, Imp. de Galles, et « Étymologie et histoire de Saint-Abraham », sur infobretagne.com (consulté le ).
  20. « On lit dans le journal La Concorde du Morbihan du 30 août », Journal des débats politiques et littéraires,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « On lit dans La Concorde du Morbihan du 2 septembre », Journal des débats politiques et littéraires,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. a et b « Saint-Abraham. Monument aux Morts (Relevé n° 47004) », sur memorialgenweb.org, (consulté le ).
  23. « Saint-Abraham 56140 (Morbihan) » (consulté le ).
  24. « GUILLOUX Mathurin, Marie », sur maitron.fr, (consulté le ).
  25. Olivier Cléro, « Une fusion de La Chapelle-Caro, Saint-Abraham et Le Roc ? », 0uest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Saint-Abraham. Gaëlle Berthevas réélue maire », sur Les Infos du pays gallo, (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Notice no PA00091652, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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