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Nozières (Cher)

commune française du département du Cher

Nozières est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.

Nozières
Nozières (Cher)
Église Saint-Paxent.
Blason de Nozières
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Saint-Amand-Montrond
Intercommunalité Communauté de communes du Cœur de France
Maire
Mandat
Franck Daumin
2020-2026
Code postal 18200
Code commune 18169
Démographie
Population
municipale
227 hab. (2021 en évolution de +4,13 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 43′ 55″ nord, 2° 26′ 06″ est
Altitude Min. 144 m
Max. 224 m
Superficie 10,35 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Amand-Montrond
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Amand-Montrond
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Nozières
Géolocalisation sur la carte : France
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Nozières
Géolocalisation sur la carte : Cher
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Nozières
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Nozières

Géographie

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Proche du centre de la France, situé sur une colline, le bourg de Nozières bénéficie d'une vue plongeante sur la vallée du Cher. Depuis le belvédère, vous pouvez admirer la forêt de Meillant, l'abbaye de Noirlac, et par temps clair, les contreforts du Massif central. Le relief, assez mouvementé, forme une zone de transition entre le Bassin parisien et le Massif central. Deux ruisseaux coulent à Nozières, la Vilaine et la Baume, qui se rejoignent pour se jeter dans le Cher.

Localisation

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  Farges-Allichamps Bruère-Allichamps  
Vallenay N
O    Nozières    E
S
Orcenais Orval

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 772 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Orval à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 757,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records ORVAL (18) - alt. : 165 m, lat : 46°43'18"N, lon : 2°28'59"E
Records établis sur la période du 01-09-1990 au 31-12-2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,1 0,8 2,8 4,9 8,7 12,3 14 13,7 10,2 7,8 3,9 1,6 6,8
Température moyenne (°C) 4,7 5,3 8,4 11,1 15 18,7 20,7 20,5 16,6 13 8,1 5,1 12,3
Température maximale moyenne (°C) 8,2 9,7 14 17,3 21,2 25 27,5 27,3 23 18,1 12,2 8,6 17,7
Record de froid (°C)
date du record
−12,7
26.01.07
−13,6
09.02.12
−12,2
01.03.05
−4,3
11.04.03
−1,1
08.05.1997
3,9
04.06.01
6
17.07.00
3,5
30.08.1993
1,2
20.09.12
−7,6
30.10.1997
−9,6
21.11.1993
−12,5
16.12.01
−13,6
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
20,2
05.01.1999
24,7
27.02.19
26,7
16.03.12
30,7
30.04.05
34
27.05.05
41,8
29.06.19
42,3
24.07.19
41,6
06.08.03
37
14.09.20
30,3
12.10.18
26,3
07.11.15
19
17.12.15
42,3
2019
Précipitations (mm) 59,9 48,6 50,1 66 77,8 61,8 62,1 55,1 67 69,3 70,4 69 757,1
Source : « Fiche 18172001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme

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Typologie

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Au , Nozières est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Amand-Montrond, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 36 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,3 %), forêts (24,2 %), terres arables (17,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4 %), zones urbanisées (2,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,6 %)[11].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Nozières est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Cher et la Vilaine. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[14],[12].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Nozières.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[15]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 121 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 121 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2009, 2016 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[12].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[17].

La commune est en outre située en aval du barrage de Rochebut, de classe A[Note 2] et faisant l'objet d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[19].

Histoire

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Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1995 avril 2011 Jean-Baptiste Baudon DVD  
avril 2011 mai 2020 Jacqueline Mallard[20]   Retraitée
mai 2020 En cours Franck Daumin[20],[21]   Employé civil ou agent de service de la fonction publique
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].

En 2021, la commune comptait 227 habitants[Note 3], en évolution de +4,13 % par rapport à 2015 (Cher : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
243224255241231244242227256
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
258256313294295314327291283
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
271275268220214222233188191
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
198189151154228231229229217
2021 - - - - - - - -
227--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Paxent avec la nef du XIe siècle, le tour du XIIe siècle et le chœur du XIIIe siècle. Nozières n’est plus paroisse, mais l’église existe encore. La modeste nef couverte d’un berceau de bois est celle de l’édifice primitif, au dehors, on voit encore une fenêtre très archaïque dont l'arc en plein cintre renferme des claveaux de brique intercalés, qui peuvent indiquer une origine fort ancienne, remontant peut-être au XIe siècle. Le mur sépare la nef du chœur. Le chœur est une œuvre du XIIIe siècle, conçue avec beaucoup d’élégance. Il est surmonté d’une voûte d’ogives toriques. Les chapiteaux sont garnis de crochets et les astragales ont un profil en amande. À la suite vient le chevet, pareillement voûté, et éclairé de longues et étroites fenêtres brisées. À l'extérieur, le portail en plein cintre a été refait, son archivolte ornée de billettes est ancienne, une croix antéfixe de pierre domine le pignon. Le clocher latéral sud, couvert d’ardoises, est moderne. Dans le beffroi, une cloche remonterait, dit-on, au XIVe siècle avec une inscription gothique. L’église est inscrite sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques : arrêté du [26].
  • Le manoir, situé près de l’église et datant probablement du XVe siècle, est agréablement restauré. Jadis, il servit d’école et de mairie.
  • Le lavoir. C’est un lavoir traditionnel qui a été couvert en 1925.
  • Le château de la Férolle
  • L'enclos Scoopy's, l'ancienne discothèque le Scoopy's a été racheté par la mairie pour en faire une salle polyvalente.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
Parti: au 1) de gueules à un arbre d'or, au 2) d'argent à la fasce ondée d'azur, à un clou de la Passion d'or brochant[27].
Détails
Création J-F Binon; Utilisation : Bulletin municipal 2022.

Voir aussi

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Article connexe

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[18].
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Nozières et Orval », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Orval » (commune d'Orval) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Orval » (commune d'Orval) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  8. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Amand-Montrond », sur insee.fr (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Nozières », sur Géorisques (consulté le ).
  13. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  14. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  15. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  18. Article R214-112 du code de l’environnement
  19. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  20. a et b « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  21. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. « Église Saint-Paxent », notice no PA00096861, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. Armorial de France, p. 20581.