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Place du Puits-de-l'Ermite

place de Paris, en France

La place du Puits-de-l'Ermite est une voie du 5e arrondissement de Paris.

5e arrt
Place du Puits-de-l'Ermite
Voir la photo.
Place vue depuis la rue Larrey.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement 5e
Quartier Jardin-des-Plantes
Début 1, rue de Quatrefages et 9, rue Georges-Desplas
Fin 10, rue Larrey
Morphologie
Longueur 50 m
Largeur 28 m
Historique
Dénomination
Ancien nom Place Sainte-Pélagie
Géocodification
Ville de Paris 7873
DGI 7886
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Place du Puits-de-l'Ermite
Géolocalisation sur la carte : 5e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 5e arrondissement de Paris)
Place du Puits-de-l'Ermite
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Situation et accès

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La rue du Puits-de-l'Ermite est constituée de l'expansion à ce niveau de la rue du Puits-de-l'Ermite dans le quartier du Jardin-des-Plantes. Autrefois « place Sainte-Pélagie », elle était célèbre pour donner accès à la prison de Sainte-Pélagie.

Elle est desservie par la ligne 7 à la station Place Monge.

Origine du nom

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Le nom lui vient en raison du tanneur Adam l'Hermite qui y vivait et du voisinage d'un puits public[1].

Historique

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Cette place de Paris porta anciennement le nom de « place Sainte-Pélagie[1] ». Elle devait son nom à une maison située à l'angle de la place, avec la rue de la Clef, tenue par une communauté religieuse fondée en 1665 et abritant les femmes considérées comme « débauchées » [précision nécessaire] au sein d'un refuge et de bâtiments nommés « Sainte Pélagie » pour celles dont le comportement s'était « amélioré » (Pélagie étant une comédienne repentie vivant à Antioche au Ve siècle)[2].

Cette maison est fermée en 1790 et les bâtiments transformés en prison à vocation politique, la prison Sainte-Pélagie, où séjournèrent de nombreuses personnalités[2]. La prison est fermée en 1895 et détruite en 1899[3].

À la place furent construits dans les années 1930 des immeubles sociaux par la Société amicale de prévoyance de la préfecture de police de Paris.

Depuis quelques années, son centre accueille un square tout d'abord homonyme puis qui a pris le nom de Robert Montagne, un islamologue français.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

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Notes et références

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