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Lycée Laure-Gatet

lycée public français de Périgueux

Le lycée Laure-Gatet est un lycée général et technologique français situé à Périgueux, dans le département de la Dordogne.

Lycée Laure-Gatet
Description de l'image Lycée Laure Gatet-logo.png.
Description de cette image, également commentée ci-après
Le lycée Laure-Gatet en janvier 2012.
Identité
Devise « Apprendre pour connaître, connaître pour comprendre, comprendre pour choisir. »
Couleurs Orange et vert
Histoire et statut
Fondation
Type Établissement public local d'enseignement
Administration
Composante Nouvelle-Aquitaine
Académie Bordeaux
Proviseur Jean-Guillaume Desmoulin (d)
Études
Population scolaire 919 (2014)
Enseignants 120 (2013)
Niveaux délivrés Lycée
Options Théâtre, portugais, mandarin, italien, grec ancien, latin, football, option sport (step puis badminton), escrime, arts martiaux, poésie, arts plastiques
Langue(s) des cours français, anglais, espagnol, allemand, portugais, mandarin, italien, grec ancien, latin
Localisation
Ville Périgueux
Pays Drapeau de la France France
Site web www.lauregatet.fr
Coordonnées 45° 11′ 23″ nord, 0° 43′ 25″ est
Géolocalisation sur la carte : Périgueux
(Voir situation sur carte : Périgueux)
Lycée Laure-Gatet
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Lycée Laure-Gatet

Situé dans le centre-ville, l'établissement est créé le . Un projet de restructuration a commencé en 2009, mais, à la suite de retards dans les travaux, il ne reprend qu'en 2014. Le taux de réussite du lycée au baccalauréat est de 86 % en 2015. Disposant du label « Lycée des métiers », Laure-Gatet dispense de nombreuses formations générales et technologiques, mais aussi des brevets de technicien supérieur (BTS).

Situation académique

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Le lycée Laure-Gatet est situé à Périgueux, dans la circonscription scolaire du même nom[D 1]. Il fait partie des seize lycées du département de la Dordogne, parmi les dix publics[1].

Laure-Gatet est un lycée général et technologique. L'établissement est labellisé « Lycée des métiers », une récompense décernée par le ministère de l'Éducation nationale[2]. L'établissement est immatriculé sous le no 0240025X et porte le numéro SIRET 192 400 257 00015[D 2].

Le lycée entretient un partenariat avec l'institut d'études politiques de Bordeaux depuis 2006, par lequel les enseignants du lycée entraînent des candidats volontaires au concours d'entrée[3].

Historique

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L'enseignement secondaire féminin et le collège

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Le collège de jeunes filles dans les années 1930.

En 1867, Victor Duruy, le ministre de l'Instruction publique, crée à Périgueux l'enseignement secondaire féminin, qui débute en janvier de l'année suivante mais s'arrête peu de temps après[G 1].

En 1879, des cours d'enseignement secondaire pour les jeunes filles de Périgueux sont assurés par une association de professeurs du lycée de garçons, dans des locaux qui changent de lieu en 1883, 1885 puis 1892 au 11 rue Ernest-Guillier[G 1]. En 1901, le conseil général de la Dordogne demande que ces leçons soient officiellement dispensées dans un établissement spécifique. En 1904 débutent les premiers débats, qui conduisent le à l'accord conventionnel entre la ville et le ministère de l'Instruction publique et des Beaux-Arts, à savoir la création du collège municipal de jeunes filles de Périgueux dans les locaux existants de la rue Ernest-Guillier, ceux-ci devant ensuite intégrer le domaine de Bellussières, sur la route de Paris (devenue avenue de Paris dès [G 2], puis avenue Georges-Pompidou en [G 3]), comme l'a acté la municipalité lors de ses délibérations en , puis [G 1]. Le terrain et les bâtiments sont achetés en deux lots en et le nouveau collège est mis en service, avec ouverture d'un pensionnat, à la rentrée des vacances scolaires de Pâques 1908[G 4],[C 1], date à laquelle le personnel est en grande partie féminin[C 2]. Aux classes traditionnelles du collège s'ajoute en 1912 la préparation aux baccalauréats, les deux premières bachelières étant reçues dès 1913 en « Latin-Langues »[G 4].

