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Langrune-sur-Mer

commune française du département du Calvados

Langrune-sur-Mer (Langrune jusqu'en 1957) est une commune française située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 1 912 habitants[Note 1].

Langrune-sur-Mer
Langrune-sur-Mer
L'église paroissiale et le cimetière.
Blason de Langrune-sur-Mer
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Caen
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Nacre
Maire
Mandat
Jean-Luc Guingouain
2020-2026
Code postal 14830
Code commune 14354
Démographie
Gentilé Langrunais
Population
municipale
1 912 hab. (2021 en évolution de +11,88 % par rapport à 2015)
Densité 403 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 19′ 23″ nord, 0° 22′ 18″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 34 m
Superficie 4,74 km2
Type Petite ville
Unité urbaine Luc-sur-Mer
(ville-centre)
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Courseulles-sur-Mer
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Langrune-sur-Mer
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Langrune-sur-Mer
Liens
Site web mairie-langrune-sur-mer.fr

Géographie

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Entrée de l'agglomération.

Localisation

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La commune est sur la Côte de Nacre. Son bourg est à 3,5 km au nord de Douvres-la-Délivrande, à 11 km au nord-ouest d'Ouistreham et à 17 km au nord de Caen[1].

Voies de communication et transports

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Transport ferroviaire

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Le bâtiment voyageurs de la gare de Langrune, en activité jusqu'en 1950, est implanté sur son territoire.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant à la plaine agricole de Caen à Falaise, sous le vent des collines de Normandie et proche de la mer, se caractérisant par une pluviométrie et des contraintes thermiques modérées[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 668 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bernières-sur-Mer à 4 km à vol d'oiseau[6], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Langrune-sur-Mer est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Luc-sur-Mer, une agglomération intra-départementale dont elle est ville-centre[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[12]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[15]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d'urbanisme le prévoit[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (84,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,6 %), zones urbanisées (18,1 %), prairies (1,7 %), zones humides côtières (0,6 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Langrone en 1059-1066, Lingruna en 1160, Lingronia en 1198[18].

L'origine du toponyme est obscure. René Lepelley émet l'hypothèse du gaulois lingo(n) « saut » (voir le peuple des gaulois Lingons) suivi d'un élément -grona, -gruna d'interprétation incertaine[19]. François de Beaurepaire croit reconnaître le même type de formation toponymique dans Lengronne (Manche, Lengrona 1022 - 1026) ; Langrume à Limésy (Seine-Maritime, Lengrune 1405) et pense aussi à une origine prélatine, sans toutefois proposer d'explication[20].

Ou du norrois lyngr « bruyère » et grund « étendue herbeuse »[21].

La référence à la mer a été ajoutée au nom de la commune en 1957 afin d'asseoir sa réputation balnéaire au regard des autres cités de la Côte de Nacre.

Histoire

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Au Moyen Âge, Langrune est un riche village de pêcheurs et de commerçants. De nombreuses maisons témoignent encore aujourd'hui de ce passé.

En 1851, le hameau de Saint-Aubin-sur-Mer est dissocié de Langrune[22],[23].

À la fin du XIXe siècle, la mode des bains de mer attire durant les mois d'été de nombreux vacanciers. Langrune obtient son classement en station climatique le . Fin 2019, la commune n'a pas renouvelé son statut de station.

À l'aube du Jour J, Langrune est libérée par le 48e Commando du Royal Marines. Une stèle du souvenir commémore cet événement place du 6 juin.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
av. 1947 1953 Jean Hardel    
1953 septembre 1978
(démission)
Jean Lecouble   Métreur
septembre 1978[24] mars 1983 André Denys   Directeur d'école honoraire, ancien 1er adjoint
mars 1983 mars 1989 Robert Sarazin   Ingénieur
mars 1989 août 2000
(démission)
Jean-Claude Colas   Chef d’entreprise, ancien adjoint
septembre 2000 mars 2008 Guy Bédague    
mars 2008 En cours
(au 26 mai 2020)
Jean-Luc Guingouain[25] SE Responsable technique bâtiment
Réélu pour le mandat 2020-2026
 
La mairie.

Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et quatre adjoints[25].

Jumelages

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2021, la commune comptait 1 912 habitants[Note 3], en évolution de +11,88 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Langrune a compté jusqu'à 2 331 habitants en 1836, avant la scission de Saint-Aubin-sur-Mer en 1851. À partir de cette date, l'évolution démographique de Langrune, qui comptait alors 1 129 habitants, a été négative jusqu'en 1926. Il n'y avait plus alors que 686 habitants[22]. Depuis les années 1920, l'évolution démographique est à nouveau positive, la croissance démographique étant plus forte depuis les années 1960.

Langrune-sur-Mer fait partie de l'unité urbaine de Douvres-la-Délivrande - Luc-sur-Mer, formée par les communes de Bernières-sur-Mer, Douvres-la-Délivrande, Langrune-sur-Mer, Luc-sur-Mer et Saint-Aubin-sur-Mer[28].

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 8481 7202 0502 1402 2752 3312 3012 3061 129
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0891 0581 0451 0421 025936909869884
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
7997417187816867017471 1211 133
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 0129501 0471 3491 5391 7061 6881 6901 791
2014 2019 2021 - - - - - -
1 7011 9341 912------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

L'Association sportive de Langrune fait évoluer une équipe de football en division de district[30].

