Lacres
Lacres est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Lacrois. La commune est membre de la communauté de communes de Desvres - Samer.
Lacres | |||||
L'église Saint-Martin. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Boulogne-sur-Mer | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Desvres - Samer | ||||
Maire Mandat |
Jean-Pierre François (démissionnaire depuis octobre 2024) Jean-François Sagot (assure l'intérim) 2024-2026 |
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Code postal | 62830 | ||||
Code commune | 62483 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lacrois | ||||
Population municipale |
248 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 30 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 35′ 43″ nord, 1° 45′ 07″ est | ||||
Altitude | Min. 75 m Max. 193 m |
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Superficie | 8,23 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Boulogne-sur-Mer (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Desvres | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.
Géographie
modifierLocalisation
modifierLe territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes. Les communes limitrophes sont Samer, Doudeauville, Hubersent, Parenty et Tingry.
Géologie et relief
modifierLa superficie de la commune est de 8,23 km2 ; son altitude varie de 75 à 193 m[1].
Hydrographie
modifierLa commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[2],[Carte 1].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 885 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Touquet-Paris-Plage à 15 km à vol d'oiseau[5], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Paysages
modifierLa commune est située dans le « paysage montreuillois » tel que défini dans l'atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 3],[9]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l'Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l'Authie, et à l'Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy…[10].
Milieux naturels et biodiversité
modifierEspace protégé
modifierLa protection réglementaire est le mode d'intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[11].
Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé : le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, d'une superficie de 132 499 ha réparties sur 154 communes, géré par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[12].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d'améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d'aide à la prise en compte de l'environnement dans l'aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 4] :
- le bois de l'Eperche, le coteau de Longfossé et la pelouse du Molinet. Ce site appartient au complexe écologique constitué par la cuesta crayeuse du haut Boulonnais[13] ;
- le coteau crayeux de Nesles-Verlincthun, le bois de Tingry et la motte féodale, d'une superficie de 664 ha et d'une altitude variant de 90 à 173 mètres. Ce site appartient au complexe écologique de la cuesta du Boulonnais[14].
et deux ZNIEFF de type 2[Note 5] :
- la vallée de la Course. Elle se situe dans le pays de Montreuil et plus précisément dans l'entité paysagère des ondulations montreuilloises[15] ;
- la cuesta du Boulonnais entre Neufchâtel-Hardelot et Colembert. Cette ZNIEFF marque la séparation entre les terrains du Jurassiques du Bas-Boulonnais et les plateaux crayeux des hautes terres Artésiennes[16].
-
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Espèces faunistiques et floristiques
modifierL'Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d'autres menacées et quasi-menacées[17].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Lacres est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18]. Elle est située hors unité urbaine[19]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Boulogne-sur-Mer, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[19]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,1 %), prairies (17,7 %), zones agricoles hétérogènes (11,1 %), forêts (3,1 %)[22]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est seulement attesté sous la forme Lacres dans les chartes de Samer en 1173[23] (le nom n'a pas changé depuis le moyen âge).
Ernest Nègre avance pour origine toponymique, peut-être l'oïl, plus précisément du normand : l'acre, « mesure agraire » ; quand bien même que ce mot ait été employé en dehors de la Normandie et que le -s final, qui apparaît dès le XIIe siècle, est adventice[24].
Robert Fossier avance l'hypothèse du germanique acker « champ »[25]. Ce toponyme provient de l'agglutination du préfixe l' et du francique akr.
Histoire
modifierLa voie romaine allant d'Amiens à Boulogne-sur-Mer ou via Agrippa de l'Océan passait par deux hameaux de l'ancienne Lacres : Fashurne et Beauvoie[26].
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement de Boulogne-sur-Mer du département du Pas-de-Calais[27].
Commune et intercommunalités
modifierLa commune est membre de la communauté de communes de Desvres - Samer qui regroupe 31 communes et compte 23 221 habitants en 2021[27].
Circonscriptions administratives
modifierLa commune est rattachée au canton de Desvres[27].
Circonscriptions électorales
modifierPour l'élection des députés, la commune fait partie de la cinquième circonscription du Pas-de-Calais[28].
Élections municipales et communautaires
modifierListe des maires
modifierÉquipements et services publics
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierLes habitants sont appelés les Lacrois[38].
Évolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40].
En 2021, la commune comptait 248 habitants[Note 7], en évolution de −3,12 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierEn 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 121 hommes pour 126 femmes, soit un taux de 51,01 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- L'église Saint-Martin.
- Le monument aux morts[44].
- Dans le cimetière de l'église se trouvent trois tombes de guerre du Commonwealth. Il s'agit de trois private du Royal Army Medical Corps tombés au combat le , pendant la Première Guerre mondiale.
Personnalités liées à la commune
modifierHéraldique
modifierBlason | D'argent aux trois aigles de gueules, becquées et membrées d'azur[45]. |
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Détails | La commune relève les armes de son dernier seigneur : Louis-Alexandre, vicomte du Tertre (famille connue dès le XIVe siècle en Artois et Boulonnais), décédé en émigration à Brunswick en 1798. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifier- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Aide à la rédaction des articles consacrés aux communes de France
Liens externes
modifier- Dossier relatif aux rattachements de la commune sur le site de l'Insee, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l'IGN, [lire en ligne][Note 8]
- « La commune » sur Géoportail.
Bases de données, dictionnaires et encyclopédies
modifier
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
modifierNotes
modifier- Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d'interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d'une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d'espèces, d'association d'espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l'évolution de l'occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Lacres » sur Géoportail (consulté le 24 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Fiche communale de Lacres », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lacres et Le Touquet-Paris-Plage », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007264 - Bois de l'Eperche, coteau de Longfossé et Pelouse du Molinet », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007275 - Coteau crayeux de Nesles-Verlincthun et bois de Tingry et motte féodale », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013724 - la vallée de la Course », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013721 - La Cuesta du Boulonnais entre Neufchâtel-Hardelot et Colembert », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Lacres ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Boulogne-sur-Mer », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 215.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, Librairie Droz, (lire en ligne), p. 1339.
- Robert Fossier, Hommes et villages d'Occident au Moyen Âge (lire en ligne).
- M. Cousin, « Trois voies romaines du Boulonnais », dans Mémoire de la société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Années 1858-1859, p. 404, lire en ligne.
- « Rattachements administratifs de la commune », sur l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
- « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- Florence Pécriaux, « Le village retrouve sa quiétude : Dimanche matin, la petite mairie de Lacres a été vite remplie pour l'élection du maire et de ses adjoints. À la suite de la démission du maire Henri Maillard, d'une conseillère municipale et du décès d'un autre, de nouvelles élections avaient été organisées de façon anticipée le dimanche précédent pour élire trois nouveaux conseillers », La Semaine Dans Le Boulonnais, (lire en ligne, consulté le ).
- Joël Rochoy, « À Lacres, après quatre démissions dont celle du maire, les habitants appelés aux urnes », La Voix du Nord, (lire en ligne , consulté le ).
- « Lacres : arrivé en cours de mandat, l'élu local a décidé de retenter l'aventure : Au sein de l'assemblée communale, l'ascension de Jean-Pierre François, logisticien à Valéo (il prendra sa retraite en janvier prochain), a été régulière depuis 1989. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Lacres : Jean-Pierre François, maire, poursuit sa mission », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Lacres : la défense incendie et un columbarium sont prioritaires : Jean-Pierre François a été réélu maire de Lacres aux dernières municipales. Il espère mener à bien ses projets mais reste cependant inquiet face à la baisse des dotations de l'Etat », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21597855
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lacres (62483) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- « 62483 Lacres », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).