Quand France-Aimée Galandy prend ses fonctions de directrice en 1921, elle constate que l'école est délabrée ; mais la mairie de Périgueux attendra quelques années avant de la rénover. En 1925, le collège compte 85 pensionnaires et 201 externes[C 3]. En 1929 y est créée une coopérative scolaire[G 4]. À la fin de l'année 1929 se produit un sérieux incendie, qui obligera à d'importants travaux de 1931 à 1933, selon les plans de l'architecte Paul Cocula, incluant l'extension d'une aile, devenue nécessaire dans l'optique d'un futur lycée[G 4]. Faute d'argent suffisant, la deuxième tranche de travaux est alors reportée[G 4].

Le collège devient lycée

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Plaque commémorative de Laure Gatet, située dans le lycée du même nom.

Le , l'établissement devient le lycée de jeunes filles de Périgueux[G 4].

Pendant la Seconde Guerre mondiale, des patronages sont organisés dans l'enceinte du collège de jeunes filles[4].

De à , le lycée est rénové et agrandi d'après les plans d'un nouvel architecte, M. Legendre, notamment par extension de l'aile édifiée en 1933. Cette opération permet l'ajout de salles de conférences, d'études, de gymnastique et de musique, ainsi que de dortoirs[G 4]. Faute de crédits suffisants, les travaux ne peuvent reprendre qu'en [G 4].

Le , le conseil municipal de Périgueux veut nommer l'établissement « lycée Joseph-Joubert », du nom d'un philosophe périgordin[G 4]. Jusqu'en 1966 se succèdent alors des affrontements avec les parents d'élèves et l'Amicale des anciens élèves qui veulent l'appeler « lycée Laure-Gatet », en hommage à la résistante éponyme qui fit ses études dans l'établissement de 1928 à 1931 et dont une plaque, située dans le hall, évoque la mémoire depuis [G 4]. L'inspecteur d'académie soumet, pour essayer une entente, de donner le nom de Joseph Joubert au lycée et celui de Laure Gatet à une salle de classe. Le conseil d'administration s'y oppose fortement et décide le que l'établissement portera le nom de Laure Gatet[G 4]. Le de la même année, Lucien Barrière, le maire de Périgueux, prend acte à contre-cœur et le conseil municipal finit par adopter ce choix. Ainsi, par arrêté préfectoral du , le lycée de jeunes filles de Périgueux est officiellement dénommé « lycée Laure-Gatet »[C 4],[C 5],[G 4].

En est installée une statue, « La matière et l'esprit », dans le parc du lycée[G 4]. Au début des années 1980, le lycée compte le plus grand nombre d'employés parmi les lycées du département, avec 234 personnes[5].

En 1982, Xavier Darcos, enseignant au lycée lycée Laure-Gatet, siège parallèlement à la commission académique qui choisissait les sujets des examens du baccalauréat. Quelques jours avant l'épreuve, il soumet à ses élèves un sujet voisin de l'un des sujets proposés aux candidats. L’examen fut alors annulé pour l'ensemble des candidats de la ville[6]. L'enseignant fut également inculpé et cité à comparaître le 30 mai 1983 devant le tribunal de grande instance de Périgueux. Xavier Darcos fut relaxé, le tribunal estimant que le choix de ce sujet n'était pas certain[7].

Depuis les années 2000

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Le , les lycéens de Laure-Gatet bloquent l'entrée de l'établissement scolaire afin de s'opposer à la réforme des retraites de 2010, après l'avoir décidé quatre jours auparavant au parc Gamenson de Périgueux[8].

Du au , une exposition sur l'histoire et la vie de la résistante Laure Gatet a lieu dans l'enceinte du lycée, à l'occasion du centenaire de sa naissance[C 6],[9], en partenariat avec la bibliothèque municipale de Périgueux[10]. La famille de Laure Gatet, le maire Michel Moyrand, le président du conseil régional Alain Rousset, la députée Colette Langlade et le recteur de l'académie Jean-Louis Nembrini, inaugurent officiellement l'exposition le vendredi [11],[12],[13].