Le Club de voile de Langrune, actif toute l'année, propose des stages et balades nautiques dans le cadre de son école de voile. Il organise également des régates ou participe aux compétitions de la région.

L'Académie d'escrime de Langrune, spécialisée à l'épée, participe à tous les niveaux de compétition jusqu'aux championnats d'Europe et du Monde en vétérans.

Économie et tourisme

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Depuis , Langrune-sur-Mer est dénommée « commune touristique »[31].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Cadran solaire de l'église.
 
Le monument aux morts.

L'église Saint-Martin, du XIIIe siècle, est classée au titre des monuments historiques[32] et dont le cimetière adjacent accueille la sépulture de l'abbé Maurice Bellière (1874-1907), frère spirituel de sainte Thérèse de Lisieux. Il figure au fronton, sculpté par Robert Coin (1901-2007), de la basilique de Lisieux au titre des personnages qui ont contribué à son édification[33].

 
La fontaine des trois Grâces dans le parc de la mairie de Langrune.

En 1936, Madame Goldberg[34] avait légué à l'église un tableau du peintre florentin Giovanni Antonio Sogliani, La Vierge à l'enfant avec saint Jean-Baptiste. Restaurée en 1994, cette œuvre était conservée à la mairie où elle n'était pas visible. Sur une proposition du maire, le conseil municipal, par un vote unanime (délibération du ), a décidé de déposer le tableau au musée des Beaux-Arts de Caen[35].

Dans le parc de la mairie se trouve la Fontaine des trois Grâces. Érigée à Caen en 1853 sur la place Saint-Pierre (devenue par la suite square Saint-Pierre). Elle en est retirée en 1861. Elle est placée en 1862 boulevard Saint-Pierre (renommé depuis boulevard Maréchal-Leclerc), devant l'hôtel de Than. Au début des années 1930, elle gêne l'installation d'un cinéma. Elle est achetée par Georges Lesage, pharmacien et maire de Douvres-la-Délivrande. Sa commune refuse la fontaine après sa mort, et elle est finalement acquise par la commune de Langrune-sur-Mer en 1957. Elle est restaurée en 2002.

À noter aussi la présence d'une ancienne commanderie templière XIIe et fin XVe siècle[36].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Les armes de la commune de Langrune-sur-Mer se blasonnent ainsi :

D'azur aux trois coquilles d'argent, à la bordure cousue de gueules chargée de huit (neuf) besants aussi d'argent[37].

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale 2021.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  • Altitudes, coordonnées, superficie : IGN[38].
  • Publication éditée par la municipalité avec le plan de ville.
  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  6. « Orthodromie entre Langrune-sur-Mer et Bernières-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Bernieres » (commune de Bernières-sur-Mer) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Bernieres » (commune de Bernières-sur-Mer) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur Insee, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Luc-sur-Mer », sur insee.fr (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Caen », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Les communes soumises à la loi littoral », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  16. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  19. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 156
  20. François de Beaurepaire, NCAPM, Picard 1986, p. 145.
  21. Nouvelle revue d'onomastique - Numéros 35 à 36 - Page 274
  22. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Jusqu'au décret de — « article 1er de la loi de juillet : le territoire teinté en rose sur le plan annexé à la présente loi est distrait de la commune de Langrune… » —, le territoire de Saint-Aubin-sur-Mer était intégré à celui de Langrune. La commune de Saint-Aubin fut émancipée par les notables ecclésiastiques (l'évêque de Bayeux et l'abbé Alexandre Bossard, né à Lisieux, qui nomma lui-même le maire, un certain Pierre Constant Aubert, marchand de vin de son état, sans réelle concertation des Langrunais de ce « Saint-Aubin, hameau de Langrune » et lieu-dit du Castel. Il est à noter que cet acte eut lieu avec l'approbation et l'encouragement du prince-président Louis Napoléon Bonaparte, signataire, quelques mois avant le coup d'État qui allait faire de lui l'empereur Napoléon III. Si l'on y recensait alors 1 153 habitants contre 1 129 à Langrune, le nombre d'habitants de Saint-Aubin a décliné dans la deuxième partie du XIXe siècle pour atteindre les 727 habitants en 1901, conforme à la population première d'un hameau qu'il n'avait sans doute jamais cessé d'être.
  24. « Langrune-sur-Mer : M. André Denys, ancien premier adjoint, élu maire », Ouest-France (archives du journal),‎
  25. a et b Réélection 2014 : « Langrune-sur-Mer (14830) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Liste des unités urbaines officielles en France avec les villes les composant, disponible en téléchargement au format texte (Insee).
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – AS Langrune » (consulté le ).
  31. [PDF] « Recueil des actes administratifs du Calvados n°12/2010 (page 277) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  32. « Église », notice no PA00111464, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Fabrice Maze 'La Basilique Sainte Thérèse de Lisieux' pg 26 - Ed. Publialp Grenoble.
  34. Par ailleurs donatrice du musée du Louvre.
  35. La Tribune de l'Art.
  36. Guy Le Hallé (préf. Hervé Morin, photogr. Yves Buffetaut), Châteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN 978-284673-215-4), p. 68 (Langrune-sur-Mer).
  37. « GASO, la banque du blason - Langrune-sur-Mer Calvados » [archive du ] (consulté le ).
  38. « Langrune-sur-Mer sur le site de l'Institut géographique national » [archive du ] (archive Wikiwix)