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Cicatrice du point d’attache de la semence, le hile est la jonction entre le funicule et l’ovule (par exemple le point d'attache du haricot dans sa « gousse » ou « cosse ») sur la photographie ci-contre[1],[2].

Chaque pois est encore attaché à sa cosse par un petit pédoncule (funicule) qui a joué un rôle un peu similaire à celui du cordon ombilical durant la croissance de la graine. Une fois détaché il reste sur le pois une cicatrice : le hile

Importance agronomique

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Résultats de tests sur l'effet sur la racine et la tige du positionnement du hile de haricot lors du semis ; à droite le hile est placé vers le bas lors du semis

Selon les expériences faites par Fernand Basty en 1909 et 1910, sur des haricots Soissons et haricots rouges, dans le jardin Bertholon d’Angers [3], expérimentations présentée en 1910 devant la Société d’études scientifiques d'Angers : chez les légumineuses (haricots notamment) la position du hile (dessous ou dessus) au moment du semis aura une grande importance sur la vitesse et qualité du développement racinaire, notamment quand il est dopé par l'un des procédés d'électroculture (mis au point par L'abbé Bertholon, puis testés à Angers par Basty à cette époque.

« la tige et la feuille des légumineuse bénéficient » selon F. Basty « de la position, en dessous, du hile en terre »[4]

Voir aussi

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Articles connexes

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Notes et références

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  1. « Glossaire » (consulté le )
  2. « Définition » (consulté le )
  3. Ce jardin Bertholon était un jardin expérimental, installé dans l’école Victor-Hugo d'Angers
  4. Fernand Basty, De la fertilisation électrique des plantes : Essais d’électroculture. Année 1910 (voir chap VI, pages 27 et suivantes), vol. 2, (lire en ligne)