Idéalement situé dans le prolongement de la ligne d'arrivée, le lycée accueille dans son gymnase le toute la presse et les équipes techniques de la 20e étape du Tour de France 2014 (contre-la-montre individuel Bergerac-Périgueux)[14],[15],[16].

Architecture du lycée

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Plan de la cité scolaire Laure-Gatet.

Selon l'académicien Jean-Louis Galet, le lycée Laure-Gatet « constitue un modèle du genre » architectural contemporain dans les années 1970[17].

Le lycée possède un internat[2]. Depuis 2009 se succèdent de grandes périodes de travaux dans le cadre d'un programme pluriannuel d'investissements (PPI)[18], géré par le chef du service des travaux dans les lycées de l'Aquitaine, François Jolly[19]. Ce programme comprend la création d'un centre de documentation et d'information (CDI), mesurant 450 m2 et comptant des salles annexes et trente-trois ordinateurs[N 1], ainsi que d'un foyer pour accueillir les élèves pendant leurs heures de pause. Chaque étage du « bâtiment A » rénové a, depuis cette date, une couleur qui lui est associée. Le rez-de-chaussée est dédié aux classes de BTS, le premier étage à toutes les classes du lycée, et les deux derniers niveaux aux cours de sciences ainsi qu'aux laboratoires. Le matériel des salles de sciences (volets roulants, tableaux blancs interactifs, ordinateurs et microscopes optiques entre autres) est renouvelé pendant les vacances scolaires de février- ; le coût s'élève à 220 000 euros pour la région Aquitaine. De plus, les salles sont mieux éclairées et sont insonorisées. L'entrée est quant à elle complètement reconstruite, débouchant du lycée sur un parvis créé en même temps et possédé par la mairie de Périgueux. Ce dernier est sécurisé et délimité par des barrières. Le coût total de cette restructuration du lycée est de 9 600 000 euros[20],[21]. Selon Sud Ouest, 13 300 000 euros ont été utilisés pour toutes les rénovations de l'établissement, depuis les premiers chantiers débutés en 1998[22] et menés par l'architecte Paul Segura[23].

La dernière phase de restructuration a débuté en 2015. Le bâtiment B' — le plus ancien des trois bâtiments structurant le lycée[24] — est démoli en pour permettre la construction d'un pont à passerelles multiples entre les bâtiments B et C[25]. Ces deux bâtiments ont eux-mêmes fait l'objet d'une rénovation. La conception et le suivi des travaux sont l'œuvre de l'architecte Patricia Maitre. Le chantier est terminé en [26]. Le coût global des travaux s'élève à 6,7 millions d'euros, entièrement financés par la région[26].

Effectifs

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En 2014, le lycée compte au total 919 élèves[27] et 120 enseignants (chiffre de 2013)[24].

Effectifs par niveau de classe en 2015[28]
Niveau et section Nombre de classes Nombre d'élèves
2de GT 9 280
1re ES 2 52
1re L 2 64
1re S 3 82
1re STMG 1 33
Tle ES 2 58
Tle L 2 57
Tle S 3 81
Tle STMG 2 70
BTS CGO 2 65
BTS NRC 2 61
BTS Assistant de gestion PME-PMI 2 65
Légende
GT : Général et technologique ; ES : Économique et social ; L : Littéraire ; S : Scientifique ; STMG : Sciences et technologies du management et de la gestion ; BTS : Brevet de technicien supérieur ; CGO : Comptabilité et gestion des organisations ; NRC : Négociations et relations clients

Formations

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Laure-Gatet prépare aux baccalauréats généraux et aux baccalauréats technologiques habituels[2]. La classe de seconde comprend des enseignements d'exploration, au choix : littérature et société (LS), création et activités artistiques (CAA), méthodes et pratiques scientifiques (MPS), principes fondamentaux de l'économie et de la gestion (PFEG), sciences économiques et sociales (SES) et sciences et laboratoire (SL)[29]. Le lycée est l'une des dix-huit sections européennes d'allemand de l'académie de Bordeaux. En 2007, sept élèves de classes de seconde et de première participent au programme franco-allemand « Brigitte Sauzay »[30].

