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1852 en photographie


Cet article présente les faits marquants de l'année 1852 en photographie.

Chronologies
1849 1850 1851  1852  1853 1854 1855
Décennies :
1820 1830 1840  1850  1860 1870 1880
Siècles :
XVIIe XVIIIe  XIXe  XXe XXIe
Millénaires :
-Ier Ier  IIe  IIIe
Chronologies géographiques
Antarctique
Chronologies thématiques
Calendriers
Années de la photographie :
1849 - 1850 - 1851 - 1852 - 1853 - 1854 - 1855
Décennies de la photographie :
1820 - 1830 - 1840 - 1850 - 1860 - 1870 - 1880

Événements

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  • Adolphe-Alexandre Martin met au point la technique du ferrotype ou mélainotype[1].
  • Jean Nicolas Truchelut met au point la technique du panotype.
  • John Benjamin Dancer invente l'appareil photographique stéréoscopique.
  • Leopoldo Alinari et ses frères Giuseppe et Romualdo fondent en Italie à Florence l'atelier photographique Fratelli Alinari, la plus ancienne maison d'édition spécialisée en photographie du monde, particulièement dans les photographies d'œuvres d'art et de monuments historiques[2].
  • Pierre Wittmann associé à son gendre, Étienne Poulenc, pharmacien et chimiste, ouvre à Vaugirard un atelier de préparation des produits nécessaires à l'élaboration des collodions photographiques : bromure et iodure d'argent, chlorure d'iode, hyposulfite de sodium[3].
  • 16 septembre : Emilie Bieber ouvre, avec Adelgunde Koettgen, un studio de photographie daguerréotype au 26, Großen Bäckerstraße, à Hambourg.
  • Geneviève Élisabeth Disdéri, séparée de son mari Eugène Disdéri, reprend la direction de l'atelier professionnel de photographie qu'ils avaient ouvert à Brest en 1848
  • novembre : deux mois après son arrivée à Jersey, Victor Hugo installe un atelier photographique dans une pièce de Marine Terrace ; son fils Charles Hugo se forme à la technique du daguerréotype auprès d'un proscrit nommé Jean-Jacques Sabatier.

Livres de photographies

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  • Maxime Du Camp, Égypte, Nubie, Palestine et Syrie : dessins photographiques recueillis pendant les années 1849, 1850 et 1851. Accompagnés d'un texte explicatif, Paris, Gide et J. Baudry (lire en ligne) : 125 photographies, épreuves sur papier "ioduré" d'après 122 négatifs papier de Maxime Du Camp (pris lors du voyage effectué de novembre 1849 à avril 1851 avec Gustave Flaubert) et 3 contretypes de daguerréotypes d'Aimé Rochas ; tirages à l'imprimerie photographique de Blanquart-Evrard à Lille[4].

Expositions

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Naissances

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Références

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  1. Jill Enfield (trad. Dominique Dudouble), « Ferrotypes », dans Procédés photo alternatifs, Paris, Eyrolles, (ISBN 2-212-11335-8), p. 134-145.
  2. André Fermigier, « Trois photographes tout terrain », Le Monde,‎ (lire en ligne  ).
  3. Charles Guyotjeannin, « Les Pharmaciens promoteurs de la photographie d'amateur », Revue d'histoire de la pharmacie, no 298,‎ , p. 391-392 (lire en ligne, consulté le ).
  4. Anne Lacoste, « Édition photographique et sciences de l'Antiquité », Revue de la Bibliothèque nationale de France, vol. 2, no 44,‎ , p. 18-24 (lire en ligne  ).