Diplôme préparé Intitulé de la formation
Baccalauréat général Littérature
Baccalauréat général Économique et social
Baccalauréat général Scientifique
Baccalauréat technologique Sciences et technologies du management et de la gestion

Le lycée a trois sections de brevet de technicien supérieur (BTS)[31],[32],[33] :

Diplôme préparé Intitulé de la formation
Brevet de technicien supérieur Comptabilité et gestion des organisations
Brevet de technicien supérieur Négociation et relation clients
Brevet de technicien supérieur Assistant de gestion PME–PMI

Administration

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De Pâques 1908 à fin , l'établissement est d'abord géré par Mlle Aillien[C 3]. Début [N 2], la nouvelle directrice est Mlle France-Aimée Gallandy qui devient proviseure au , date à laquelle le collège devient un lycée. Elle y reste jusqu'en [C 2],[C 7],[G 4]. Les proviseurs suivants sont Mme Lesourd d' à [G 4], Mlle Catherine André d' à [C 8],[G 4], Mme Bjonson-Langen d' à [G 4], Mme Meteraud d' à [G 4], Mme Martin de à [G 4], Mme Manceau de à [G 4] et Mme Belleudy de à [G 4]. À cette date, elle est remplacée par le premier proviseur masculin, M. Lacoste, qui reste jusqu'en [G 4]. Lui succède alors M. Ferron jusqu'en , date à laquelle il est remplacé par M. Constant[G 4].

Les proviseurs qui se sont succédé depuis 2008 sont : M. Bertrand Cagniart de à [34], puis Mme Chantal Dauriac à partir de [24],[D 2].

Début 2015, la proviseure, Mme Dauriac, est secondée par Mme Mouret au poste de proviseure-adjointe, de Mme Vételet en tant qu'agent comptable, et de Mme Meyre en tant que gestionnaire[D 2]. De à août 2021, Marie-Anne Sénéjoux est la proviseure de la cité scolaire. Jean-Guillaume Desmoulin (d) lui succède en 2021.

Classement et résultats

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En 2014, L'Internaute publie le taux de réussite du lycée Laure-Gatet pour l'édition 2013 des épreuves du baccalauréat : il s'élève à 85 %[35], pour une moyenne nationale de 90,1 %[36]. Le Figaro classe le lycée Laure-Gatet comme 3e lycée de Périgueux, dernier lycée du département sur 9 notés, 63e sur 68 au niveau académique et 1469e sur 1555 au classement national[37]. En 2022, le taux de réussite au baccalauréat est de 93 %[38]

Taux de réussite au bac, selon L'Internaute[35],[39]
Année % de réussite
2003 82
2004 78
2005 85
2006 82
2007 86
2008 92
2009 84
2010 86
2011 88
2012 82
2013 85
2014 89
2015 86
2016 87
2017 90
2018 93
2020[40] 96
2021
2022[41] 94
2023[38] 93
Série L[39],[35] Série ES[35],[39] Série S[35],[39] Série STMG[35],[39]
Année % de réussite Année % de réussite Année % de réussite Année % de réussite
2007 88 2007 93 2007 90 NC NC
2008 89 2008 91 2008 96 2008 90
2009 86 2009 89 2009 96 2009 78
2010 87 2010 81 2010 92 2010 81
2011 98 2011 91 2011 87 2011 80
2012 82 2012 94 2012 73 2012 83
2013 92 2013 91 2013 84 2013 75
2014 85 2014 92 2014 92 2014 87
2015 88 2015 93 2015 92 2015 69
2016 89 2016 91 2016 81 2016 87
2017 92 2017 83 2017 91 2017 94
2018 87 2018 96,6 2018 95,9 2018 89,8

Options

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Il existe au lycée Laure-Gatet une option facultative théâtre ; les élèves de seconde ayant choisi cette option — ils sont dix-sept en 2012 — participent chaque année aux Didascalies[N 3],[42].

Les langues étudiées au lycée Laure-Gatet, en plus du français, sont l'anglais, l'espagnol, l'allemand, le portugais[N 4], le mandarin[N 5] et l'italien[27],[43], auxquelles s'ajoutent les deux langues mortes souvent étudiées en France que sont le grec ancien et le latin[44].

En , le lycée Laure-Gatet et le Trélissac Football Club ont signé une convention créant une classe à horaires aménagés football, proposée aux élèves dès la seconde dans le but de « continuer la formation après le collège ». Pour la première promotion à la rentrée scolaire de 2011, « vingt-trois étaient candidats et seize ont été sélectionnés »[45],[46]. L'action est financée par le club de football[47].

Il existe aussi une section sportive facultative (step puis badminton)[44], une autre d'escrime[2], des ateliers d'arts martiaux[48], de poésie[49] et d'arts plastiques[44].

Culture

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Le lycée Laure-Gatet compte une Maison des lycéens[50].

Le lycée est en 2010 l'un des lieux de tournage du film Désordres réalisé par Étienne Faure, et sorti en 2013[51],[52].

Vingt élèves du lycée et deux professeurs accompagnateurs participent tous les deux ans à un échange avec South Burlington High School (État du Vermont aux États-Unis), et visitent la ville de New York lors de leur voyage[53]. De même, les correspondants américains visitent Paris[54]. Le est créée l'association « South Burlington – Vermont – Périgueux », afin de favoriser et d'assurer le prolongement des échanges entre les deux établissements[55].

Personnalités liées au lycée

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Notes et références

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  1. Avant la rénovation, il y avait seulement sept ordinateurs. Cf. Julie Martinez, « Une rentrée high tech au lycée Laure-Gatet de Périgueux », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  2. France-Aimée Galandy dite « mademoiselle Galandy » (1882-1974) est nommée à la direction du collège de jeunes filles de Périgueux par arrêté du 20 juillet 1921 (Charbonnel et Golfier 2013, p. 14).
  3. Les Didascalies est un événement culturel annuel durant une semaine. Il regroupe des centaines de lycéens (300 en 2013) venant de toute la région Aquitaine mais aussi de la Corse. Chaque lycée présente sa pièce de théâtre aux autres étudiants. Cf. Marie-Sylvie Prudhomme, « Les Didascalies, 23ème édition du Festival lycéen » [audio], sur France Bleu, (consulté le ).
  4. Les cours de portugais débutent au lycée Laure-Gatet en 1975. Cf. Alain Bernard, « Les cours de portugais en sursis à Laure-Gatet », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  5. Les cours de mandarin débutent au lycée Laure-Gatet en 2011. Cf. Alain Bernard, « Le chinois au tableau », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).

Références

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Références bibliographiques

modifier
  1. p. 13.
  2. a et b p. 14.
  3. a et b p. 15.
  4. p. 4.
  5. p. 59.
  6. p. 2.
  7. p. 58.
  8. p. 19.
  • Olivier Dugrip (dir.) (ill. Olivier Sauvaitre), Répertoire des établissements publics du second degré 2013/2014, Bordeaux, Académie de Bordeaux, , 126 p.
  1. p. 1.
  2. a b et c p. 9.
  1. a b et c p. 195.
  2. p. 380.
  3. p. 236.
  4. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v et w p. 289-290.

Autres références

modifier
  1. Jean-Louis Poirier et Jean-François Cuisinier, Évaluation de l'enseignement dans l'académie de Bordeaux, Bordeaux, Académie de Bordeaux, , 134 p. (lire en ligne [[PDF]]), p. 43.
  2. a b c et d « Lycée Laure Gatet », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  3. « Partenariat avec Sciences PO – IEP de Bordeaux », sur lauregatet.fr (consulté le ).
  4. Anne-Marie Siméon, Histoire sociale de La Dordogne : Un acteur, la Caisse d'allocations familiales, 1924–1996, Périgueux, Fanlac, , 284 p. (ISBN 2-86577-187-3).
  5. Michel Genty, Villes et bourgs du Périgord et du pays de Brive : le fait urbain dans des espaces de la France des faibles densités, vol. 1, Presses Universitaires de Bordeaux, , 1173 p. (ISBN 2-86781-008-6, lire en ligne), p. 197.
  6. « Xavier Darcos, inculpé puis relaxé dans une affaire de fraude au bac en 1982 », sur ActuaLitté.com (consulté le )
  7. « Xavier Darcos inculpé de fraude au bac... en 1982, puis relaxé », sur www.20minutes.fr, (consulté le )
  8. « Les lycéens restent toujours mobilisés à Périgueux », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  9. « Laure Gatet retrouvée », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  10. « Papiers Laure Gatet », sur Archives départementales de la Dordogne (consulté le ).
  11. Marie Gasc, « La famille de Laure Gatet réunie au lycée », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  12. « Les lycéens de Périgueux sur les traces de Laure Gatet », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  13. « Vernissage de l'exposition « Laure Gatet : une intellectuelle en Résistance » », sur le site de l'académie de Bordeaux (consulté le ).
  14. « Périgueux fête le Tour de France », À Périgueux, no 1,‎ , p. 24-25.
  15. Hervé Chassain, « Le tracé du Tour de France à travers Périgueux précisé », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  16. Hervé Chassain, « Périgueux : comment va se passer l’arrivée du Tour de France », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  17. Jean-Louis Galet, Connaissance de Périgueux, P. Fanlac, , 71 p., p. 55.
  18. Alain Bernard, « À Laure-Gatet, la rentrée est encore en chantier », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  19. Nancy Ladde, « Des malfaçons au nouveau bâtiment de Laure-Gatet », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  20. Julie Martinez, « Une rentrée high tech au lycée Laure-Gatet de Périgueux », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  21. Grégoire Morizet, « Le "lifting" des lycées », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  22. Alain Bernard, « Le lycée Laure-Gatet vit un chantier au long cours », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  23. « Alain Rousset en visite au lycée Laure-Gatet », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  24. a b et c Hervé Chassain, « Elle doit gérer 1 500 élèves à la cité scolaire », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  25. Nancy Ladde, « D'autres chantiers dans les lycées », Sud Ouest édition Périgueux, 20 janvier 2015, p. 14.
  26. a et b Anne-Marie Siméon, « Laure-Gatet a fait peau neuve », Sud Ouest édition Périgueux, 9 octobre 2017, p. 19.
  27. a et b « Lycée général et technologique Laure Gatet », sur L'Étudiant, (consulté le ).
  28. « PRESENTATION GENERALE », sur webetab.ac-bordeaux.fr (consulté le )
  29. « Enseignements d'exploration en seconde », sur lauregatet.fr (consulté le ).
  30. « Apprendre l'Allemand dans l'académie de Bordeaux » [PDF], sur le site de l'académie de Bordeaux, (consulté le ), p. 4-6.
  31. « BTS CGO », sur lauregatet.fr (consulté le ).
  32. « BTS PME-PMI », sur lauregatet.fr (consulté le ).
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  34. « Bertrand Cagniart », sur Viadeo (consulté le ).
  35. a b c d e et f « Classement du Lycée Laure-Gatet à Périgueux », sur L'Internaute, (consulté le ).
  36. Pierre Falga, « Palmarès des lycées 2014 : la revanche des petits bahuts spécialisés », L'Express,‎ (lire en ligne).
  37. « Classement Lycée Laure Gatet Périgueux Académie Bordeaux », sur Le Figaro, (consulté le ).
  38. a et b « Réussite et efficacité des lycées de Dordogne en 2023 », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 15.
  39. a b c d et e « Promotion 2017: félicitations à nos Terminales »
  40. Clément Bouynet, « Réussite et efficacité de Dordogne en 2020 », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 11.
  41. Marie Maison, « Un établissement sur deux « peut mieux faire » », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 16.
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Annexes

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Bibliographie

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  • Daniel Charbonnel (dir.) et Michel Golfier (préf. Anne-Marie Cocula-Vaillières), Laure Gatet : une intellectuelle en Résistance, Périgueux, SPP Numérique et Cité scolaire Laure-Gatet, , 64 p. (ISBN 978-2-7466-5789-2)  
  • Olivier Dugrip (dir.) (ill. Olivier Sauvaitre), Répertoire des établissements publics du second degré 2013/2014, Bordeaux, Académie de Bordeaux, , 126 p.  
  • Guy Penaud, Le grand livre de Périgueux, Périgueux, Éditions de la Lauze, , 601 p. (ISBN 2-912032-50-4)  

Liens externes

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